Grésil

s
de
l’emploi,
l’autre
pour
les
entreprises
et
réseaux
 d’entreprises.
(Annexes
1
et
2).
 
 Action
2.
Rencontre
dans
le
cadre
de
la
Quinzaine
de
la
Diversité

 Elle
a
eu
lieu
le
lundi
21
novembre
2011
de
14h
à
18h
au
Point
Relais
Emploi
des
Grésilles.
 Ces
mêmes
acteurs
interviewés
ont
été
conviés
à
une
session
participative
d’élaboration
du
projet.
 L’objectif
a
été
de
formuler,
au
plus
juste
de
la
réalité
de
chacune
des
parties
:
 ‐ une
vision
globale
des
problèmes
sous‐jacents
à
la
dif

lunettes et les Lacoste - quand il y en a. Et pendant que les filles se baignent, pendant que les pendentifs s'affolent au-dessus des seins et que les salives s'échangent au fond des cavités palatines, pendant que les voleurs approchent, que le soleil grésille sur le pelage des guêpes et assoiffe les chardons, pendant que les mateurs n'en peuvent plus de zyeuter les mômes de la corniche, exaspérés, fascinés par l'éclat de leurs dents quand ils hurlent de rire ou s'échauffent en gueulant, pendant tout

l’intérieur même de la modélisation climatique se trouvent des sous-catégories. Par exemple, certains chercheurs vont travailler sur « le rôle des nuages dans les modèles climatiques, la chimie des aérosols [...], les précipitations de neige, de grésil». Et plus encore. Toutes ces recherches en parallèle permettent de les intégrer dans un système plus grand. « C’est un peu ça qui nous permet de bâtir un modèle de climat, un modèle météorologique, précise le directeur. C’est l’interaction de tous

Sébart p . 6, R . Bourguet p . 6, C . Weiss p . 32, Cheviet p . 34) . Illustrations : Francis Macard 43 l’ADEME Imprimé par Caractère avec des encres végétales sur papier certifié Écolabel Nordique 7129 Mars 2011 Siège social : 20, avenue du Grésillé BP 90406 - 49004 ANGERS cedex 01 L’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME) est un établissement public sous la triple tutelle du ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, du ministère

tourner du bout, comme un charpentier de marine qui perce une poutre avec une tarière5. C’est ainsi que nous faisons tourner le pieu brûlant dans son œil, et le sang gicle. La prunelle, les sourcils et les paupières sont calcinés. Le pieu d’olivier grésille dans son œil comme une hache rougie au feu qu’un forgeron trempe dans l’eau froide. Le Cyclope pousse un hurlement épouvantable. La roche en renvoie l’écho et nous bondissons en arrière. Il arrache le pieu souillé de sang et le jette loin de lui

Qu’est-ce que vous désirez ? LE MANAGER (à son interlocuteur au téléphone) (si interlocuteur il y a) « Une seconde. » (à l’interphone) « J’aimerais un menu [ ] Big Mac [ ] , une grande frite… » Soudain, la radio de l’agent se met à grésiller… La chanson revient… L’agent essaie de baisser le son, mais ça ne fonctionne pas. LE MANAGER « Ah, merde… » (au téléphone) Une seconde… (à l’interphone) Oui, je voudrais aussi un Sprite… Le volume de la radio monte. LE MANAGER

fatiguées. Monsieur Linh se dit, des lèvres fatiguées, cela ne veut rien dire, mais pourtant c’est cela. On dirait que les lèvres de l’homme sont fatiguées, fatiguées d’une tristesse insoluble et poisseuse. Monsieur Bark allume la cigarette, qui grésille dans l’air froid. Il ferme les yeux, tire la première bouffée, sourit, puis regarde la petite que Monsieur Linh serre sur ses genoux. Il la regarde et sourit encore plus, d’un bon sourire. Il secoue la tête, comme pour un assentiment. Monsieur Linh

– 4 à 7 km -, strato28 cumulus, nimbostratus et stratus des altitudes basses (quelques centaines de mètres à 4 km) o Précipitation : les gouttelettes devenues trop grosses, trop lourdes tombent vers le sol sous forme de pluie, grêle, grésil, neige. Parfois elles peuvent ne pas atteindre le sol, s’évaporant au cours de leur descente. o Ruissellement et infiltration vers l’océan : une partie de l’eau est consommée par les plantes puis renvoyée par évapotranspiration dans l'atmosphère

se joindre au vol, histoire d'observer comment cela se passait. Maintenant, à l'approche de la zone du saut, il était presque déçu. Il al ait regarder sauter les autres et rester seul. « H moins cinq... » La voix du pilote, lointaine et métal ique, grésil a dans les haut-parleurs. Alex serra les dents. Cinq minutes avant le saut. Il regarda les hommes qui se préparaient, qui vérifiaient la fixation de leur sangle d'ouverture automatique. Il était assis à côté de Loup. Celui-ci était étrangement silencieux

éther et gagne les rives des Cicones, tandis que l'appelle, bien inutilement, la voix d'Orphée. Il y est venu, sans doute, mais sans y apporter formules solennelles, visage réjoui ou présage heureux. Et même la torche qu'il tenait ne cessa de grésiller et de fumer à tirer des larmes : il l'agitait sans en faire jaillir aucune flamme. La suite du présage fut pire [...]. L'échec est un autre trait tragique présent dans les deux poèmes. Chez Ovide, on a une amplification du présage tragique avec