Grands Moralistes Du Xviie Siècle

(10mn) - distribuer le plan de séquence - explication en commun de la problématique de séquence - explication du projet d’écriture sur la séquence Activité (5mn) Individuelle, sur son cahier Consigne : résumez ce que vous savez du classicisme et du XVIIe siècle (séquence précédente) Mise en commun (S)1 (10mn) - Louis XIV, monarchie absolue - Cour : foyer artistique, règles -> classicisme - Aspects moraux : mesure idéale de l’homme classique Seconde activité (15mn) Réflexion en binômes, à voix basse

« Les obsèques de la lionne » Jean de La Fontaine (Introduction)  Jean de La Fontaine (1621-1695), maître des eaux et forêts, est un écrivain et poète dramaturge, moraliste et romancier français du XVIIe siècle. Il publie des fables entre 1664 et 1694, organisées en 12 livres et réparties en 3 recueils. Cette fable, extraite du livre VIII, est tirée du second recueil, publié en 1678 et dédicacé à Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques et plus longues que celles

qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. A la suite des grandes découvertes, les récits de voyage alimentent l’imaginaire et l’inspiration des écrivains, moralistes et philosophes, dans une moindre mesure au XVIIe siècle mais très fréquemment au XVIIIe siècle. C’est ce que nous montre les textes du corpus : le texte de Jean de La Bruyère, extrait du chapitre 74 des Caractères est publié en 1696. Le deuxième

l'Ancien Régime JEAN DE LA FONTAINE JEAN DE LA FONTAINE (1621-1695) est aujourd’hui le plus connu des poètes français du xviie siècle, et il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses Fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire

Introduction : • L’Humanisme est un mouvement intellectuel apparu au XVe siècle, qui aspire à perfectionner l’homme. Il se tourne vers les textes antiques et accorde une grande importance à l’éducation. • La Renaissance est d’abord un mouvement artistique développé depuis l’Italie à travers toute l’Europe aux XVe et XVIe siècle. Par extension, le mot désigne aussi l’esprit d’une époque convaincue d’ouvrir une ère nouvelle. De ce point de vue, l’humanisme est l’un des composantes de la

principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. A la suite des grandes découvertes, les récits de voyage alimentent l’imaginaire et l’inspiration des écrivains, moralistes et philosophes, dans une moindre mesure au XVIIe siècle mais très fréquemment au XVIIIe siècle. C’est ce que nous montre les textes du corpus : le texte de Jean de La Bruyère, extrait du chapitre 74 des Caractères est publié en 1696. Le deuxième

effet, John Locke, philosophe anglais du XVIIè siècle, dans sa « Lettre sur la tolérance » présente déjà cette qualité comme un élément central de la philosophie et la propose comme une réponse aux problèmes politiques posés par les questions religieuses de son époque. Ainsi, pour lui, seule une église qui prêche la tolérance peut être autorisée dans une société où la peur de l’invasion du catholicisme règne. De même, Voltaire, écrivain du XVIIIè siècle, abordait aussi la question en dénonçant

s. XVIII ------------------------------------------------- 5º de Filología francesa 1. INTRODUCTION Avant d’entrer au XVIIIe siècle, il faut dire que le siècle antérieur laisse une sensation de stabilité générale. On dit du XVIIe siècle que c’est une époque marquée par le christianisme et la monarchie. On dirait Un siècle classique. Le XVIIIe siècle est tout à fait contraire : c’est une période de « mouvement » qui finit par une crise violente. Un nouveau système politique s’instaure

Alcools (1913) en se disant « las du monde ancien » et, après la Première Guerre mondiale, les surréalistes adopteront le rejet et la provocation. Les poètes se libèrent des thèmes attendus mais aussi des codes de la poésie. Victor Hugo « disloqu[e] ce grand niais d’alexandrin » et, à 16 ans, Rimbaud fissure le carcan des conven- tions poétiques avant d’adopter dans Les Illuminations le vers libre et le poème en prose. Apollinaire affranchira la poésie de la ponctuation et les surréalistes de la logique

ont coécrit Sociologie du tourisme, La Découverte, coll. « Repères », 2009. À la fin du XVIIe siècle, Blaise Pascal écrivait que « tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre » (Pensées). Au même moment, les jeunes aristocrates britanniques s’inquiétaient plutôt d’obtenir « une chambre avec vue » à chacune des étapes du grand tour qui les conduisait déjà jusqu’au Sud de l’Italie. Immortalisée par le roman d’Edward M.Forster