Graziella De Lamartine

La raison pour laquelle j’ai choisis de parler sur Lamartine et ses œuvres, c’est la sensibilité, la sincérité, la spontanéité et la musicalité de ses poésies. De même, je pense qu’il représente un moment important dans l’histoire de la littérature française parce qu’une fois la publication des Méditations, une nouvelle poésie se naît : la poésie romantique, une poésie qui exprime les plus profondes sentiments du moi. Introduction. Le dictionnaire Le Robert Micro donne les définitions

bovarysme est « obligatoire », il dit aussi qu’il n’est pas bon d’en abuser. L’origine du bovarysme vient naturellement de l’œuvre de Gustave Flaubert «Madame Bovary » (1857). Mais il apparaît déjà grâce à d’autres personnages tels que « Graziella » de Lamartine (1852) ou Véronique Graslin dans « Le curé de village » (1841). Ces deux femmes sont comme Madame Bovary, elles ont une liaison, perdent de l’argent, viennent d’un milieu rural, etc… Description Madame Bovary Flaubert ne trace pas dès

Allemagne. Il touche tous les arts à la fois : littérature, peinture, sculpture, musique. En France, il lutte pour s'imposer de 1820 à 1830, triomphe de 1830 à 1850 environ. Il a été marqué par de grandes figures telles que Victor Hugo, Alphonse De Lamartine, Alfred De Musset… Définitions 1. Ecole littéraire : Écoles littéraires, terme désignant les groupes et les productions d'auteurs qui, à une époque donnée, partagent des principes esthétiques communs, exprimés dans des textes théoriques

chapelle de saint-Crépin. Publication posthume : Le Discours au roi sur la poésie Alphonse de Lamartine : né à Mâcon (Saône-et-Loire) en octobre 1790. Il passe son enfance à Milly, un village près de Mâcon, et fait ses études à Belley chez les jésuites.De juillet 1811 à avril 1812, Lamartine est envoyé en Italie. Il découvre Florence, Rome et Naples. Là, il s’éprend d’une jeune fille, Antoniella (cf. Graziella).Sa vocation littéraire s’affirme sous la Restauration. À cette époque, il rencontre Julie

amoureux 1 Préface : justification des poèmes 2 Sommaire : 3 Hélène 4 Le guetteur mélancolique 5 Désirs 6 La chatte métamorphosée en femme 7 La chevelure 7 Poème de louise Labé 8 A madame menessier 9 A la femme aimée 10 Adieu a Graziella 11 La Courbe de tes yeux 12 Baiser rose, baiser bleu 13 Au tribunal d'amour, après mon dernier jour 14 Le Jardin 15 Beauté des femmes... 16 Vous m'avez dit, tel soir... 17 Ronsard (1524-1585) écrivit en 1578 Hélène, un des cent onze

P. Trahard, Editions Garnier, 1958 Paul et Virginie : Une histoire " de corps trop jeunes et de civilisation trop vieille, de nature trop verte et de tabou trop fort". Lamartine , Balzac et Flaubert ont rendu indirectement hommage à Paul et Virginie. En effet, trois de leurs héroïnes, Graziella (Graziella, 1849), Véronique ( le Médecin de Campagne, 1833) et Emma Bovary ( Madame Bovary , 1856) apparaissent chacune penchée sur ce roman de Bernardin de Saint-Pierre.

exécute la Graziella de Lamartine, dont il trouve la fin particulièrement ratée. Il en propose donc une réécriture plus à son goût, en prenant Voltaire comme modèle. C'est à cette occasion qu'il fait part de son admiration pour la fin de Candide, « bête comme la vie ». Voltaire auquel Flaubert fait référence rapidement et entre parenthèses, semble représenter pour lui le meilleur antidote au romantisme échevelé des sentiments poétiques. Pour Flaubert, la fin de Graziella, que Lamartine a rédigé «

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alphonse de LAMARTINE (France) (1790-1869) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont commentées (surtout ‘’Méditations poétiques’’). Bonne lecture ! Il est né à Mâcon. Il vécut ses dix premières années en petit campagnard, dans le village de Milly, près de Mâcon, où son père, échappé aux cachots de la Terreur, exploitait le maigre domaine familial. Au charme de la nature s’ajoutait la douce influence de

système qui authentifie la dimension comique par la surenchère dans la visibilité. On opposera à cet égard la rareté de la composante comique des titres, essentiellement descriptifs, de prime abord (hormis « Sonnet de nuit », « Le Fils de Lamartine et de Graziella » ou par ses sonorités, « La Pipe au poète13 ») dont on peut aisément mener la lecture au kilomètre sans sourire, et la charge humoristique des localisations et datations qui viennent in fine. Il est vrai qu’à l’une ou l’autre des extrémités

et de l’ennui opposée à celle de Madame Bovary, l’oblomovisme pourrait bien, en tant que maladie de la non-lecture, s’avérer un contre-bovarysme. 7Une comparaison entre Emma Bovary et d’autres personnages romanesques féminins (Graziella du roman éponyme de Lamartine et Véronique Graslin du Curé de village de Balzac), appréhendées en tant que paradigmes de figures de lectrices, achèvera l’interprétation du bovarysme. La proposition flaubertienne, inédite, révèle un mal de la lectrice spécifique