Gris ardoise

voit, de la violence, l’horreur et la mort que provoque la guerre. Main qui appelle à l’aide désespérément. En arrière plan, on peut observer des ruines et une forêt détruite. Il y a une impression de chaos, d’apocalypse, de plus le ciel est gris, noir. Deux hommes qui sortent du chao dont un de face (autoportrait d’Otto Dix) qui aide son camarade blessé ou à moitié morte. Ils sont représentés en blanc donc ils sont livides ou fantomatique. Le « sauveteur » avance à découvert (ni casque

Dogue anglais, English Mastiff) Taille / Poids 43 à 48 cm 18 à 23 kg Pelage / Couleur Court, serré, raide, luisant Tout est possible, uni et multicolore 61 à 66 cm Court, lisse. 50 à 80 kg Jaune (comme le lion) avec du gris et des marques blanches 58 à 68 cm Court, brillant 38 à 50 kg Noire, grise, tigrée, marron fauve 60 à 68 cm Court, lisse, doux 35 à 50 kg Blanche év. tâches foncées autour des yeux 61 à 76 cm Court, épais 41 à

corps ensanglantés. Le personnage central est un officier polonais que deux militaires soviétiques, identifiables à leurs uniformes frappés de l'étoile rouge, vont abattre au bord d'un charnier. Ici, les couleurs sont sombres, on peut voir du noir, du gris, du marron ainsi qu'un contraste avec du rouge, bien évidemment représentatif du sang et donc de la guerre. L'indication « Katyn » montre qu'il s'agit du lieu où les Allemands découvrirent les corps de plus de 4000 officiers polonais prisonniers des

souffleter de leur écume le promontoire envahi du visage. Et comme ces reflets étranges, uniques, que seule l’approche de la tempête où tout va sombrer donne aux roches qui avaient été jusque-là d’une autre couleur, je compris que le gris plombé des joues raides et usées, le gris presque blanc et moutonnant des mèches soulevées, la faible lumière encore départie aux yeux qui voyaient à peine, étaient des teintes non pas irréelles, trop réelles au contraire, mais fantastiques, et empruntées à la palette

La perception visuelle Expérience : 2 visages en noir et blanc sur fond gris délimité au centre par un trait. Dire si oui ou non, les parties du haut du visage ( front, yeux ) sont les mêmes ( peu importe si les visages sont à l’endroit ou à l’envers ). 1. o 2. n 3. o 4. n 5. n 6. o 7. o 8. o 9. o 10. o 11. o 12. o 13. o 14. o 15. n 16. n 17. o 18. o 19. n 20. n 21. n 22. n 23. n 24. n 25. o 26. n 27. n 28. o 29. n 30. n 31. o 32. n Ceux à l’endroit = 1 - 6 - 9 - 12 - 13 - 17 - 28 - 31 Ceux

transmission des caracteres chez les diploïdes. Gene blanc recessif 1er cas la souris grise est G//G donc les enfants seront G//G(gris) ou G//b(gris) 2e cas souris grise est G//b donc les enfants seront G//b(gris) ou b//b(blanc) Quand on croise des souris grises avec des souris blanches donc on l'interprete de la maniere suivante P= G//G * b//b donc on obtient 100% de grises. G b b G//b b//b

la brume, l’auteur veut montrer que c’est le matin (la montée vers le front.) 6) Le blanc mais en valeur, il éclaire le personnage du sauveur. 7) Les autres couleurs dominantes sont le marron qui représente la terre des tranchées. Le noir et le gris représentent la destruction et la mort. 8) Le sauveur est en fait Otto Dix qui s’est représenté. Ce personnage se distingue des autres, c’est le seul qui fait face au spectateur, le seul dont on voit le regard. Il avance avec détermination ne portant

suivants : Un pantalon clair , une robe grise, une large écharpe à dessins «ethniques», un pantalon de toile blanche, fume-cigarette, un bibi rouge, un petit chapeau, une veste sport avec de nombreuses poches et un chapeau, une robe à motifs «zèbre» gris et blancs, un minuscule boléro de fourrure, un blazer sur une chemise ouverte, un pantalon foncé, chaussures bicolores, chemisier sans manches clair, un grand foulard vert en guise de ceinture. Les personnages Les vêtements Monsieur Arpel Ce qui

personnages, comme si le nouveau Paris engendrait un enfermement psychologique. On trouve tout de même quelques touches lumineuses comme l'or de l'enseigne de la pharmacie et le diamant à l'oreille de la femme, mais c'est vraiment infime par rapport au gris général du tableau. Mais malgré tout d'aprés moi caillebotte montre la grandeur que paris a pris avec les traveaux fait et avec l'hassmanisation.

 une relation profonde amenant à des tableaux au  sens profond. Ainsi, dans Portrait de Picasso peint en 1938, elle présente un Picasso  ambigu en inscrivant une marque cubiste à l’oeuvre. Le fond de la peinture est gris, une  bande grise claire, traverse en longueur le fond constitué d’un gris plus foncé, qui se  rapproche de sa couleur de cheveux. Une coupe net et de couleur grise donc , sur une tête  qui semble être la représentation visuelle à travers un portrait, d’une personnalité double, un  être complexe et divisé en deux