Guerre du Rif

(Mazagan), Portus Risadir (Agadir). D’après le récit d’Hannon, célèbre navigateur carthaginois, ils furent créés et peuplés par les colons qu’il transportait lors de son fameux périple qui eu lieu vers le milieu du Ve siècle avant JC et avant la première guerre punique. Ce texte, d’interprétation très difficile, fait encore l’objet d’études et n’est pas accepté dans son intégralité comme source historique fiable. Tyr, métropole du Moyen-Orient, est occupée au VIe siècle avant JC par les Assyriens et Carthage

littoral méditerranéen est ponctué de stations balnéaires, comme El Hoceima et de villes importantes. Tanger, porte d'entrée du Maroc, se déploie en amphithéâtre, Ceuta et Melilla sont demeurées des enclaves espagnoles. A l'intérieur, la montagne du Rif est traversée par la route de l'Unité, construite après l'indépendance. Tétouan est une ville blanche au milieu des montagnes, Ketama une station d'été et d'hiver à 1 500 m d'altitude, à proximité de forêts de cèdres. L’ensemble de cette région bénéficie

prégnant à cette époque dans un pays qui cherche à retrouver une puissance et un honneur perdu va servir de fer de lance à la doctrine fasciste de Mussolini. Celui-ci s'appuie en effet sur les frustrations de la « victoire mutilée » de la première guerre mondiale (les puissances européennes n'ont pas tenu leurs engagements vis-à-vis des territoires promis à l'Italie), ainsi que sur la peur engendrée par le développement du communisme. Le nationalisme est ici utilisé afin d'imprimer une idéologie sur

Maghreb à être colonisé. Dans ce pays, la séparation plaine/ montagne est dominante, les berbères étant majoritaires. Le processus de colonisation commence par l'impératif donné au sultan de mettre hors la loi Abd el Kader et donc de renoncer au Jihâd (guerre sainte). Des pressions s'exercent ensuite sur le royaume : stratégie d'un repli défensif, absence tant des oulémas que du Makhzen. Celui-ci désigne de façon spécifique l'appareil étatique marocain avec un sens devenu aujourd'hui plus péjoratif ; en

envoyer des migrants à la mort ? Pour tenter de pénétrer sur le territoire de l’Union européenne, ils ont parcouru à pied des centaines de kilomètres, au risque de leur unique bien qui est la vie. Est-il acceptable que ceux qui fuient la pauvreté, la guerre et les conflits politiques ne trouvent comme réponse que la répression, voire la mort, quand ils tentent, dans un suprême sursaut collectif, de franchir un mur de barbelés qui se dresse entre eux et la liberté ? Cette situation, aussi absurde qu’inhumaine

affaire des fiches, etc.) sans se faire remarquer par un quelconque engagement. A partir de 1900, cet officier bien noté par ses supérieurs commence une carrière d'enseignant : il est professeur à l'École Normale de Tir, à l'École Supérieure de Guerre (en qualité de professeur adjoint de tactique), puis à celle de Saumur. Il fait alors preuve d'une certaine liberté d'esprit. En effet, dans le bouillonnement intellectuel de la première décennie du XXe siècle, il est de bon ton de prôner une tactique

africain, Einstein va fonder la ligue anticoloniale, une ligue internationale, il met sa notoriété au service de cette cause). Mais les contestataires sont plutôt minoritaires quand ils s’engagent dans les années 30. - Conséquences de la Première Guerre Mondiale : les Européens ont donné un mauvais exemple très négatif aux peuples colonisés en s’entretuant pendant 4 ans. De plus, les peuples colonisés se sont battus pour l’Europe et n’ont rien obtenu en retour. - Les 2 grandes puissances, les USA

le fait qu’il représente un modèle de rupture avec tout ce qui était établi par la société. Mohammed Choukri est un écrivain marocain né en 1935 à Beni Cheiker, un petit village de la région du Rif, près de Nador. À l’âge de sept ans, la terrible famine, provoquée par la sécheresse et la Seconde Guerre mondiale, force sa famille très pauvre à émigrer à Tanger. Néanmoins, la situation à Tanger n’est pas véritablement meilleure et la pénurie sera encore le protagoniste de sa vie. Le contexte familial

s'empare de la Birmanie. Les autres prennent « les miettes », les Pays-Bas vont prendre l'Indonésie, le Portugal prend Macao ... Toutes ces conquêtes ont été un sujet de rivalité entre pays Européens, les colonies ont failli être des causes de guerre entre Européens, notamment l'incident de Fachoda en 1898 au Soudan : les FR sont arrivés les premiers et la GB disent qu'ils sont plus puissants, ils arrivent et prennent la place. Il y a aussi eu le problème du Maroc entre 1905 et 1911 : rivalité

colonisation pour différentes formes, surtout après la première guerre mondiale car il y a une affaiblissement des puissances coloniales donc ils en profitens. De plus, Wilson a proclamer le droit des peuples à disposer d'eux même. Ex: - p141, 3 et 4; En Inde, la marche du sel mené par Gandhi par la voie pacifique, la non violence et la désobéissance civile. - Le Maroc (4p137). En 1925, soulevement armée mené par Abd ry Krim dans le Rif contre la la France et soutenu par la parti communiste français