Grande Rue

toujours facile, et toujours transitoire, de tel ou tel criminel choisi, de tel ou tel accusé d'élection ; c'est la plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir ; c'est le grand point de droit de l'humanité allégué et plaidé à toute voix devant la société, qui est la grande cour de cassation ; c'est cette suprême fin de non-recevoir, abhorrescere a sanguine, » Extrait de : Hugo, Victor. « Le Dernier Jour d'un Condamné. » iBooks. Ce contenu est peut-être protégé par

Foreign rights : Arabella Cruse Rescapés du chaos de la Grande Guerre, Albert et Edouard comprennent rapidement que le pays ne veut plus d'eux. Malheur aux vainqueurs ! La France glorifie ses morts et oublie les survivants. Albert, employé modeste et tmoré, a tout perdu. Edouard, artste famboyant devenu une « gueule cassée », est écrasé par son histoire familiale. Désarmés et abandonnés après le carnage, tous deux sont condamnés à l'exclusion. Refusant de céder à l'amertume ou au découragement, ils

nommait Emilia Caladero. Sa mère s’appelait Victoria Deslodgeai, son père Luigi Caladero. Emilia habitait un très grand château en Espagne. C’était le plus beau et grand château du monde. Dès qu’elle est née, elle était sûre de devenir une très grande princesse. Plus de 10 000 personnes sont venus à sa naissance, le 17 mai 1896. Chaque roi lui avait donner un magnifique cadeau d’une très grande valeur. Le roi Tito d’Italie lui avait donner un magnifique berceau en bronze. La reine Tai-Chi de la Chine

du passage Contexte Thèmes principaux Structure Analyse détaillée Conclusion Lecture de l’extrait : Il arrivait que Grand-père, pour je ne sais quelle mystérieuse affaire, eût à se rendre en ville. Je veux dire la Grande Ville, pas la nôtre où tout le monde connaissait tout le monde, et où les trottoirs ne s’usaient guère sous les semelles des passants. Non, la Grande Ville était un monde bien a part : elle avait son odeur et ses bruits, son agitation, ses policiers goguenards régnant sur

une brèche, la colline de la Belle-Alliance, s'enfonça dans le fond redoutable où tant d'hommes déjà étaient tombés, y disparut dans la fumée, puis, sortant de cette ombre, reparut de l'autre côté du vallon, toujours compacte et serrée, montant au grand trot, à travers un nuage de mitraille crevant sur elle, l'épouvantable pente de boue du plateau de Mont-Saint-Jean. Ils montaient, graves, menaçants, imperturbables ; dans les intervalles de la mousqueterie et de l'artillerie, on entendait ce piétinement

VALVERDE Hugo Écriture d'invention :Le crayon Es 1 Ce fidèle compagnon,si banale,si fragile, mais tellement utile et présent dans notre vie,de la plus tendre enfance jusqu'à l'âge adulte.Au tout début de sa vie,il est grand et svelte tel une asperge, contrairement aux petites mains qui s'en servent pour gribouiller tout et n'importe quoi. A coup de taille-crayon,notre fidèle ami voit ces petites mains grandir pendant que son corps rapetisse au fur et à mesure qu'il vieillit.Sa mine

yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sans revenir

BiographieLa jeunesse de Molière Molière est né au coin de la rue Sauval (anciennement des Vieilles-Etuves) et de la rue Saint-Honoré (maison détruite en 1802). Toute la famille habite le quartier des Halles (détail du plan de Turgot, 1739).Sa familleJean Poquelin, que l’on appellera Jean-Baptiste et qui sera Molière, est né le 15 janvier 1622 à Saint-Eustache, dans le quartier des Halles à Paris[5]. Il est né dans la maison (1 sur le plan ci-contre[6]) où son père, Jean Poquelin, marchand tapissier

La paresse et la lâchetéLes mineurs sont totalement responsables de leur minorité dans la mesure où ils ont vraiment les moyens d’y mettre fin, mais ne le souhaitent pas parce qu’ils choisissent la facilité. sont les causes qui expliquent qu’un si grand nombre d’hommes, après que la nature les a affranchi depuis longtemps d’une (de toute) direction étrangère, reste cependant volontiers, leur vie durant, mineurs, et qu’il soit facile à d’autres de se poser en tuteur des premiersCes tuteurs, pétris

La peur est en nous "La Grande Peur dans la montagne" pourrait être qualifié de formidable coup de bluff au sens noble du terme, à savoir que le talent de Ramuz conduit le lecteur selon la bonne volonté de l'auteur, lui faisant croire tout et n'importe quoi sans jamais rien affirmer. L'histoire est assez simple. Un alpage est abandonné depuis une vingtaine d'années. La commune rurale de Sasseneire, propriétaire du bien, est pauvre et ses finances auraient bien besoin du produit de la location