Grands Moralistes Du Xviie Siècle

voire combattant, mais jamais militant, il soumettra sa vie à son besoin passionné de comprendre. Il est issu de la noblesse bordelaise, il a reçu une solide formation classique mais il a poursuivit toute sa vie des études de littérature latine. Grand libéral, esprit rigoureux, il est l’auteur des lettres persanes, des Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et de l’esprit des lois. - Voltaire : Né à Paris 1694 – Mort 1778, écrivain français. Voltaire

théâtre et du métier de comédien fait par Alcandre à Pridamant pour l’assurer du bon choix de son fils (sc. 6). Acte 1 Scène 1 : Introduction       L’illusion comique a été écrite en 1635 par Pierre Corneille, écrivain du XVIIème siècle. Cette tragi-comédie connaît un grand succès à cette époque mais ne respecte guère les règles du théâtre classique. Les cinq actes ont une longueur, des tons et des sujets très divers et le premier s’apparente plutôt à un prologue. En quoi cette scène n’est pas une

écrit s2LE RAPPORT A LA REALITE EN FRANCE AU XIXE SIECLE COMMENT LES ARTISTES REGARDENT LA REALITE? L’ACADEMISME - La tradition remonte au XVIIe siècle que l’art s’enseigne - Masarin : crée l’académie royal de peinture+sculpture dans le palais du Louvre 1720 : ouvert aux architectes 1803 : ouvert aux musiciens - Napoléon installe l’académie à la villa Médicis (qui propose l’amélioration) - 1873 : création de l’école française appelé le palais Farnèse Construit par

Elvire : gouvernante de Chimène8. Léonor : gouvernante de l'Infante. Don Arias et don Alonse : gentilhommes castillans. Lors de la création, le rôle de Rodrigue était tenu par Montdory qui, à quarante-six ans, était considéré comme le plus grand acteur de son temps ; Chimène était jouée par la Villiers, l’Infante par la Beauchasteau, celui de Sanche par le Montrouge. Le reste de la distribution est inconnu. Arbre représentant les différentes relations entre les personnages du

narrateur, devenu adulte, profite de l'expérience. Il sait par exemple ce qui va arriver à son personnage, autrement dit à lui-même ; il connaît les conséquences de certains actes. D'autres que Rousseau ont écrit sur eux-mêmes: Le Cardinal de Retz (XVIIe siècle) le Duc de Saint-Simon (XVIIIe) Chateaubriand (XIXe), le Général de Gaulle (XXe). Chacun d'eux a écrit des "Mémoires" (Chateaubriand les nomme Mémoires d'outre tombe), mais contrairement à Rousseau (et aux autres auteurs d'autobiographies qui proposent

l'individu à penser par lui-même et de façon rationnel, commence le grand essor de la grande culture savante occidentale (Platon, Aristote, les sceptiques, les Epicuriens, les stoïciens). Les savants s'occupent de l'eternel question du bonheur. Rome est le prolongement d'Athènes. ( Virgile: "L'Eneide"; Ovide / "Carpediem": Horace ( c'est de l'épicurisme) Sénèque ( grand stoïcien qui a élevé Néron) et Cicéron ( juriste, moraliste, stoïciens). La culture savante au Moyen-âge est presque inexistante

antique, la science désigne un ensemble très large de pratique et de théories, qui englobe la philosophie. Au sens moderne, cependant, la rupture entre science et philosophie commence à se produire à partir de la « révolution scientifique » du XVIIe siècle. - La science moderne semble se définir par son recours à l’expérience (à l’observation) ; mais si c’est le cas, il faudrait considérer que les mathématiques ne sont une science. il semble donc nécessaire d’adopter un sens suffisamment large de

III, scène 1, il se précipite aux toilettes. Une bataille d’oreillers s’engage avec Toinette, « autour de sa chaise, son bâton à la main » (acte I scène 5). D’autre part, Molière affuble ses médecins de patronymes aussi ridicules qu’expressifs. Le grand prescripteur de lavements est le docteur Purgon, nom fabriqué sur le mot « purge ». Chargé de les administrer, l’apothicaire s’appelle Fleurant, d’après le verbe « fleurer », sentir. On peut préciser que les remèdes qu’il élabore pour Argan le font

La chanson de geste Les chansons de geste apparaissent en plein Moyen-Age vers le XI siècle .Ces chansons , étaient des longs poèmes qui racontaient les exploits des chevaliers lors des batailles ou des exploits qui ont eût lieu lors des siècles précédents . A travers ces récits, c’est l’idéal féodal qui est mis en avant par la loyauté du vassale pour son suzerain et par l’honorable mort du chevalier tombé au combat pour sa nation. Le thème principal des chansons de geste est la guerre contre

prennent des proportions fantastiques. Ainsi dans Le Malade imaginaire et Le Bourgeois gentilhomme, où la comédie, si franchement réaliste d’abord, se grise de sa santé et finit dans le rire colossal de Pantagruel. Loin d’y sentir une déchéance de la grande comédie, j’y vois son fort épanouissement, une épopée de la bonne humeur et de la bouffonnerie. La musique n’ajoute pas peu d’ampleur à cette magnificence du rire ; surtout elle le rend possible ; elle désarme la critique ; elle livre la raison