Grisou

trompera jamais son mari même pour de la nourriture ou effacer ses dettes. Leurs enfants : - Zacharie : 21 ans, c'est le premier des enfants des Maheu. Il est l'amant de Philomène Levaque, puis son mari. Il meurt dans l'explosion dû à un coup de grisou de la mine, essayant de secourir Étienne et Catherine, piégés à l'intérieur. - Catherine : 15 ans, la deuxième, herscheuse au Voreux. Adolescente à la puberté retardée et amoureuse de deux hommes à la fois : Chaval et Étienne. Dans un premier temps

avec l’école, notre classe venait visiter les mines. Gamine, je trouvais ça désagréable, sans plus : les galeries suffocantes, l’air rance, l’obscurité poisseuse… Mais, après la mort de mon père et de plusieurs autres mineurs dans un coup de grisou, je ne voulais même plus monter dans l’ascenseur. La visite annuelle devenait une source d’anxiété abominable. Deux fois, je me suis rendue malade au point que ma mère m’a gardée à la maison, persuadée que j’avais attrapé la grippe. Je pense à

chacun retourne chez soi et c’est le bain (dans une cuve avec la même eau pour tous). 3. Quels sont les risques que représente le travail à la mine de charbon? L’élève doit avoir écrit au moins 2 de ces réponses : effondrement, coup de grisou (explosion accidentelle dans une mine), maladies pulmonaires, etc. 4. Pourquoi les employés ne veulent pas faire le boisage? Accepter la réponse si elle fait mention du fait suivant. Le boisage n’est pas payé. Étant donné

armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt éclater la terre. » La «légendaire solidarité des mineurs», entresilic ose et coups de grisou, se manifeste dans les mobilisations d'Anzin (1884) et de C ourrières (1906). La dernière mine dec harb on en France àCreu tz wald en Lorrain e a fermé le 23 avril 2004. 2. Synopsis: Un jeune chômeur, Etienne Lantier, se fait embaucher aux

marnes noires. A côté de ce gaz de schiste, il existe deux autres sources potentielles de gaz « souterrain » non conventionnel : le gaz de charbon (qui concerne la Belgique). Les couches de charbon contiennent des poches de gaz, qu’on appelait "grisou". On n’a jamais exploité ce gaz, qui était plutôt la cause d’explosions et d’incendies dans les mines de charbon. Actuellement, il existe des techniques pour valoriser ce gaz. le gaz des « réservoirs ultra-compacts » Il s’agit de poches de gaz qui

année, avec l'école, notre classe venait visiter les mines. Gamine, je trouvais ça désagréable, sans plus : les galeries suffocantes, l'air rance, l'obscurité poisseuse... Mais, après la mort de mon père et de plusieurs autres mineurs dans un coup de grisou, je ne voulais même plus monter dans l'ascenseur. La visite annuelle devenait une source d'anxiété abominable. Deux fois, je me suis rendue malade au point que ma mère m'a gardée à la maison, persuadée que j'avais attrapé la grippe. Je pense à Gale

Le héros de cette très courte nouvelle est un mauvais peintre, Pierre Grassou, natif de Fougères. A force de travail il parvient à la notoriété auprès de la petite bourgeoisie. Il est aidé en cela par un marchand de tableaux, Elie Magus, qui lui fait faire, sans que le peintre en ait même conscience, des copies de maîtres anciens, qu'il revend à des bourgeois, comme les Vervelle. C'est précisément ces derniers que Magus amène dans l'atelier de Pierre Grassou pour qu'il fasse leurs portraits. Rapidement

Travail Difficile Et Dangereux De La Mine au XIXe siècleLes journées de travail sous terre sont très longues, fatigantes et dangereuses, les mineurs subissent de nombreuses fois des explosions de gaz toxiques produits par le charbon appelé « le coup de grisou »Tout commence au XIXème siècle lors de la révolution industrielle. Les trains sont créés, et pour leur fonctionnement, il faut du charbon. Ce charbon est extrait des mines. Dès le début des travaux dans les mines, les femmes travaillaient au fond

l'existence possible "Nouvelle-Arberfoyle", car après 10 ans d'exploration de la mine, l'overman et son fils avait trouvés un petit dégagement de Grisou, gaz produit par le combustible, donc si il était trouvé de ce gaz, même un peu, cela voulait dire que du combustilble ce trouvait à proximité. Arrivés à leur destination, là où ce dégageait le grisou, ils constatèrent qu'aucun gaz n'avais été détecté, bien que les deux Ford y été la veille même. Aucune odeur et aucune détonnation au contact de feu

d’une énumération que l’auteur parvient à transmettre comment pitoyable est le lieu : « Pourtant, à mesure que la journée s’avançait, l’air s’empoisonnait davantage, se chauffait de la fumée des lampes, de la pestilence des haleines, de l’asphyxie du grisou, gênant sur les yeux comme des toiles d’araignée, et que devrait seul balayer l’aérage de la nuit. » (Germinal, 1885, p.46). Il commence par relier l’enchainement de l’énumération avec le temps. Cela rajoute une certaine crédibilité et profondeurs