Grignan

d'amitié avec les personnages les plus distingués de son temps, fréquente les salons dont celui de l'Hôtel de Rambouillet, est appréciée pour son bon goût, la grâce de son esprit. Sa fille ayant épousé le lieutenant général comte de Grignan doit le suivre dans son commandement de Provence; la séparation est très dure pour Mme de Sévigné qui entretient alors avec elle une correspondance régulière. Dans ces lettres, Mme de Sévigné raconte tous les événements qui se passaient

; on me mena dans la chambre de madame du Housset, on me fit du feu ; Agnès me regardait sans me parler ; c’était notre marché ; j’y passai jusqu’à cinq heures sans cesser de sanglotter ; toutes mes pensées me faisaient mourir. J’écrivis à M. de Grignan, vous pouvez penser sur quel ton ; j’allai ensuite chez madame de la Fayette, qui redoubla mes douleurs par l’intérêt qu’elle y prit : elle était seule, et malade et triste de la mort d’une sœur religieuse, elle était comme je la pouvais désirer.

MADAME DE SEVIGNE • Présentation générale Madame de Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal née le 5 février 1626 à Paris (Place Royale). Elle est morte le 17 avril 1696 au Château de Grignan. Celle-ci vécu au 17e siècle et fréquenta la Cour de Louis XIV. • Sa vie Madame de Sévigné à l’âge de 7 ans devient orpheline. A la mort de ses deux parents elle fut confiée à ses grands parents maternels qui disparurent à leur tour. Elle fut alors élevée par son oncle maternel Philipe de Coulanges. En

Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné (5 février 1626, Paris - 17 avril 1696, Grignan) est une femme de lettres française. Orpheline en 1633 car son père Celse-Bénigne de Rabutin (1596-1627), baron de Chantal meurt lors du siège de La Rochelle et sa mère Marie de Coulanges, née en 1603 le rejoint dès 1633. Mme de Sévigné n'en eut pas moins une jeunesse choyée et heureuse, d'abord chez son grand-père, Philippe de Coulanges, puis, lorsqu'il mourut en 1636, chez le fils ainé de celui-ci.

Sévigné donne sa fille Françoise-Marguerite au comte de Grignan. Ce dernier est nommé en septembre lieutenant-général en Provence par Louis XIV. Devant y résider, sa femme l’accompagne préférant aux charmes de Paris et de la cour le plaisir de vivre près de lui. C’est à cette circonstance que nous devons les Lettres (1671-1696) de Madame de Sévigné. Mille cinq cent lettres environ, seront adressées principalement à sa fille madame de Grignan, mais aussi à son fils Charles, à son cousin Bussy-Rabutin

1669 au comte de Grignan, deux fois veuf, et lieutenant général en Provence. Mme de Grignan dut, en 1671, rejoindre son mari. Cette séparation fut douloureuse : Mme de Sévigné idolâtrait sa fille. Et nous devons à cette circonstance et à ce sentiment un peu outré, la plus grande et la plus vivante partie des lettres de la marquise. D’ailleurs, elle n’aimait pas moins son fils, Charles de Sévigné, doué d’un cœur plus ouvert et d’un tempérament plus expansif que Mme de Grignan. Charles fut brave

littéraire, précieuse chronique des événements et des mœurs de son siècle. Madame de Sévigné est séparée de sa fille, lorsque celle-ci se marie et part vivre à Grignan. Elle la voit peu, mais lui écrit des lettres très fréquentes et émouvantes durant de nombreuses années. Elle rédige celle-ci à la suite d’un voyage fait à Grignan. À MADAME DE GRIGNAN À Montélimar, jeudi 5 octobre 1673 Voici un terrible jour, ma chère fille ; je vous avoue que je n’en puis plus. Je vous ai quittée dans un état qui augmente

 manqué,  mais  sur  le  ton  d’une  confidence  intime  =  récit  d’avant  et  d’après   l’annulation  (le  jeudi  19),  tel  qu’elle  l’a  vécu,  vraie  émotion.  (Corneille,  Polyeucte)     7.  GRIGNAN,  16  janvier   Ê Explique  le  retard  du  retour  de  MdG  =  fortes  pluies  +  Coadjuteur  doit  marier  sa  cousine  Mlle   d’Harcourt.  A  peur  qu’elle  parte  sans  lui.  Tensions  entre

peu de vrais amis, surtout après la disgrâce de Fouquet. Les occasions de remariage ne manquent pas ; elle les refuse toutes, reportant sa tendresse sur ses enfants et surtout sa fille qu'elle adule. Celle-ci se marie en 1669 avec le comte de Grignan, lieutenant général de Provence et le rejoint dans son gouvernement en 1671 . C'est en raison de cette séparation déchirante que la correspondance de Mme de Sévigné prend dès lors un développement considérable : la grande majorité des 1500 lettres

Rédaction n°6 Introduction : Tony Novajkai Vendredi 22 mars 2013 nous sommes allés à Grignan pour visité le château. Nous étions accompagnés de Mme Boudon, de Mr Boughandjour et d'une classe de 4ème. Nous sommes allés en bus scolaire. Le but de cette sortie, était de nous faire voir où Mme de Sévigné a vécu puis visité le château qui est tout de même un grand monument historique car Mme de Sévigné a habité ces lieux. En sortant du bus nous avons vu un cimetière et une chapelle. Nous