Groupe salafiste pour la prédication et le combat

Quartier Général, lieu d’entraînement, zone de repos – qui n’a pas été retrouvée depuis le défaite d’Afghanistan. Les pays musulmans sont au premier plan de la lutte antiterroriste et leurs populations ont majoritairement compris la perversion du combat jihadiste. Des frappes régulières neutralisent les militants les plus expérimentes. Le niveau qualitatif des frappes ont globalement diminué, confirmant que le terrorisme jihadiste pouvait mener une guerre de terreur psychologique mais n’avait pas

capitales africaines les plus prisées par les sommets internationaux qui venaient y célébrer une démocratie exemplaire, une économie en croissance, une société tolérante et une culture ouverte au monde. En dépit de l’activité du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), qui organisait ses opérations dans le Sahel à partir de son sanctuaire malien depuis 2003, en dépit aussi de l’atterrissage d’un cargo rempli de cocaïne dans la région de Gao

Président fait couler beaucoup d'encre... Certains parlent même de "laxisme" du pouvoir qui, avec sa loi d'amnistie, pensait avoir résolu ce problème définitivement. Que nenni ! L'on l'a vu hier... Ceci, sans oublier le GSPC (groupe salafiste pour la prédication et le combat), qui s'active dans le désert algérien, aux frontières avec le Mali, le Niger et la Lybie, qui soutient les rebelles touaregs (Mali et Niger) ainsi que l'opposition tchadienne, est devenu, le 25 janvier 2007, Organisation al-Qaïda

de financement de premier plan pour étendre une entreprise criminelle au-delà du commerce de stupéfiants comme le terrorisme. 23. Le terrorisme.[5] Al Quaeda au Maghreb islamique est un mouvement sunnite héritier du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC). Selon certaines sources il semble que la branche sahélienne du mouvement est associée au trafic de drogue, ne serait-ce qu’en termes de protection pour s’assurer des revenus en plus de ceux que génèrent ses prises d’otages

bataille contre « un occident » de plus en plus présent sur les territoires maghrébins et choisissent le Sahara comme base arrière pour leurs actions terroristes. Cette mouvance d’origine algérienne appelée à l’origine GSPC (Groupe Salafiste pour la prédication et le combat) est une sorte de « franchise » de la nébuleuse Al Qaïda qui malgré un enracinement en Algérie va s’étendre à pratiquement toute la région désertique du sahélo-saharienne (cf carte annexe) à partir de 2007. AQMI serait composée

créant l’Armée Islamique du Salut (AIS)[4] [4] Branche armée du FIS auto-dissoute en 2000, elle fut... suite. D’autres groupes rebelles vont naître dans ce pays, notamment le Groupe Islamique Armé (GIA) – ou les GIA pour tenir compte de la nature morcelée de cette mouvance – qui va lui-même donner naissance par dissidence en 1998 au Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), fondé par Hassan Hattab, son premier émir. Dès sa création, le GSPC va chercher à se démarquer du GIA, considérant

phénomène par le fait qu’Al-Qaïda maîtrise suffisamment bien les nouvelles technologies, les bonnes méthodes de recrutement (prétexte du « martyr »), les média… Selon l’article d’Alain Rodier, Aqmi, qui a succédé en 2007 au Groupe Salafiste pour la prédication et le combat, est un mouvement algérien « franchisé » d’Al-Qaïda. Le but d’Aqmi est le djihad, en visant d’abord la région africaine avec notamment le Mali, Le Nigeria, bien sûr le Niger... Aqmi considère la France comme l’un de ses principaux

personnes, comme les touristes, souvent pris pour cible, notamment à Bali en 2002. On peut ainsi distinguer plusieurs types de terrorisme :  Terrorisme individuel : perpétré par des rebelles ou des anarchistes  Terrorisme organisé : provoqué par des groupes aux différentes idéologies (extrême gauche…)  Terrorisme d’Etat : exercé par l’Etat, qui use de façon excessive de son monopole de la violence légitime (torture…)  Cyberterrorisme : difficile à déceler, ce nouveau type de terrorisme Les méthodes

d'Abdelaziz Bouteflika 2004 et 2009 : réélection d’Abdelaziz Bouteflika AQMI ou Al-Qaïda au Maghreb islamique = organisation islamiste armée d'origine algérienne, qui a changé de nom en janvier 2007 ; elle s'appelait auparavant le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations terroristes des États-Unis. |MANIFESTATIONS EN SYRIE | - 13 mars 2011 : des écoliers sont arrêtés pour

Le terrorisme modifie-t-il la question du devoir de défense? Le terrorisme est une méthode d’actions violentes répétées, engendrant la peur, employée par des individus, des groupes ou des acteurs étatiques, pour des raisons criminelles ou politiques, par laquelle, au contraire de l’assassinat, les cibles directes de la violence ne sont pas les cibles principales. Les victimes humaines immédiates de la violence sont généralement choisies au hasard (cibles d’opportunité) ou de façon sélective (cibles