Grande Idée

problématique par des analyses portant sur des aspects différents du problème posé. Chaque sous-partie est constituée d'une idée et d'un ou plusieurs exemples, l'organisation des sous-parties suit la même logique que celle des grandes parties : du + évident au + complexe. Vérifiez que votre plan est bien équilibré ! Nombre égal de sous-parties dans chaque grande partie. Chaque grande partie commence par indiquer la piste de lecture suivie. Des connecteurs logiques soulignent la progression du raisonnement

que les traditions et les valeurs se transmettent. D’ailleurs Robert DOISNEAU illustre cette idée de coutume (Doc 5). Dans son dessin Plantu soulèvent une autre idée, celle des pères qui aiment transmettre à leur fils un certain nombre d’éléments (Doc 3). CORNEILLE dans son œuvre le Cid (Doc 2) et Pierre BOURDIEU (Doc 1) montrent et analysent le phénomène de l’héritage ; KREMER (Doc 4) reprend cette idée en mettant en évidence l’utilisation, parfois nécessaire, d’un média extérieur. Tous ces documents

Le secteur du Fastfood s’est remarquablement développé en Géorgie, et ce pour différentes raisons. Son évolution représente de nos jours un vaste champ générateur de profits pour les entreprises. C’est dans ce cadre qu’on a décidé d’importer cette idée 100% québécoise qu’est le MUVBOX en Géorgie. Mon projet est de type pull puisqu’il ne s’agit pas d’un concept novateur mais d’une conception raffinée de la restauration rapide. Il consiste en l’aménagement d’un vieux conteneur pour en faire un

exemple) ont tendance à favoriser la juxtaposition d’idées ; soyez donc vigilant et veillez à bien mêler les idées des différents documents dans toutes les parties. Voici quelques plans possibles : - plan thématique : chaque partie correspond à une grande idée (ou thème) dégagée par l’analyse ; l’opposition, le parallèle, les comparaisons, etc. s’établissent à l’intérieur de chacune. - ordre logique : I. Faits II. Causes (III. Conséquences ou remèdes, si assez d’informations) I. Causes II. Effets

Dissertation, 3M9 2. « Le plus sûr moyen d’assassiner une idée, c’est de la vénérer […] Faire vivre une idée, c’est au contraire la débattre, la combattre, chercher à tuer certains éléments qui la composent » - Boris Cyrulnik Comment faire vivre une idée ? La phrase de Boris Cyrulnik est basée sur le thème de l’évolution des idées. Comme le dit sa phrase : « le plus sûr moyen d’assassiner une idée, c’est de la vénérer […] Faire vivre une idée, c’est au contraire la débattre, la combattre, chercher

proche possible du réel, un personnage pouvant même être une incarnation fictive d’une personne existante. Mais un personnage reste avant tout un être fictif, car il ne se contente pas de refléter simplement la réalité : il peut parfois illustrer une idée, et il se distingue souvent par un trait de caractère remarquable ou un parcours hors du commun qui va faire de lui un personnage exceptionnel. La plupart des personnages de roman reflètent souvent la réalité et évoluent dans un cadre proche voire

lignes 1-25) L’introduction du texte s’ouvre sur le constat de l’importance donnée par la philosophie au combat de la passion et de la raison pour régler les actions, et de la prééminence donnée habituellement à cette dernière, par « la plus grande partie de la philosophie morale, ancienne et moderne ». On peut penser ici à la philosophie stoïcienne, prônant un strict contrôle des passions, à la philosophie aristotélicienne, et son idéal d’équilibre, sa reprise par Saint Thomas (notamment ST

même si une idée vous paraît un peu lointaine, envisagez-la : elle peut en cacher une autre beaucoup plus importante. Si deux idées vous paraissent, d’emblée, proches, regroupez-les dans une même partie de la feuille ou tracez des flèches pour les mettre en relation. Dépassez le cadre scolaire, retrouvez des souvenirs liés à des lectures et des discussions, pensez aussi à l’actualité. S’il s’agit d’une question directe du cours, visualisez vos notes et redites-vous mentalement les grandes parties

dans les publicités? » La mise en œuvre… Nos recherchent se furent uniquement sur internet. Mais le problème que nous rencontrions été que sur internet, il y a une énormité de réponses et de publicités différentes. Il fallut alors faire un grand tri pour n’obtenir que des annonces utiles à nos cherches, comme celles où seulement les femmes étaient mise en avant. Ensuite, à force de visionnages d’images, le plan se construit instinctivement dans têtes. Nous avons dû mettre en avant les principaux

choisissons pas tous nos actes, et ceux dont nous décidons sont uniquement ceux que notre propre pensée a provoqués. L’auteur fait donc usage de la notion de « principe », c'est-à-dire l’origine ou cause première de nos actions, pour exprimer cette idée. Si ce fondement de nos actes est « en nous », alors ils « dépendent » de nous, comme le dit Aristote, dans le sens qu’ils sont liés à nous, ils relèvent de nos choix personnels. Ces actions-là sont dîtes volontaires, puisqu’elles résultent d’une décision