Différentialisme

racisme, elles sont la cause de la faiblesse politique de National Front britannique. Du droit à la différence sur lequel la gauche essaie de bâtir une société unie d’individus autonomes, les théoriciens de la nouvelle droite ont dérivé le différentialisme et l’apartheid à la française. De façon relativement surprenante, les théoriciens de la nouvelle droite puisent dans le modèle anglais d’organisation communautaire des quartiers une source d’intégration voire une méthode pour réduire l’influence

et la répression mise en place depuis quelques années dessinent la carte d’un sexe légal, moral et sacralisé en opposition radicale avec la liberté sexuelle dont usent les nouvelles générations. Par ailleurs ce féminisme qui ne dédaigne pas le différentialisme prône la ressemblance des sexes là où justement elle n’existe pas. Lutter contre l’imperium masculin est une nécessité ; mais la déconstruction de la masculinité en vue de l’alignement sur la féminité traditionnelle est une erreur, sinon une

Si l'on aborde à présent les questions théoriques, on constate que c'est la méthode structuraliste elle-même qui est déficiente. Todorov généralise la définition du conte fantastique victorien parce qu'en bon structuraliste il est partisan du différentialisme. On ne peut définir une catégorie que par opposition aux catégories limitrophes (de même qu'en phonétique on ne peut identifier un phonème que de façon différentielle). Le fantastique est donc sur le filet qui sépare deux cases d'un tableau,

En Algerie, l'assimilation républicaine etait plus moderée qu'en métropole, les differentes communautés européennes, juives ou musulmanes gardaient leurs particularismes propres. Face à un assimilationnisme affiché se déploie l’application du différentialisme : l’appartenance à la religion musulmane étant perçue comme trop éloigné de la «civilisation occidentale», on devait cantonner sa religion dans la sphère privéé pour devenir français. Quant à l’assimilation républicaine, elle se traduira par

irréductiblement du côté de l’approche égalitariste ou universaliste des travaux sociologiques sur les femmes, selon lesquels les différences entre sexes seraient socialement construites puis naturalisées par l’ordre social ; c’est une farouche opposante du différentialisme. Résumé : Introduction : Après les grandes victoires des années 80 et l’espoir suscité par l’arrivée de la gauche au pouvoir, l’heure était à l’euphorie pour les féministes, cependant dès 1987, « le ras-le-bol des superwoman », laisse apparaître

l’irreprésentable » car il n’y a pas de modèle, on ne connaît pas quelques choses de semblables. Il y a une ambition de l’égalité. Exercice : les mouvements féministes. On trouve deux grands courants : L’universalisme : il y a du UN Le différentialisme : il y a du DEUX Dans l’universalisme, il n’y a pas de différences à faire, il met l’accent sur le fait que l’on fait partie d’une seule et même humanité. Tous les êtres humains sont des individus au même titre les uns que les autres, indépendamment

ancienne. Cependant, le renouveau du débat sur la laïcité se réfère à trois crises intervenues dès les années 1960-1970 : une crise culturelle, une crise sociale et une crise politique. Une crise culturelle tout d’abord, avec l’essor du différentialisme et de la revendication d’autonomie des individus. Cela commence en mai 1968. Tous les traits culturels ont été valorisés, alors que l’on reprochait à la culture dominante de vouloir les éradiquer. C’est ainsi que les différences sociales, régionales

nous aurions plutôt affaire à un processus culturel de mixité ou d’hybridation des localités et des identités (Nederveen Pieterse) Nous nous attacherons donc à présenter ces trois perspectives sur la différence culturelle : le modèle du différentialisme ou de la différence éternelle, le modèle de la convergence ou « growing sameness », le modèle de l’hybridation ou « ongoing mixing », relevant chacune de paradigmes différents et s’appuyant sur une série de préceptes. Comme le montre si bien

déployer ses capacités (critique du libéralisme et de l’individualisme qui a débouché à la dictature nazie) Négatif : colonialisme, ethnocentrisme qui ont opprimé au nom de la civilisation des peuples prétendument écartés du progrès + tyrannie du différentialisme avec nationalismes agressifs Avec la mondialisation : dénaturation de l’homme à travers la société de conso (obsession du profit). 2 types de racisme : un racisme de domination inégalitaire et ethnocentrisme qui prétend légitimer l’exploitation

autonome. Plus généralement, s'agit-il, comme le croyaient certains romantiques allemands, de libérer le propre de la femme, afin qu'il nourrisse enfin la culture et la société dans son ensemble, influence et civilise le comportement des hommes ? (Différentialisme) Ou bien cette prétendue nature féminine n'est-elle que le sous-produit de la domination masculine ? C'est là la problématique essentielle que le féminisme contemporain se doit de résoudre, en pratique comme en théorie. La lutte des sexes ?