Grenelle Environnement

les habitants du 7, rue de Grenelle croient connaître. C'est donc en clandestine qu'elle lit du Proust, que son chat s'appelle Léon en référence à Tolstoï et qu'elle emprunte des livres de philosophie à la bibliothèque universitaire du quartier. Aucun de ces « riches suffisants » ne doit penser que sous ses airs de concierge revêche se cache une intelligence brillante et une personne cultivée. Paloma, 12 ans, brillante et révoltée, habite également au 7, rue de Grenelle. Elle refuse le monde des

ainsi qu’une diminution de leur temps de travail. Le gouvernement doit réagir face à cette « révolution » car en plus, la gauche réclame le départ du général de Gaulle. Le Premier ministre Georges Pompidou, signe avec les syndicats les Accords de Grenelle (augmentation des salaires, droit syndical reconnu dans l’entreprise). Puis de Gaulle dissout l’Assemblée Nationale. Aux élections de juin 1968, les français, inquiets du désordre, votent massivement pour les gaullistes. Cependant, le départ du général

France, ces schémas spéciaux sont prévus pour l'Île de France, la corse, ainsi que des SAR (Schéma d'aménagement régional, prévu par une loi de 1994 pour la Réunion, Martinique et Guyane, recadrés par la loi Grenelle II). Après la Loi Voynet qui a introduit les SRADT, les lois Grenelle I et Grenelle II ont précisé la manière dont le climat et la trame verte et bleue nationale devaient être pris en compte dans l'aménagement du territoire. A l'échelle plus réduite des agglomérations, on entre dans le

Concorde, le pont Alexandre III ( construit pour l'Exposition Universelle de 1900 et dont le Tsar Nicolas II posa la première pierre ), le pont des Invalides, le pont de l'Alma (où l'on peut voir le célèbre zouave de Diéboldt ) et par le pont de Grenelle, la Seine a vu s'édifier au dessus d'elle les témoignages des différentes étapes du développement de Paris. 

de « chienlit » (désordre) * du 21 au 25 mai : activités cessent une à une (textile, banques, agricultures...), manque de denrées, pénurie totale d'essence, chute des cours de la bourse * 27 mai : augmentation du SMIG de 35% grâce aux accords de Grenelle mais les ouvriers ne veulent pas reprendre le travail « phase politique » (27 mai - 30 juin) : * 30 mai : retour de De Gaulle à Paris qui annonce la dissolution de l'Assemblée Nationale entraînant des élections législatives * reprise du travail

générale Les revendications ouvrières portent sur les conditions de travail Signés le 27 mai les accords de grenelle entre les syndicats et le premier ministre Pompidou : augmentation des salaires de 10% et diminution du temps de travail à 35 heures par semaine. La grève devient alors une crise politique : 2) La crise politique Les ouvriers rejettent les accords de grenelle : la grève continue. => ils réclament un « gouvernement populaire » 30 mai : Le président de Gaulle dissout

celui-ci, plusieurs propositions de réforme ont été faites. Ces propositions vont de la simple exigence d’amélioration de ce régime à sa réforme partielle voire totale. En effet, il ressort du rapport du groupe de travail n° 3 de la concertation du Grenelle de la mer, conduite par l’ex ministre d’Etat français M. Jean-Louis BORLOO d’avril à juillet 2010, des propositions visant l’amlioration du Fonds International d’indemnisation des dommages dus à la pollution par les hydrocarbures à savoir : l’admission

tourne à l'émeute. La Bourse est en partie incendiée. -27-28 mai: l'opposition politique essaye de s'organiser face à ce qui apparaît être une absence de pouvoir à la tête de l'état après l'échec du discours présidentiel et le rejet des accords de Grenelle par la base. Pierre Mendès-France participe à un meeting au stade Charletty organisé par l'Unef. Le lendemain, François Mitterrand qui, considérant qu’il y a vacance du pouvoir, annonce sa candidature à la présidence de la République. Dans l’après-midi

qualité urbaine, disponibilité d’équipements publics etc. S’y ajoute aujourd’hui, et de façon pressante, l’objectif du développement durable, avec ses nombreuses lectures législatives et réglementaires déclinées en particulier dans la loi dite « Grenelle II ». Les grandes agglomérations, fortes contributrices aux émissions de gaz à effet de serre, se retrouvent bien sûr au premier plan de cette préoccupation. L’avenir de l’agglomération parisienne aura fait beaucoup gloser au cours de ces derniers

universitaire, sociale et économique », menaçant de se retirer en cas de victoire du « non ». Son annonce reste sans effet. Son Premier ministre, Georges Pompidou, joue alors la carte de la négociation sociale. En pleine crise, les négociations de Grenelle (25 et 26 mai) mettent au jour les divergences au sein du mouvement de contestation : face au gauchisme des groupes étudiants (anarchistes, maoïstes, trotskistes), qui souhaitent un changement radical des structures, et aux revendications des grévistes