Gris typographique

quelques cadres que j’ai pu observer durant le bref instant où j’étais à la bibliothèque était tous des cadres réaliste qui montraient soit le portrait d’une personne ou bien des paysages. J’ai observé des couleurs plutôt neutres comme le noir, le gris et le brun. Beaucoup de tables, de chaises et de bureaux de travail étaient placés un peu partout dans la bibliothèque. On observe que c’est vraiment un endroit pour travailler dans le silence et la paix. La température se situait aux alentours

|Inconvénient | |Avantages | | |_ Enseigne coloré sur mur de magasin gris |_ Parking collectif | |donc enseigne visible. |_ Enseigne non visible de la route car non éclairée la nuit. | |_ Implanter

La pluie cuirassait ces dalles luisantes. Le silence était celui d'une épave abandonnée ; sur les chemins de ronde embourbés, on n'entendait pas même le pas d'une sentinelle ; des touffes d'herbe emperlées crevaient çà et là les parapets de lichen gris ; aux coulées de décombres qui glissaient aux fossés se mêlaient des ferrailles tordues et des débris de vaisselle. La poterne d'entrée révélait l'épaisseur formidable des murailles [8] : les hautes époques d'Orsenna avaient laissé leur chiffre à ces

membre de la Gestapo, vêtu du classique long manteau de cuir noir. Quant à son page, il a revêtu l’uniforme traditionnel d’un officier SS afin d’accentuer la figure oppressante qu’est Créon. En choisissant une thématique de couleurs froides (bleu et gris dominants), Nicolas Briançon facilite l’identification des personnages. Ainsi, Antigone (Barbara Schulz), vêtue d’une longue chemise de nuit grise est fortement différenciée de sa sœur Ismène, présentée de rouge. Les seuls personnages à ne pas mourir

quotidienne Cartier-Bresson illustre la spécificité du médium photographique, à savoir le fameux « instant décisif ». Ce dont il s’agit d’abord ici c’est d’un décor : les abords de la gare Saint-Lazare à Paris. Un paysage urbain plutôt triste. Le ciel est gris, le sol est inondé, sans doute à la suite d’une lourde averse. La chaussée est encombrée de détritus : amas de pierres, tas de boue, échelle, poutres, tuyaux, brouette… Sans doute l’endroit est-il en travaux. Et puis il y a cette grille qui barre l’image

draperie, mérinos, cheviottes, molletons, tombaient de l'entresol, flottantes comme des drapeaux, et dont les tons neutres, gris ardoise, bleu marine, vert olive, étaient coupés par les pancartes blanches des étiquettes. À côté, encadrant le seuil, pendaient également des lanières de fourrure, des bandes étroites pour garnitures de robe, la cendre fine des dos de petit-gris, la neige pure des ventres de cygne, les poils de lapin de la fausse hermine et de la fausse martre. Puis, en bas, dans des

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« distingue » vers 6, « anéantit » vers 10 nous donne une notion indéterminée du temps, on est dans l’ignorance. On ne sait pas quand cela se passe, pendant combien de temps cela dure. Les nombreux groupes nominaux comme le premier vers « Des ciels gris de cristal. » étouffent le temps, il est comme arrêté, c’est une pause. Le cadre géographique n’est pas plus précis. On ne sait pas de quelle ville il s’agit, le lecteur est perdu entre le temps et l’espace, il nage en pleine confusion. Mais

presse pour comprendre ce qui s’est passé. . On retrouvera dans le tableau ce média dans l’absence de couleurs du tableau et dans les petits traits noirs sur le cheval qui rappellent de loin la typographie des colonnes des journaux. Le noir et blanc, le gris du tableau peuvent aussi évoquer la ville réduite en cendres. Interprétation Le cheval est le symbole du peuple qui souffre, démantelé, il rappelle le champ de bataille et la guerre. Le taureau est le symbole de la force brute et de la cruauté

Museum, Otterlo. C’est une peinture très grande 192 x 193 cm. Une couleur domine, le gris, quelques touche de couleur sont présentent comme le jaune, ou le rouge. Les formes sont assez géométriques composer de cônes, cylindre, et de tiges, on peut imaginer des robots sans visage, ni tête, des machines à la place des hommes, on distingue les bras et les mains ainsi que le casque. Les « hommes robots » sont gris-bleuâtres en métal. L’espace ou sont les machines est assez réduit, comme un espace clôt