Grand Stade de Marrakech

établissements industriels. Les industries agroalimentaires (IAA) marocaines ont réalisé en 2002 un chiffre d’affaires, hors tabacs, de 53,8 Mds MAD (4,9 Mds €) dont près de 1,2Md € à l’export. Les plus importantes d’entre-elles, appartenant à de grands groupes marocains (ONA, Dyana Holding, Holmarcom) ou étrangers (Castel, Bel) génèrent des chiffres d’affaires annuels qui dépassent les 100 M€. Le tissu des IAA marocaines demeure néanmoins essentiellement composé de PMI (sont considérées comme telles

naturellement l’aventure coloniale, ce dernier collabora alors à l’édification d’une « mythologie coloniale », déployant toutes ses ressources sémantiques, dramatiques et narratives dans le sens d’une exaltation de la « mission civilisatrice de la plus grande France ». Le cinéma « colonial » exotique était né. L’analyse du rôle que fut amené à jouer « le plus complet des arts » tant au niveau culturel que social et, surtout, politique au sein de cet épisode historique nous permettra de dégager les

transitaires, fournisseurs de services logistiques). Une analyse des chaînes logistiques réalisée sur plusieurs secteurs industriels représentatifs de l’économie marocaine (composants automobiles et électroniques, textile-habillement, agrumes, primeurs et grande distribution) et une analyse des métiers de la logistique et des besoins de formation ont aussi fourni des données précieuses. Enfin une étude sur le déploiement de l’Echange de Données Informatisées (EDI) pour le commerce extérieur a permis d’affiner

importation mondial sont 20 fois supérieurs à celui de 1950, cette évolution est surtout marquée par les progrès techniques qui ont permis une diminution des coûts de transport et la réduction progressive des barrières aux échanges sous l’égide des grandes institutions internationales telles que le GATT puis L’OMC. Ainsi la Tunisie a su tiré parti de cette évolution avec (52% du PIB en 2009)1 sur les exportations des biens et services de plus la part des matières premières représente 10% des exportations

collectif urbain: contraintes et nécessité de la remise à niveau 9 Chapitre I : les modes de gestion du service public du transport collectif urbain, portée et limites 10 I- La Régie Autonome de transport urbain une compétence communale sous une grande tutelle du ministère de l’intérieur 10 II- La gestion du service public du transport urbain par des personnes privées 15 Chapitre II : Les contraintes du service public du transport urbain au Maroc et les mesures nécessaires pour sa mise à niveau

établissements industriels. Les industries agroalimentaires (IAA) marocaines ont réalisé en 2002 un chiffre d’affaires, hors tabacs, de 53,8 Mds MAD (4,9 Mds €) dont près de 1,2Md € à l’export. Les plus importantes d’entre-elles, appartenant à de grands groupes marocains (ONA, Dyana Holding, Holmarcom) ou étrangers (Castel, Bel) génèrent des chiffres d’affaires annuels qui dépassent les 100 M€. Le tissu des IAA marocaines demeure néanmoins essentiellement composé de PMI (sont considérées

peuvent se prévaloir d’une gestion logistique plus compétitive. melles dans le circuit organisé est très faible. De même, la structure du secteur souffre d’une surcapacité structurelle, de l’individualisme de la profession et de l’atomicité de la grande majorité des entreprises. D’après les chiffres officiels du ministère de tutelle, plus de 80% des opérateurs ont un seul camion. Cette composition pose des problèmes au niveau de l’encadrement et de la compétitivité. Si le secteur regorge d’autant

transitaires, fournisseurs de services logistiques). Une analyse des chaînes logistiques réalisée sur plusieurs secteurs industriels représentatifs de l’économie marocaine (composants automobiles et électroniques, textile-habillement, agrumes, primeurs et grande distribution) et une analyse des métiers de la logistique et des besoins de formation ont aussi fourni des données précieuses. Enfin une étude sur le déploiement de l’Echange de Données Informatisées (EDI) pour le commerce extérieur a permis d’affiner

procédure soit de construction selon la loi de 12-90 ou la procédure de morcellement et de lotissement selon les disposition de la loi de 25-90, d’autres loi ont été apparus afin de protéger le domaine urbanistique du pays. La loi 12-90 présente deux grandes types infractions : Défaut ou non respect du permis de construire et Défaut ou non respect du permis de démolir. Section I : Défaut ou non respect du permis de construire L’article 40 de la loi 12-90 relative à l’urbanisme interdit de procéder à

2005 Audit Opérationnel pour l’optimisation des coûts Avant – Propos Nous sommes actuellement en 4ème année du cycle normal de l’ISCAE, option Finance – Comptabilité. Au vu de l’importance et de la croissance notable du secteur de la grande distribution au Maroc, nous avons décidé d’effectuer notre stage au sein du leader marocain Marjane. Apprécier ce secteur, en détecter les maux, les analyser et apporter des solutions adéquates étaient nos objectifs. Ce secteur contribue pleinement