Guerre du Liban

d’un nationalisme panarabe. Le 14 février 1947, le gouvernement britannique de Clement Attlee, ne parvenant plus à maintenir l’ordre en Palestine et sortant ruiné de la Seconde Guerre mondiale, décide de remettre son mandat aux Nations-Unies.  Suite aux crimes de guerre que les juifs ont subi pendant la deuxième Guerre mondiale, les Nations unies ont été sensible au mouvement sioniste. Le 29 novembre 1947, la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations unies recommande le partage de la

UNE NATION DIVISÉE SANS TRADITION ÉTATIQUE Le Liban est un refuge pour les courants religieux qui se sont développés au Proche-Orient. En effet, ses montagnes ont longtemps servi d’asile à différentes communautés depuis les croisades et la conquête musulmane. Il en résulte la présence aujourd’hui de 17 communautés religieuses. De l’alliance française au projet de « grande Syrie » Présente au Liban après la Première Guerre mondiale suite à un mandat donné par la Société des Nations, la France

Israël-Palestine : La guerre pour le territoire Pendant que nous débattons au Flore, ce soir du 27 novembre, sur le thème Israël-Palestine : une nouvelle guerre de cent ans, nul n’imagine le week-end sanglant qui s’annonce à Jérusalem et Haïfa. Et cependant, qui en sera surpris ? En Palestine, depuis un demi-siècle, la guerre n’en finit plus de rebondir et la paix d’achopper. Conflit exceptionnel par sa longévité, il ne suffit pourtant pas de l’aborder sous son angle historique. La guerre entre Israël

La guerre du Kippour (du 6 au 24 octobre 1973) a abouti à redessiner les frontières d’Israël (qui perd une portion de territoire du Sinaï, avant restitution complète à la suite des accords de Camp David) et a permis aux Arabes d’effacer quelque peu l’humiliation des précédents conflits. Par la suite, les relations entre Israël et l’Egypte se sont améliorés. En effet les accords de camp David signés le 17 septembre 1978 à Washington entre Israël et l'Égypte, définissaient le cadre d'un traité de

Les villes principales du Liban : -Beyrouth est la capitale du Liban depuis 1920 et le port principal. C’est aujourd’hui un grand centre urbain d’environ 1,5 million d’habitants dont l’urbanisation a évolué selon les destructions des guerres. Cette ville est un centre financier, un port de commerce et un centre culturel d’une importance majeur à l’est de la Méditerranée et au Proche-Orient. Pour les échanges mondiaux Beyrouth dispose d’une place très stratégique car elle est située entre l’Asie

complexe pour des enfants, mais il réussit vraiment à donner de la vie à cette histoire tragique. La dynamique est sans faille et il n'y a aucun temps mort dans le rythme. Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer entre les scènes du présent à Paris et au Liban et les nombreux retours dans le passé qui permettent de comprendre l'histoire des personnages principaux au fur et à mesure. Les deux parties de l'histoire avancent en parallèle, mais le lecteur n'est jamais dans le flou. Les dialogues sonnent toujours

était très influent dans certains autres pays devenus indépendants (Egypte, Irak). On a un deuxième pays présent : la France par un mandat en Syrie et par son influence au Liban. - Les conséquences de la guerre : Des zones sont sous influence britannique et soviétique comme l’Iran parce qu’il est resté neutre pendant la guerre. On a l’occupation franco-britannique de la Libye car c’est une ancienne colonie italienne. En 1945, une organisation est créée : la ligue arabe. En Palestine, on assiste à

récit, avec un ton presque léger et romanesque, cette femme nous entraine dans sa vie quotidienne jusqu’au moindre détail. Ces détails sont sources de réflexions sur la place de la femme dans le monde, au Liban, la liberté humaine, celle de la femme. Ou encore la folie, l’illégalité, la guerre, la paix… Ce roman commence par l’enterrement du père de la jeune fille en 1990 et le premier chapitre annonce le ton de l’histoire : il est question de nombreux sujets tabous. Elle éteint la radio qui diffusait

social, jusqu’a obtenir un vrai poids politique reconnu. Ainsi, a la veille de la guerre, le paysage politique libanais ne serait pas uniquement le reflet d’une rivalité musulmane-chrétienne, mais aussi une bipolarisation entre la droite et la gauche, accentuée par le conflit israélo-palestinien. Nous nous intéresserons parmi ces partis de gauche au PCL, Parti Communiste Libanais, le plus ancien parti politique au Liban Créé au début des années 1920, le PCL était reconnu à l’époque sous la dénomination

Economie du Liban 1 – Le contexte La guerre civile de 1975-90 a gravement altéré l’activité économique du Liban, faisant chuter de moitié sa production nationale, déduisant le pays au rôle de coffre-fort du Moyen-Orient. La période de stabilité qui a suivi a permis la reconstruction des infrastructures économiques et financières par le biais d’emprunts importants auprès des banques nationales. Mais ni le programme d’austérité de Rafic Hariri, ni la privatisation des entreprises publiques n’ont