Gresham

également qu’il est difficile d’appliquer une politique monétaire car : * Existence d’un mauvaise monnaie (*) * Usure voire disparition de la monnaie * Evasion des métaux précieux (hors du pays) (*) : Sur la mauvaise monnaie : loi de Gresham (16e siècle) : « la mauvaise monnaie chasse la bonne » : lorsque deux monnaies sont simultanément en circulation avec un taux de change fixe, les agents économiques préfèrent thésauriser la ‘bonne’ monnaie et utiliser/échanger la ‘mauvaise’ monnaie

précieux contenue dans les pièces de monnaie. Si cette opération assurait des profits à court terme à l'État, qui pouvait frapper plus de monnaie pour la même quantité de métal précieux, elle faisait monter les prix à long terme, en raison de la loi de Gresham, qui veut que la « mauvaise monnaie chasse la bonne ». E. L'inflation légère C'est celle qui se caractérise par une hausse de prix de l'ordre de 20 à 30% qui se situe dans une période de 15 ans11(*). F. L'inflation ouverte ou déclarée On en parle

unités d’argent Loi de Gresham : la mauvaise monnaie (utiliser pour l’échange) chasse la bonne (conserver par les agents écos) 1871 = monométallisme 1914 = cours forcé -> billet plus échangeable en or Exemple de bimétallisme : franc germinal Il fixe un taux fixe entre la valeur des 2 métaux = valeur légale 1 franc = 0,3225 grammes d’or fin d’argent à 900/1000ème = 5 grammes d’argent Mais la valeur légale peut s’éloigner de la valeur commerciale des métaux = loi gresham Si 2 monnaies métalliques

l’argent pour effecteur leur transaction et conservaient l’or. Au point que l’or a presque disparu de la circulation en Angleterre. Ce phénomène a été mis en avant, par un commerçant et financier Anglais du 16ème siècle, Monsieur Gresham, sous le nom de loi de Gresham que l’on a résumé par la formule : « La mauvaise monnaie chasse la bonne ». Et donc le monométallisme sera instauré en France en 1876. La fonction de réserve de la monnaie n’est implicitement pas mis en avant par les économistes classiques

et ainsi déterminer la meilleure a mettre en œuvre. Durant cette période, d'importantes quantités d'or et d'argent affluaient des colonies espagnoles du Nouveau Monde vers l'Europe. Pour les écrivains bullionistes, tels que Jean Bodin ou Thomas Gresham, la richesse et le pouvoir de l'État sont mesurés par la quantité d'or qu'il possède. Chaque nation doit donc accroître ses réserves d'or aux dépens des autres nations pour accroître son pouvoir. La prospérité d'un État est mesurée, selon les bullionistes

pour être de moins en moins dépendant de l'extérieur et d'avoir matière pour importer. Le commerce extérieure est un jeu à somme nulle : si il y en a qui gagnent, il y en a qui perdent. Un débat commercialiste va donc émerger notamment avec GRESHAM qui montrera que la mauvaise monnaie chasse la bonne. C'est-à-dire que quand des agents économiques ont le choix dans les échanges entre une bonne et une mauvaise monnaie, ils vont préférer garder la bonne monnaie et échanger avec la mauvaise monnaie

écrits mercantilistes soient généralement produits pour justifier a posteriori des choix politiques, plutôt que d'en évaluer l'impact a priori, en vue de déterminer la meilleure option à mettre en œuvre29. La recherche de la richesse : Thomas Gresham, marchand et financier anglais Les premières théories mercantilistes développées au début du XVIe siècle sont marquées par le bullionisme (de l'anglais bullion : or en lingots). « La double fonction que remplit l’Argent, comme instrument

Europe, et aujourd’hui les pays africains, asiatiques ou latino-américains sont nombreux dans lesquels circulent en parallèle le dollar US (demain l’euro ?) et la monnaie locale. Cette circonstance a donné lieu à un adage classique, appelé « loi de Gresham » du nom de son auteur : selon celle-ci, la mauvaise monnaie chasse la bonne… 1 Très souvent, le bien accepté comme moyen de paiement est aussi le numéraire, mais ce n’est pas nécessairement le cas. C’est ainsi qu’au Royaume-Uni subsiste encore la

quantités massives d'or et les importent en Europe. Cette période s'appelle le bullionisme, c'est un moment d'une extrême prospérité où l'or est abondant. Certains financiers vont alors s'interroger sur la monnaie et son rôle, notamment Gresham avec sa Loi de Gresham. La monnaie repose sur un système de parité avec l'or : chaque pièce est contient une somme d'or qui en fait sa valeur. Or, quand la quantité d'or augmente, son prix va baisser, et donc la valeur des pièces d'or de l'époque diminue:

des employeurs ou en générale des attitudes sociétales. Collectivement, ces raisonnements constituent une principale construction dans le processus de décision éthique et contribuent au développement des prescriptions éthiques appelées par Ferrel, Gresham et Fraedrich (1989), « théories philosophiques de l’éthique ». On retrouvera alors les théories dites téléologiques (par exemple l’utilitarianism), qui déterminent la valeur morale d’un comportement à travers ses conséquences et, déontologiques, qui