Guérilla irakienne

inquiète Nasser et va inciter le sommet de la Ligue Arabe à accepter l'établissement d'une entité palestinienne en 1963 et en 1964 : rôle dans l'organisation de libération de la Palestine à Jérusalem (OLP). L'Égypte tente de concurrencer les créations irakiennes. L'OLP n'a aucune base populaire, c'est le produit du jeu arabe, non palestinien. Les Arabes de Palestine ne sont pas apathiques mais sont plutôt engagés dans des partis pro-arabes, et non pour la libération de la Palestine. La mobilisation passe

surtout de médiatisation des bavures. Les Etats occidentaux y trouvent aussi leur intérêt. Depuis le fiasco de l’intervention en Somalie, les grands Etats répugnent à s’engager dans des « conflits de basse intensité », typiques de l’Afrique (guerillas, combat de rue…). Ce facteur, couplé à l’imprégnation croissante dans les opinions et dans les Etats-majors de la doctrine « zéro morts », explique que les Etats occidentaux préfèrent le plus souvent ne pas intervenir. Le problème est qu’il y a une

provisoire 10 Séquence 4-HG00 © Cned – Académie en ligne est finalement installé qui fait juger, condamner à mort et exécuter l’ancien dictateur. Les troupes « occidentales » et les organismes internationaux (mais aussi le nouveau régime irakien et la population civile) sont la cible d’attentats : si la guerre a été gagnée, la paix et la démocratie ne sont pas pour autant établies.  Quel type de guerre les États-Unis mènent-ils ? Le 20 septembre 2001, dans un discours au Congrès et au

conscience mondiale allait façonner un « droit d’ingérence » .Les deux opérations fondatrices de ce « droit » demeurent celle du Kurdistan en 1994, « provide comfort », ayant pour objectif de protéger les populations Kurdes d’une éventuelle exaction irakienne au lendemain de la II° Guerre du Golf, et celle de la Somalie en 1992 « UNITAF » dans le but d’éliminer la famine et de rétablir la paix civile. Force est de constater que, dans ce nouveau paysage international caractérisé par la multiplication

veut mettre fin à l’expérience communiste en Tchécoslovaquie, en application de la doctrine Brejnev de la souveraineté limitée. - En second lieu, la « guerre du Vietnam » (1964-1973), au cours de laquelle l’URSS laisse les États-Unis combattre la guérilla communiste, finalement victorieuse de la superpuissance américaine. ​Ce rapprochement entre les deux superpuissances, du reste, provoque l’affaiblissement de l’autorité de chacune sur son propre camp : - D’un côté, l’URSS perd le soutien de la

soucieraient pas ou créeraient de grandes violences contre la population civile. Les nouvelles guerres enfin s’exerceraient moins contre des armées ennemies que contre des populations. Enfin, ces dernières utiliseraient à la fois des techniques de guérilla et de contreguérilla, donnant souvent lieu à des crimes de masse ou encore à des déplacements forcés. Enfin, le dernier plan sur lequel, selon Kaldor, les anciennes et nouvelles guerres se démarquent, porte sur leur économie (mobilisation de la

observateur impartial à faire les constatations suivantes : l'Egypte poursuit le blocus d'Israël, expressément interdit par le traité d'armistice, et la saisie du cargo But Galim a constitué un acte majeur de cette politique. Elle tolère et encourage la guérilla aux frontières, et arme et entraîne les «infiltrés » qui ont, en quatre ans, assassiné plus de cinq cents Israé liens, sans parler des destructions, quand le traité d'armistice interdit toute belligérance de forces para-militaires. Mais surtout elle

puissance pétrolière en occupant le Koweït, le 17 janvier 1991, les forces américaines à la tête d'une coalition de 29 nations déclenchent l'opération " Tempête du désert". Des bombardements massifs puis une offensive terrestre repoussent l'armée irakienne hors du Koweït.   On peut constater que lors de ces conflits la réaction et l'intervention internationale est très réduite.   * L'ONU ne peut intervenir dans des conflits internes .Par contre en 1988 l'ONU reconnaît le droit à l'assistance

notamment ses justifications par rapport au recours à la violence. Même si l'on tente de s'en tenir à une définition technique et "neutre" du terrorisme, le cas du Hezbollah nous conduit au coeur du problème de la délimitation entre mouvement de guérilla ou de résistance et groupe terroriste. Professeur assistante à l'Université américaine du Liban, Amal Saad-Ghorayeb, auteur de l'ouvrage Hizbu'llah: Politics and Religion (2002), est elle-même d'origine libanaise, mais a été élevée en Grande-Bretagne

------------------------------------------------- Catastrophes environnementales d'origine militaire[modifier] * 1967-1971 : usage massif du défoliant par l'aviation américaine pour détruire les forêts du Sud-Viêt Nam afin de réduire la guérilla duViêt Cong. * 1991 : pendant la guerre du Golfe, l'armée irakienne au Koweït met le feu à 732 puits de pétrole, déverse 20 millions de tonnes de pétrole dans le sol et 800 000 tonnes dans le golfe Persique. ------------------------------------------------- Les catastrophes et