Guerre de la Grande Colère

Dissertation d’Histoire Le génocide juif à été aboutit par l'Etat nazi durant la seconde guerre mondiale, de 1941 à 1945. Près de 6 millions de Juifs (5 700 000 d'après l'estimation du tribunal de Nuremberg) soit les deux tiers des Juifs d'Europe, hommes, femmes et enfants furent assassinés durant cette période pour des raisons racistes. Car selon Hitler et les dirigeants nazis, la race juive était une menace pour la pureté du sang allemand et donc pour la préservation de la race aryenne. L'extermination

 Les «années zéro», ce sont ces années de l'immédiat après-guerre, entre la fin 1944 et le printemps 1947 : des années de courage, de travail intensif mais aussi de rêves et d'espoirs, des années toniques qui firent croire au pays entier que «désormais, tout irait mieux». C'est cette ambiance si particulière que film tente de ressusciter autour des événements qui firent de l'année 1945 le point de départ de multiples renaissances, mais aussi de bouleversements géopolitiques. Naissance de l'Onu

1918 Une guerre de propagande Faire apparaitre grandes phases du documentaire. 1er conflit industriel : bataille de propagande. Industrie dont le matériau de travail est la conscience : peur, culpabilité… Nouveaux médias de masse pour faire comprendre la raison de leur engagement aux soldats. Mobilisation idéologique des populations Partie 1 : Début de la propagande Août 1914 : Première propagande. Quand Allemand envahissent Belges. Journaux publient des images de la guerre, assassins

nombreux français habitant en ville ou à la campagne ont participé d'une manière ou d'une autre à la résistance, des inconnus tel que les sans grades dont le nom et le nombre reste aujourd'hui encore méconnu mais aussi des grandes figures tel que Jean Moulin, Lucie Aubrac... Ces « grands »ont marqué la France de part leurs actions et leur courage. La résistance commence alors à s'unifier et son histoire devient donc indissociable de celle de Jean Moulin. En 1941, une Résistance intérieure commence à se

conséquent, prévisibles. Au 20ème siècle, on a tendance à revenir au caractère singulier (= individuel) de lʼindividualité. II. Quʼest-ce quʼun héros ? a) Définition étymologique - Le mot «héros» vient du mot grec «hérôs» qui signifie «chef de guerre» chez Homère et «demi-dieu» chez Hésiode. En Latin classique, «héros» signifie «demi-dieu», puis, un peu plus tard, «homme de valeur supérieure». A partir de 1370, ce mot apparait en français et prend alors la signification de «demi-dieu», puis

sincère avec Suzanne-Mary, surnommée Suzy. Elles avaient en commun leur parcours universitaire. Elles envisageaient la même orientation professionnelle. Cette amie était brune aux yeux verts clairs. Elle était grande, belle et très raffinée. Ses cadets, des vrais jumeaux, étaient grands, musclés : une silhouette à faire pâlir les jeunes filles, bruns aux yeux bleus clairs. Ils étaient beaux et d’une élégance sans pareille. Ils se prénommaient Anatole et Aristote. Quant à ses petites sœurs, deux

auteurs ont toujours un mécontentement, une colère, un constat, un règlement de compte avec un régime politique, un message à faire partager aux plus grands nombres de lecteurs, cela peut aussi être une dénonciation, la défense d’une cause, inciter un peuple à penser pareil ou à agir... Le sujet est assez vaste mais très souvent, les poèmes engagés parlent des guerres (1ère, 2nde, guerre d’indépendance, guerre civile, la résistance...) car les guerres sont très meurtrières, sollicitent le peuple

mobilisé, il assiste au triste spectacle du départ des soldats à la guerre, abandonnant ainsi leurs proches. Il en est révolté. A cet effet, l’auteur mêle les registres tragique et polémique qui lui permettent à la fois de pouvoir évoquer les souffrances que causent la guerre et donner son opinion politique. Les discours dominants, narratif et descriptif, soutiennent le raisonnement de l’auteur qui semble réfutatif face à la guerre. Quels sont les moyens employés par l’auteur pour appuyer ce raisonnement 

inspiré du dessin de David B, elle a nommé son graphisme, « réalisme stylisé ». Persepolis est écrit avec un langage familier et courant. Vignette n°1 Les gardiennes de la révolution pointent du doigt les baskets de Marjane Leurs visages expriment la colère et la méchanceté. Elles demandent à Marjane « c’est quoi ces chaussures de punk ? » par ces propos l’auteur cherche à se moquer d’elles en dénonçant leur bêtise. En effet, l’objet du délit (une paire de baskets) semble bien ridicule. Marjane réplique

heureux », v. 31-32). Transition : le bonheur et l’harmonie du couple font ressortir, par contraste, l’horreur et la stupidité de la guerre… III. Les horreurs de la guerre. 1. L’annonce du danger. Lexique : « Brest » (port militaire), l’arsenal, pluie (tristesse), « s’abritait (évocation d’un danger). ⇒ Quelques éléments parsemés, avant l’évocation directe de la guerre, au vers 38, annonçaient déjà la dernière partie du poème. 2. La rupture brutale du bonheur. Interjection ( ) + vocabulaire familier