Gris ardoise

1977 Affiche d’Amnesty International États-Unis pour l’Année du prisonnier d’opinion (1977). Lithographie de Roman Cieślewicz (1930-1996), photographe et graphiste polonais naturalisé français. * Description : en haut, une sorte de gros nuage gris et menaçant séparé en 3 par deux grosses bandes de couleur noir. Au milieu, un fond entièrement blanc en forme de flamme, et avec une écriture disant « Amnesty International » écrit en noir. En bas

Un oiseau noir À cet instant-là, j’ignorais ce qui se passait. La confusion totale, aucune compréhension, rien! Une chose terrible si vous saviez… Malgré l’Alcool qui circulait toujours dans mon sang dut à la soirée interminable et bien arrosée d’hier et malgré la fatigue que j’essayais de combattre. Je devais tout-de-même aller travailler à la morgue en ce lundi si sombre. C'était une journée froide et nuageuse. Aucun rayon de soleil n’arrivait à transpercer l'immense couche grisâtre qui nous

immense progrès dans la domaine de l'urbanisation. Les terrains inhabités autour des villes sont de plus en plus souvent utilisés pour y construire de nouveaux bâtiments ou centres commerciaux. Par conséquence, les villes s'agrandissent. Ainsi, le béton gris remplace l'environnement naturel, ce qui génère à partir du XVIIIème siècle un regard nouveau sur la ville. La cité prend une ampleur de plus en plus démesurée où les humains finissent par perdre leur individualité. Il est fréquemment constaté

adolescents viennent des familles immigrées. Le film suit la vie quotidienne des trois garçons qui est régulièrement perturbé par la police. Le film est en noir et blanc pour nous donner une véritable représentation de la vie dans les banlieues, un monde gris sans espoirs qui est dominé par la criminalité et les drogues. Parfois le film est difficile à comprendre parce qu’on utilise le «verlan», la langue des banlieues. Les scènes des émeutes au début du film sont choquantes, il y a des images très violentes

Scène d’exposition des Bonnes. Gérard Gelas : Bonsoir les filles, nous sommes tous dans ce théâtre du chêne noir pour faire notre répétition. Nous allons donc, pour commencer, répéter la scène d’exposition pour pouvoir se mettre doucement dans le bain. Nous n’aurons pas besoin de son, juste le décor de la chambre de madame puisque c’est là que vous serez pour cette première scène. Je veux la chambre de Madame très riche en couleur avec beaucoup de lumière. Un grand lit blanc, un énorme miroir

jamais vu. Murs blancs un mètre sur deux plafond blanc un mètre carré jamais vu. Corps nu blanc fixe seuls les yeux à peine. Traces fouillis gris pâle presque blanc sur blanc. Mains pendues ouvertes creux face pieds blancs talons joints angle droit. Lumière chaleur faces blanches rayonnantes. Corps nu blanc fixe hop fixe ailleurs. Traces fouillis signes sans sens gris pâle presque blanc. Corps nu blanc fixe invisible blanc sur blanc. Seuls les yeux à peine bleu pâle presque blanc. Tête boule bien haute

monde le regardais avec fascination, il avait une longue perruque noire, sa peau était doré, il était maquillé de noir au contour des yeux qui s’arrêter au nez, ce qui forcer le visage, sa le rendais plus sévère, sur les paupières il avais du vert gris je pense, tout son maquillage rendais les trait du roi plus sévère, plus puissant. Il portait un corser de couleur foncer, bleu, vert ou noir, il y avais des diamants dessus, en dessous du corser, il portait une chemise blanche et aux manches il y

Suant, une humidité âcre. Noir de crasse. Misérablement. Vitres sales. Les vilains jours d'hiver. Les matinées de brouillard. Dalles gluantes. La nuit salie et ignoble. Boutiques obscures, basses, écrasés. Souffle froids de caveau. Étalages gris de poussière dorment vaguement dans l'ombre. Reflets verdâtres. Pleines de ténèbres. Trous lugubres. Formes bizarres. Muraille d'une horrible couleur brune. Muraille noire grossièrement crépie couverte d'une lèpre, toute couturée de cicatrices

planche souligne l’aspect du patriotisme pendant la 1e guerre mondiale ; « les familles sont heureuses malgré leur deuil ». A) Décrire les caractéristiques graphiques de l’image Les dessins sur cette planche sont en noir et blanc avec des nuances de gris ce qui fait penser à des xylographies et un style graphique. Les personnages sont dessinés de façon naturaliste : sur la planche, les armes sont dessinées telles qu’elles sont dans la réalité ainsi que les visages des différents personnages et le dessinateur

du plafond, la lampe à pétrole, les ouvertures vers l’extérieur (portes et fenêtres). La scène est divisée en deux par la lumière : la partie gauche est plus sombre que la partie droite. La toile est composée de couleurs monochromes ( blanc, noir, gris colorés). L'absence de couleur accentue les notions de mort et de deuil et dramatise la scène. Le noir et la blanc renvoient également aux images de la presse utilisée par Picasso lors de l'élaboration de son œuvre. Les contrastes de valeurs mettent