Guérilla irakienne

inquiète Nasser et va inciter le sommet de la Ligue Arabe à accepter l'établissement d'une entité palestinienne en 1963 et en 1964 : rôle dans l'organisation de libération de la Palestine à Jérusalem (OLP). L'Égypte tente de concurrencer les créations irakiennes. L'OLP n'a aucune base populaire, c'est le produit du jeu arabe, non palestinien. Les Arabes de Palestine ne sont pas apathiques mais sont plutôt engagés dans des partis pro-arabes, et non pour la libération de la Palestine. La mobilisation passe

Guerre d'Indochine, leur stratégie consista à s'appuyer sur le Front national pour la libération du Viêt Nam (FNL, aussi appelé « Viêt-Cong », abréviation péjorative de « communistes vietnamiens » utilisée par la RVN et ses alliés), en réactivant la guérilla au Sud par des ex éléments du Viêt-Minh dès 1957 ; puis, à effectuer des infiltrations de cadres communistes et de matériels dès 1958 gràce à la réutilisation de la piste Ho Chi Minh. Guerre du Kippour : 1973 La guerre du Kippour aussi appelée

(problème considéré par les institutions internationales comme interne à la Fédération de Russie), pour les crimes commis par les Etats-Unis en Irak (ni les Etats-Unis ni l’Irak n’ont adhéré et, sans surprise, ni les Etats-Unis ni le gouvernement actuel irakien mis en place sous occupation militaire n’ont déclaré accepter sa compétence), ou ceux commis par Israël au Liban pendant l’été 2006 : ni Israël ni le Liban n’ont adhéré à la Cour ou déclaré accepter sa compétence. Elle pourrait intervenir, mais ne

crise des euromissiles qui débute, en 1977, avec l’installation des missiles SS-20 soviétiques en Europe de l’Est et se poursuit par celle, en 1983, des missiles Pershing américains en Europe de l’Ouest. Les Etats-Unis répliquent en armant la guérilla antimarxiste au Nicaragua, en soutenant l’UNITA en Angola contre le MPLA communiste ou en renversant par la force le régime socialiste de la Grenade (1983). Ils s’opposent à une intervention militaire de l’URSS en Pologne (1981) et y financent

Le 7 Août 1964, le congrès américain approuve la résolution du président Lyndon Johnson pour envoyer plus de troupes au Viêtnam. Les Américains ont peur de la théorie des dominos qui veut que si un pays tombe les autres à côtés tomberont aussi. La guérilla communiste (Viêt-Cong), fomente plusieurs attentats qui vont tué plusieurs américains. Cependant le terrain (jungle) n’est pas adéquat pour les américains. Afin de riposter aux attentats, le président Johnson déclenche l’opération « Rolling thunder

relations étroites et anciennes avec le régime de Saddam Hussein (la Russie a signé pas moins de 900 contrats pétroliers avec l'Irak depuis 1996) expliquent en grande partie l’opposition de Vladimir Poutine à l’intervention américaine contre le dictateur irakien. Début 2003 le président russe annonce son intention d’user de son droit de veto pour faire échec à la résolution américano-britannique sur l’intervention militaire en Irak, il condamne l’attitude du gouvernement Bush au nom du principe de l’inviolabilité

puissantes multinationales, nous pouvons prendre pour exemple George Shultz, ancien secrétaire d’État sous Reagan, devenu PDG de Bechtel, principale société de reconstruction en Irak[6]. Dans la foulée, les américains privatiseront 200 sociétés irakiennes et ouvriront les frontières aux investisseurs étrangers. En menant cette action, les américains tentent de démontrer que ceci est une façon de combattre le terrorisme. En envahissant, en occupant le territoire et en formatant la population

sauver le communisme dans ce pays le 24 décembre = troupes soviétiques sont dans Kaboul = volonté d’éliminer les communistes trop radicaux au profit des plus modérés = objectif atteint mais les troupes communistes ne parviennent pas à mettre fin à la guérilla et les Soviétiques s’enlisent dans la guerre. o cette intervention provoque l’inquiétude des Occidentaux => l’invasion de l’Afghanistan est un événement symbolique qui marque le retour à la guerre froide. fin du règne de Brejnev qui

d’octobre/du Ramadan/du Kippour : L’Egypte et la Syrie lancent une attaque surprise sur les territoires arabes occupées en 1967 (le Sinaï égyptien et le Golan syrien), ils sont bientôt rejoint sur le front syrien par des troupes jordaniennes et irakiennes. La bataille est d’abord favorable aux armées arabes (la traversée du canal du Suez aboutit à la prise de la ligne israélienne Bar-lev et les syriens reprennent une majeure partie des plateaux du Golan). Mais, suite à l’immobilisme militaire de

quelle sorte de relation le Maroc entretient avec les pays de cette région? Le conseil de coopération du golf : Ce conseil créait pour un but essentiellement économique et social, se retrouve inclus dans les conflits politiques après l’invasion irakienne de l’Iran et avec la création du conseil de coopération Arabes créait par Saddam Houssein pour contrecarrer l’Arabie Saoudite. Le Yémane, ancien membre du conseil de coopération arabe qui a connu sa fin suite à la chute de Saddam houssein, est