Groupement de recherche et d'études pour la civilisation européenne

LES PEUPLES INDO-EUROPEENS D’EUROPE par M. Jean HAUDRY Professeur à l’Université de Lyon III Directeur d’Etude à l’Ecole des Hautes Etudes, 4ème section. Il me revient de vous parler les peuples indo-européens d’Europe, et ces deux termes appellent quelques éclaircissements. Avec celui d’indo-européen, nous quittons les temps historiques qui commencent avec les premiers écrits pour entrer dans la préhistoire, et dans une préhistoire qui échappe totalement aux préhistoriens : ceux-ci connaissent

Actes relevant de la consultation 2. Niveaux de dessaisissement 3. Secteurs privilégiés d'intervention a) Élaboration de la politique économique b Contenu de la défense nationale c) Orientation de la recherche scientifique Section II : Composantes de l'influence technocratique 1. Attitudes des hommes politiques vis-à-vis des techniciens 2. Fonctionnement du système politique 3. Rôle des formes institutionnelles 4. Qualité

face. Le songe, le rêve / le rapt, le viol / la quête et la recherche par les frères de la jeune fille. Le mythe traduit la mutation culturelle d’une civilisation venu du proche orient sur le continent européen. Ce mythe traduit l’idée de mouvement et de déplacement vers l’ouest et de grandes violences. Pas d’Europe sans violence. A la fin du récit, référence à une quête, l’Europe devient une recherche, quelque chose à atteindre, rechercher l’Europe c’est la faire. Ce mythe est l’histoire d’un désir

pourraient advenir dans le cadre d’une vie solitaire. Les sciences sociales s’intéressent à l’homme considéré dans son milieu social. Cela renvoie à des réalités différentes. Ex →. La civilisation occidentale représente un milieu social qui influe sur les individus qui y vivent. A l’intérieur de cette civilisation occidentale, on trouve les pays (autre milieu social). Chaque pays se distingue des autres. Il est facile de distinguer un français d’un espagnol car l’habitus (Pierre Bourdieu) de chacun

des phénomènes. Cette « science de l'homme » semble indiquer déjà deux postures : une analogie forte avec les méthodes des sciences « dures » (sciences physiques ou de la nature), elle s'en distingue car l'homme est partie prenante de son objet d'étude et il a la possibilité d'accéder à une vue différente de lui-même et de son mode d'intervention sur la nature. Pour SS : - cette science doit s'inspirer des autres sciences, car il s'agit plus d'une science synthétique qu'analytique. mais dans sa

Séminaire de recherche Les coups du sport : vandalisme, hooliganisme et extrémisme violent, Société Suisse de Sociologie/Centre International d’Etude du Sport, Neuchâtel,12 avril 2002. ** Anthropologue, chargée de recherche au Laboratoire d’économie de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (REME-EPFL), et collaboratrice scientifique au Centre international d’étude du sport de l’Université de Neuchâtel (CIES), Suisse. ***Sociologue, collaborateur scientifique au Centre international d’étude du sport

politique » ; P. Lecomte et B.Denni « sociologie du Politique ». Chapitre préliminaire : l’émergence laborieuse de la Science politique française. Il y a depuis les années 70-80 un développement spectaculaire de l’enseignement et de la recherche en science politique. Mais en dépit des progrès accomplis la science po française conserve un caractère un peu atypique. Elle a encore des difficultés à affirmer sa légitimité. Section 1 : Les difficultés rencontrées par la science politique

donne à la société civile aujourd’hui, on peut dire que c’est l’« ensemble des citoyens en tant qu’ils se différencient de la classe dirigeante ou politique.» 1 Ainsi, on peut retenir d’une manière générale, que la société civile renvoie à tous les groupements des individus en tant qu’ils se distinguent de L’Etat et de ses ramifications. Historiquement parlant, on peut considérer Aristote comme le père du concept société civile, car c’est suite à la traduction de « koinona politike » en latin « societas

de L spécifiques au droit. Le droit fait moins appel à l’ensemble de la boite à outil des sciences sociales.   Les problématiques : la vraie question. Les questionnements des chercheurs et des enseignants et l’itinéraire de recherche. C’est cette question de la recherche, c’est cela qui détermine l’identité de la science politique.   Poser la question d’un ordre politique tout de suite est impossible. Mais parmi la manière d’aborder la question il y a : -          Les croyances : qui justifient

leur essor avec un facteur national certes (nationalisation), mais également avec un facteur international. 1948, l’UNESCO créée une organisation internationale des sciences politiques lors du congrès de Paris. On organise alors un programme de recherche sur les sciences politiques. Il se compose en quatre branches : - La théorie politique (sur l’histoire et la morale) - Institution politique - Parti, groupes et opinions publiques - Relations Internationales Les IEP se multiplient