Graphie

Distinguer entre la lettre et le son qu’elle transcrit ; connaître les correspondances entre leslettres et les sons dans les graphies simples (ex. f ; o) et complexes (ex. ph ; au, eau). | | | | | | | | | | | | Savoir qu’une syllabe est composée d’une ou plusieurs graphies, qu’un mot est composé d’une ouplusieurs syllabes ; être capable de repérer ces éléments (graphies, syllabes) dans un mot. | | | | | | | | | | | | Connaître les correspondances entre minuscules et majuscules

le cas de la consonne anglaise ’[D]’ (dans le mot the) qui est souvent prononcée ’[z]’ par les locuteurs français. Le second problème, que nous avons constaté, est que la graphie d’un mot influence le locuteur non natif dans la façon de prononcer ce mot. Face à des mots qu’ils ne connaissent pas, ou encore des mots dont la graphie est identique dans les deux langues, ces locuteurs ont souvent tendence à réaliser une pononciation similaire à leur LM. Pour illustrer cela, considérons l’exemple de la

 Histoire de la langue française CHEVAL Introduction : Substantif masculin appartenant à la première déclinaison. Graphie inchangée depuis son apparition au début du XIIe siècle. Désigne un mammifère appartenant à la famille des équidés. Développement chronologique : a) Origine du mot : Du latin caballus (cheval hongre) et du gaulois caballos. b) Acceptions du mot en ancien français : Caballos (cheval de trait), cheval, chevaus, chevax. c) Paradigme morphologique : -Substantifs masculins

nécessaires du savoir-lire. ➢ Interaction lecture /écriture : ▪ Activités ludiques pour apprendre à lire en 3ème année. ▪ Grille d’évaluation de la lecture vocale (4ème année). ▪ Comment étudier les graphies. ➢ La production écrite dans le cadre du projet d’écriture : ▪ Le mini projet n° : 2 (J1 / J4). A titre indicatif ▪ Le mini projet n° : 2 (J4 / J7). ▪ Les J.P. 1/2 du mini-projet 3.

facteurs responsables de la variabilité des réalisations phonétiques, notamment pour les voyelles. Transcrire phonétiquement un énoncé oral, c'est noter, à l'aide d'un alphabet conventionnel, la séquence des sons phonétiques qui composent cet énoncé. La graphie traditionnelle, utilisant un alphabet d'une quarantaine de lettres (graphèmes) n'est pas suffisante dans la mesure où il y a rarement correspondance entre la représentation (ortho)graphique et la prononciation: 'lettres muettes', valeurs phonétiques

activités consistaient pour un des groupes de déchirer du papier vert dans différents ton à coller sur le sapin, pour le second il fallait tamponner un sapin coupé au préalable et enfin pour finir le troisième groupe devait d’une part faire de la graphie sur une feuille A4 puis passer de l’encre dessus. Ces ateliers ont été réalisés sur 2 séances. Chaque étudiant avait en charge un atelier et c’étaient aux élèves de tourner une fois la tâche terminée. Or, on a eu une mauvaise gestion puisque le

grammaire de phrase ou de texte ( avec l’aide de l’adulte ). - mettre en œuvre des stratégies efficaces pour écrire les mots : • analyse auditive de la chaîne orale • découpage syllabique • analyse des phonèmes et recherche de la graphie correspondante en s’aidant des outils à disposition Compétences transversales : - être capable d’expliquer sa démarche pour repérer les éléments sur l’image à partir de la devinette. - Etre capable d’expliciter comment on a construit du sens

pas généralisable. Certaines graphies empruntées sontsi familières qu’elles deviendraient non reconnaissables si elles étaient francisées (la francisation de web en ouèbe, par exemple). Par ailleurs, l’absence d’adaptation est à l’origine de difficultés importantes : 1. Elle suppose la maîtrise de deux systèmes linguistiques (celui de la langue d’emprunt et celui de la langue française). 46 2. 3. 4. Elle contribue à maintenir un trop grand écart entre la graphie et la prononciation. Elle encourage

vers classiques : B- La diérèse : Deux exemples : Dites-nous, marches gracieuses [ɡʁɑ si jøz] Et les belles ambitieuses [ɑ̃ bi si jøz] De quoi s’agit-il ici ? Il faudrait dire ceci : Il y a une ambiguïté de la graphie. Le « i », dans la graphie du français, peut renvoyer à deux phonèmes différents. Ou bien le « i » note le phonème voyelle [ɪ] comme dans [di tə]. Ou bien, le « i » note le phonème qu’on nomme semi-voyelle ou semi-consonne [j]. En réalité, c’est déjà une consonne

1 A NASAL GRAPHIES qui représentent [S] : EN moment entendre mentir ressentir accentuer EM + P B AN printemps embarquer température gingembre membre temps Exceptions: sempiternel [sRpitDYnDl], tandem [tSdDm] fantôme chant changement langage quand pan AM + P – B ambassadeur champ amphithéâtre camper Adam [*adS] AM en Exceptions: l´Islam [l*islam], Amsterdam [*amstDYdam], finale macadam [makadam], tam-tam [tamtam], AEN Caen [*kS] et Saint-Saëns [*sRsS :s] AON