Guerre de Corinthe

cette partie de la Thébaïde, bien que l’ensemble des poèmes ne traitant pas des même récits, il est possible qu’ils aient puisé leur sources dans des mythes n’ayant aucun rapport entre eux: « Œdipe, exposé sur le Cithéron, est recueilli et porté à Corinthe chez le roi Polybe. Il tue son père en allant consulter l’oracle de Delphes. Il arrive à Thèbes, détruit la Sphinx et obtient en récompense la main de la reine Epicaste (Jocaste). Le crime est découvert, la reine se pend, Œdipe se crève les yeux

nouvelle innocence.  « cette étrangeté du monde, c’est l’absurde [….] ».  Le Mythe de Sisyphe est fortement lié à un refus de l’histoire, ainsi qu’elle se présentait juste avant la guerre. On se sent étrangers à un monde dominé par une fausse rationalité, par de fausses valeurs qui mènent aux crimes et aux massacres de la guerre. Mais tout de suite après avoir refusé tout engagement dans l’histoire, Camus ainsi que Sartre et la nouvelle génération intellectuelle ressentent le besoin d’un autre engagement

temples. Colonnes + chapiteau + entablement : Construction classique des Grecs, le tout surmonté par un fronton triangulaire ( ex. Le Parthénon ) Un modèle repris depuis la Renaissance (ex. Hôtel du Marais, Paris ; immeubles haussmanniens ; temple à Corinthe ) Culture générale L’HERITAGE GREC III – LA MYTHOLOGIE GRECQUE 1- L’INTERET DU MYTHE  Sous des dehors très excessifs, la mythologie nous parle souvent des grands problèmes qu’agitent la philosophie, la psychologie, l’amour, la mort, les

Les guerres médiques : un affrontement entre deux mondes, celui des Perses et celui des Grecs La guerre était fréquente dans le monde grec antique au point de devenir quasiment une tradition. Jusqu’au Vème siècle avant Jésus Christ, les cités grecques se faisaient la guerre entre elles et étaient de force à peu près égale. Mais à partir de cette période, les Perses, peuple encore peu connu des habitants de la Grèce continentale, tentèrent d’étendre leur domination sur le monde grec

culte de la cité. Ce caractère sacré de la personne du roi explique pourquoi normalement le pouvoir se transmet de manière héréditaire puisque ces charismes le roi les transmet à son fils. Le roi est un guerrier, il conduit donc ces soldats à la guerre & se prestige militaire renforce ces charismes. Mais fondamentalement du point de vue plotique le roi est d'abord un justicier, c'est celui qui rend la justice. Le roi en jugeant va délimiter la frontière en ce qui est permi et ce qui est interdit

Les mythes littéraires 1/6 Achille: Personnage de l’Iliade d’Homère ; il tua Hector lors de la guerre de Troie. Il était invulnérable car sa mère l’avait plongé dans l’eau du Styx. Seul son talon n’a pas été immergé et demeurait sa seule faiblesse : Pâris le tue en l’atteignant au talon lors de la Guerre de Troie. Age d’or: (Antiquité grecque). Premier âge de l’Humanité pour les Grecs et les Romains. L’âge d’or est marqué par le bonheur et la paix (règne de Cronos) ; l’âge d’argent rendit

le mont Cithéron, après lui avoir fait percer les chevilles pour l'accrocher à un arbre : c'est de là que lui viendrait son nom, Œdipe, "pieds enflés" 4. Œdipe est contre toute attente sauvé et adopté par Polybe et Mérope, le roi et la reine de Corinthe, qui l'élevent comme leur fils. Départ de Thèbes et consultation de l'oracle de Delphes L'histoire reprend lorsque Œdipe est un jeune adulte. D'après l’Œdipe roi de Sophocle et les Phéniciennes d'Euripide, un homme accuse Œdipe, au cours d'un banquet

LA GUERRE ET L’HOMME DE GUERRE par LOUIS VEUILLOT Rédacteur en chef du journal l’Univers. Benedictus Dominus meus qui docet manus meas ad prælium et digitos meos (Ps. CXLIII) Béni soit mon seigneur, qui instruit mes mains au combat et mes doigts à la guerre. Nouvelle édition à partir de celle de 1855 Éditions Saint-Remi – 2012 – DU MÊME AUTEUR AUX ÉDITIONS SAINT-REMI : ROME PENDANT LE CONCILE ................................1228 p., 2 vol., 70,00 € DIALOGUES

Recit de la bataille de salamine, vu par ESCHYLE, Les pERSES (vers 337-395) Le 16 octobre 480 avant J.-Ch. a lieu la bataille de Salamine, considérée comme un fait majeur de la deuxième guerre médique (-480 à -478). Elle opposa les Perses aux Grecs. Le texte présenté est un dialogue entre la reine-mère Atossa (veuve de Darius et mère de Xerxès, « Grand roi » Perse), et un messager qui annonce à la reine que son fils a perdu la bataille de Salamine. Cet extrait est issu d’une tragédie, Les Perses

Sicile. Plus grave encore, alors que la reconquête avait ouvert un troisième front, contre les royaumes barbares d’Occident, les deux autres fronts, dans les Balkans et face à l’Iran se rallument. Byzance sort difficilement victorieuse en 591 d’une guerre de cinquante ans contre la Perse. Dans les Balkans, les attaques du peuple turc des Avars se conjuguent avec la poussée du peuplement slave au détriment des populations de langue grecque. Enfin et peut-être surtout, les populations de l’empire, comme