Grande Rue

roman est paru en 1883, lorsque la France connait la Révolution Industrielle. Dans ce roman contemporain Zola s'intéresse au milieu social du haut commerce à travers les yeux de Denise, jeune ouvrière qui arrive à Paris, et Mouret, le patron de ce grand magasin dont les immenses projets dévorent peut à peu les petits commerces. Ce passage est le tout début du roman, lorsque Denise arrive à la capitale avec ces deux frères, Jean et Pépé, et découvre le magasin. Par la suite, Denise progressera dans

d’autres grands magasins de la fin du 19ème siècle Texte 1 : « En voilà un magasin ! » Denise était Venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du Vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière

roman est paru en 1883, lorsque la France connait la Révolution Industrielle. Dans ce roman contemporain Zola s'intéresse au milieu social du haut commerce à travers les yeux de Denise, jeune ouvrière qui arrive à Paris, et Mouret, le patron de ce grand magasin dont les immenses projets dévorent peut à peu les petits commerces. Ce passage est le tout début du roman, lorsque Denise arrive à la capitale avec ces deux frères, Jean et Pépé, et découvre le magasin. Par la suite, Denise progressera dans

et Muriel Bernard COMPTABILITÉ : Nathalie Peeters AMBASSADEURS, BÉNÉVOLES ET STAGIAIRES : Christophe et Célina TRADUCTION : Lexitech ED. RESPONSABLE : a.s.b.l. Article 27 Bruxelles 31, rue de Lisbonne à 1060 Bruxelles Vous avez des remarques, des suggestions ? Ecrivez-nous ! a.s.b.l. Article 27 Bruxelles 31, rue de Lisbonne à 1060 Bruxelles bruxelles@article27.be www.article27.be Heeft uw soms opmerkingen of suggesties ? Schrijf ons ! v.z.w. Artikel 27 Brussel 31, Lissabonstraat – 1060 Brussel

des sculptures allégoriques et deux grandes statues dorées. L’intérieur du bâtiment est constitué d’un grand escalier d’apparat qui est revêtu de marbre, le plafond possède un grand nombre de lustres en cristal. Un luxe comparable aux couloirs de Versailles. La salle rouge et or peut accueillir 2 130 spectateurs. Le lustre de l’auditorium qui pèse six tonnes est représentatif de la magnificence de l’Opéra de Paris. En 1964, André Malraux fit recouvrir le grand plafond par un décor peint par Marc

| |- employés de bureau |- le voc des persos [« Fichtre ! » (Bon sang !), « Ca enfonce Valognes » (surpasse la petite ville normande] et | |- un grand magasin  |du narrateur : « magasin de nouveautés » (ancêtre de la grande surface, surtout tissus), « capelines » (cf | |- ( « voiture » (calèche) |image). |

Decout Quentin BEP MRCU Nom : BHV Rivoli Adresse : 52, rue de Rivoli , 75189 Paris Forme de commerce : Commerce intégré Forme juridique : Société anonyme Activité principale : Grands magasins Secteur : jouets Historique de l’entreprise : En 1852 que Xavier Ruel, quincaillier entreprenant, vend sa boutique de Lyon et accompagné de sa femme et de ses enfants, vient tenter sa chance à Paris et s'installe dans le quartier de l'Hôtel de ville. Ambitieux

La naissance des grands magasins Au cours du XIXème siècle, sous le Second Empire, c’est à Paris qu’apparaissent les premiers grands magasins. I ) Le Paris hausmannien Paris a connu de nombreux bouleversements urbaines en partie grâce au Baron Haussmann. Les Grands Magasins parisiens s'inscrivent dans la rénovation urbaine sous le second empire participant ainsi à la modernité industrielle. La transformation de Paris débute à l'arrivée du baron Haussmann, nommé préfet de la Seine en 1853

mais à la fin elle se mariera avec lui. Cet extrait raconte l’arrivée de trois personnages : « Denise », « Jean » et « Pépé » à « Paris » qui recherchent leur oncle Baudu car ils viennent de devenir orphelins. Il décrit leur fascination devant le grand magasin, « Au Bonheur des Dames ». Il y a une description très précise qui nous permet de visualiser le magasin et d’être fasciné. Donc cet extrait est réaliste. De plus, l’auteur nous raconte que les trois personnages sont orphelins et qu’ils

dans votre boutique . Durant l’évolution des Grands Magasins . Anais et Ibtissam promènent et croisent Hélène qui les interpelle. Hélène : Hé mesdames, vous avez entendu parler du Bon Marché ? Anais : Qu’est ce donc cette chose ? Hélène : Regardez c’est écrit ici, un certain Aristide Boucicaut, un jeune normand, tente de s’assossier, suite à sa perte d’emploi, aux frères Videau qui étaient propriétaires d’un petit magasin situé dans la rue du Bac sur la rive gauche de la Seine et nommé Le