Grande Peur

Dissertation de philosophie La liberté peut-elle faire peur ? La liberté est souvent définie comme une absence de contraintes. Il ne faut cependant pas se limiter à cet aspect. Hobbes, dans son ouvrage « Le Léviathan » définit la liberté comme un mouvement qui a une cause : si nous désirons accomplir une action, cette volonté provient de quelque chose. La liberté semble donc être une nécessité pour l’homme. Malgré cela, au cours de l’histoire, les hommes ont de nombreuses fois volontairement

lexical des enfers et des ténèbres renvoie à la grotte ; alors que dans la tirade de Pridamant il renvoie au désespoir. La descente aux enfers est une référence à la mythologie ; on ne remonte pas des Enfers ; cette  « descente aux Enfers » justifie la peur du père. Il y a une opposition entre l’enfer mythologique (v.40) et l’enfer chrétien (v.45). Le vocabulaire du sombre est plus symbolique qui s’y attache. La souffrance l’a mené dans des situations dangereuses : « il a consulté », « il a vu », « déjà »

alors ce demander si la lâcheté et la peur de faire un choix empêchent l’être humain d’être complètement bon ou mauvais. La lecture du roman Le démon et mademoiselle Prym prouve d’évidence que la peur d’agir peut empêcher le bien ou le mal. Ainsi, Chantale, une jeune serveuse dans un bar, nous prouvera que la lâcheté et le fait de figer devant une situation décisive empêche d’établir clairement notre identité en tant qu’humain bon ou mauvais. En premier lieu, la peur des conséquences suite à un acte

(Je n'ai pas réussie a mettre de grand 2) Causes individuelles et managériales Comment en arrive-t-on à harceler quelqu’un? Qu’est-ce qui amène une personne à en harceler une autre? Beaucoup considèrent avec fatalisme que le harcèlement moral est lié à la nature humaine, qu’il a toujours existé sur les lieux de travail et donc qu’il existera toujours. Une approche plus raisonnable des causes du harcèlement implique une observation du problème sous des angles différents, l’angle psychologique

La peur : danger réel ou danger imaginé ? « La Peur » est un conte qui se trouve dans le recueil de contes « Les contes de la Bécasse ». Comme le titre déjà indique il parle de la peur. La peur est un sujet qui revient tout le temps dans une sorte de genre. « La Peur » ne parle pas seulement sur la peur, mais aussi sur le surnaturel qui joue un grand rôle dans ce conte. Le narrateur raconte deux anecdotes qui doivent indiquer pourquoi la peur est un mot différent que toutes ces synonymes.

Germinal, grand roman du XIXe siècle, met en scène la vie quotidienne des mineurs dans la mine d’Anzin. Dans un passage qui se trouve au cinquième chapitre de la première partie, l’auteur parle surtout des chevaux de la mine. En comparant ce passage à un passage du livre de Simonin, nous étudierons la manière dont Zola utilise la documentation livresque ? Quel sens entend-il donner à ce passage ? Pour quelles raisons intègre-t-il cet épisode dans son œuvre ? Tout au long du roman, les chevaux

minuscule? Si on suppose que l’araignée n’est ni venimeuse ni dangereuse d’aucune autre façon, on peut juger que le comportement de la mère est anormalement dramatique. On peut alors présumer que la mère souffre d’arachnophobie, c’est-à-dire d’une peur exagérée et irrationnelle des araignées. Ce type de phobie est appelé en psychologie : phobie spécifique. Il existe aussi deux autres catégories soit l’agoraphobie et la phobie dite de type sociale dont les symptômes s’apparentent à la phobie spécifique

indices qui montrent son sentiment de doute ? 9. Identifiez avec précision les formes verbales en « -rais » à la ligne 13 et en « -rait » aux lignes 15, 19 et 21. Justifiez ces trois dernières formes. Le héros, Georges Duroy, est journaliste dans un grand quotidien parisien à la fin du XIX siècle. Provoqué par le rédacteur d’un autre journal, il décide de se battre en duel, au pistolet, pour défendre son honneur. Le duel aura lieu le lendemain matin, à l’aube. Dès qu'il fut au lit, il souffla sa

Philosopher, c'est apprendre à mourir, Montaigne Introduction : C’est tout un chapitre où Montaigne regarde la mort en face, en cherchant tous les arguments qui peuvent faire tomber la peur, l’horreur, la révolte qu’inspire la mort. Et de fait, il parvient à trouver de vrais arguments pour apprivoiser notre peur de cette grande inconnue…La mort est le sort commun des hommes, et c'est folie de n'y pas penser, ou de le la représenter comme une chose lointaine. Texte précisément daté (version a) : 15 mars

je resterai à une condition : laissez-moi garder la ferme le soir de Noël. - Mais si tu restes, tu cours un grand danger et je risquerai de te perdre. - Si quelqu’un doit rester ici à Noël ce sera moi. - Bon, alors je resterai avec toi. Quelques jours plus tard, le soir de Noël, tout était calme et puis Lineik demanda au vieux Jon : - Est-ce que tu as peur ? - Un peu, car j’ai peur de mourir. Mais, toi, pourquoi as-tu voulu rester ? - Si je devais t’expliquer, tu ne me comprendrais pas. J’ai