Grand prix de l'Imaginaire

époques et les circonstances, les valeurs et les idéaux incarnés par les héros changent et évoluent… au point que l’anti-héros a aussi ses adeptes ! Est-il possible, dans de telles conditions, de définir des constantes du concept de « héros » ? L’imaginaire collectif associe au héros la beauté, la jeunesse et le dynamisme. Cette idée simpliste trouve sans doute son origine dans les portraits stylisés et idéalisés des contes de fées de l’enfance, dans lesquels les princes ne peuvent être que charmants

mais aussi dépositaire et diffuseur de celle-ci. Notre étude porte sur le film Un long dimanche de fiançailles réalisé par Jean-Pierre Jeunet (2003) dont le scénario est bâti sur le roman éponyme écrit par Sébastien Japrisot en 1991 et couronné par le prix Interallié. Ce romancier s’est aussi fait un nom dans le polar et a souvent collaboré dans le cinéma comme scénariste et réalisateur. Un film est une œuvre polyphonique qui a besoin des différents spécialistes pour transmettre dans la projection filmique

deux : le patient, l’art-thérapeute.) Pierre a écrit : Une séance d’art-thérapie ? Peut être pour moi comme une partie de pêche. Détendu, je suis devant ma feuille blanche, mon étang. Je prends mon « pinceau-canne à pêche » et je laisse l’imaginaire construire mes captures. Ça mord vite. D’abord quelques traits, des formes, qui s’agencent, plus ou moins bien, jusqu’à révéler quelque chose d’abouti, de conscient. Cette prise prend les allures d’un souvenir parfois. Toujours, s’en dégage

naturalisme (écrivain qui écrit sans tabou, qui décrit la réalité). Ces principales œuvres sont l’assommoir, germinale. Ce texte est un extrait de « Au bonheur des dames » qui parle de la naissance des grands magasins. C’est un roman relatant (qui parle) l’épopée (la grande aventure) des grands magasins et le déclin des petits. Question : Comment l’auteur fait-il ou si prend t-il pour décrire cette univers ? Quelle vision du monde et des hommes donne-t-il ? 1ère Partie : Zola décrit la scène comme

échanges facilite les nouveaux produits Urbanisation : des habitants qui se déplace des villages vers les villes, ce qui favorise une consommation mimétique ainsi des nouveaux besoins.  Une demande en hausse ce qui favorise l’émergence des plus grande entreprises qui vont proposer des produits standardisés. (Ex : la FORD) • De la production de masse au marketing de masse - Une offre unique qu’on cherche à écouler : faire connaître, et distribuer largement  Economie d’échelle : plus je produis

touristiques. L’image et l’imaginaire collectif pour une destination, un motif de séjour particulier sont des éléments très importants du produit touristique. Longtemps laissé aux foules « vulgaires », la station de Mégève retrouve un peu de son image d’antan avec les courses de Horse-Ski pratiquées comme le polo sur neige pour et par une élite. L’imaginaire collectif, c’est par exemple les vacances en Provence, l’image, c’est celle d’un apéritif sous un platane sans mistral. L’imaginaire collectif, c’est

croix d’Oc pour les apposer sur les tee-shirts achetés à la société Publitel installée en Dordogne à Lamonzie Saint-Martin. Pour faire connaître ses produits, il opte pour le dépôt vente dans les campings de la région, les sites touristiques. Une grande surface de Saint-Cyprien accepte même de vendre les tee-shirts. Le succès est au rendez-vous. Fabrice Cellier décide donc d’ouvrir en décembre 2009 un magasin à Périgueux, sous le nom de Vinta-Quatre, marque occitane. Pour s’adresser à une clientèle

I) La fantaisie dans le conte Voltairien a)L’imaginaire b) Le merveilleux II) La réalité associée au fantaisiste a)Voltaire attaque et passe des messages b) Les vérités jaillissent des situations fantaisistes Les vérités jaillissent des situations fantaisistes Jacques Van Den Heuvel écrit: « Le conte voltairien a cette particularité remarquable que la fantaisie et la vérité intimement mêlées l'une à l'autre s'y renforcent mutuellement. » . Vous expliquerez et commenterez cette citation

beaux et heureux, ils sont connus à travers le monde ; ce sont des surhommes, des « dieux ». Dans l’imaginaire du public, ils vivent dans un Olympe inaccessible, n’ont pas de contact avec le trivial* qui est le quotidien des autres, ont une puissance de séduction hors du commun, disposent d’un immense pouvoir de persuasion, mobilisent les foulent, provoquent une sorte de fanatisme. On organise des grand-messes dans des cathédrales* construites pour eux dans le style artistique du moment. Les masses

- nature économique du bien : son caractère indépendant, son caractère substituable, le côté complémentaire - la clientèle : produit destiné au consommateur final (= produit de grande consommation), produit destiné aux entreprises (= biens industriels) - la fréquence d’achat : o les biens banals : biens de grande consommation destiné aux ménages, durée de vie courte o les biens anomaux : achat réfléchi, produit dont la fréquence est échelonnée dans le temps - la place du produit dans le processus