Guerrier

bonheur »= aliénation,ruine//liberté bonheur. Les succès guerriers (cf superlatif l.8) ne compensent en rien (cf négation absolue « jamais ») les pertes(cf hyperbole « multitude ») :gravité du ton qui condamne un état(guerre) provoqué par des responsables dénués de morale( l.1) II condamnation des artisans de la guerre : on retrouve le même jeu d’opposition (si + conditionnel//mais+ présent) entre l’idéal irréel (paix) et le cauchemar guerrier de la réalité favorisé par les peuples et animé par les

les unes contre les autres », « puissances belligérantes », « s’attaquant tour à tour », « drapeaux », « exterminer ». Mais la guerre n’apparaît pas comme une activité ordonnée, aucune stratégie guerrière n’est réellement évoquée. Le vocabulaire guerrier se réduit à un jeu de guerre enfantin. Il s’agit ici de "se battre", les peuples sont répartis en "bandes" ; ils se lancent sans réfléchir dans une "équipée". Tout se mesure en termes de gain : il s’agit de "gagner" la guerre comme on gagne un jeu

le combat guerrier, la victoire. On en apprend beaucoup dès les premières lignes sur l'état physique du personnage. En effet, on se rend vite compte qu'il est d'un certain âge à travers les expressions : « vieillesse ennemie » (l.1), « tant vécu » (l.2) et « un jour flétrir tant de laurier » (l.4). Nous avons une notion du temps qui passe et il nous parle de son passé. C'est un homme ayant déjà acquis une certaines expérience. Un combattant qui s'est concentré dans « les travaux guerriers » (l.3)

Eurysaces Philaeus Dans l’Illiade et l’Odyssée, Ajax est décrit comme le grec le plus vaillant après Achille, selon le code guerrier de l’époque, celle-ci ne pouvait pas être données qu’à un homme aussi vaillant et brave qu’Achille. Or, dans le camp grec, il en existait deux : Ajax et Ulysse. Il commandait les guerriers de Mégare et de Salamine. Achille mort, Ajax et Ulysse se disputèrent ses armes. Selon l’Odyssée, après la mort d’Achille

complétives: « Que les cendrés avançaient. Qu’ils tuaient tout sur leur passage. » l.14-15 : à l’image de la ligne 7 : « les cendrés se ruèrent sur la porte », le texte dans son entier présente au lecteur des personnages cruels, voire monstrueux. Les guerriers sont comparés à des monstres sanguinaires, ce qui nourrit le registre épique. Les combattants semblent n’éprouver aucune crainte de la mort et sont animés d’une « fureur » (l.29 et 51) jamais assouvie ; les comparaisons sont nombreuses pour les caractériser

Description: Cette œuvre représente un guerrier nu, très athlétique qui arbore tous les signes de la virilité guerrière nazie: musculature surdéveloppée, part de l'arme, visage implacable de détermination au combat, prêt à se battre car sûr de sa puissance. Le drapé de sa cape et le bouclier sur lequel il semble s'appuyer font référence aux attributs des guerriers grecs. L'épée ressemble à une épée de l'époque romaine: Le garde s'inspire donc des sculptures antiques, à la fois grecques

pas étrangère à ce que fut cette période au cours de laquelle s’est illustré celui que l'on nommait le Bushi, guerrier de la féodalité. Durant plus de huit siècles (8e au 16e siècle), l'histoire du Japon n'a été qu'une interminable guerre civile et c'est sans doute la raison pour laquelle nulle part ailleurs que dans ce pays, les traditions martiales - l'Art martial - et le culte du guerrier n’ont si profondément marqué la culture et la psychologie du peuple. Ce personnage - le Bushi - a de tout temps

caractérisées par l'importance des guerres et des conquêtes qui, malgré les mutations sociales que conaissent les sociétés au fil du temps, font toujours partie du paysage européen. Le quotidien des populations ne cessera d'être influencé par ce climat guerrier et évolura donc en condition. Si la guerre a des formes diverses et qu'elle peut concerner plus ou moins largement les sociétés, jusqu'au 18ième siècle il semblerait que les populations et les sociétés civiles aient toujours été étroitement mélées

L'époque des chevaliers a débuté vers l'an 900 et s'est terminée à la fin de la période que les historiens appellent le Moyen Age, vers l'an 1500. A l'époque de Charlemagne, les guerriers montés étaient devenus l'unité militaire d'élite des Francs. Cette innovation gagna l'ensemble de l'Europe. Le combat à cheval était considéré comme un fait d'armes particulièrement digne de gloire. En effet, le cavalier pouvait pénétrer au coeur de la bataille, se mouvoir rapidement et piétiner les ennemis relégués

dans toute l'Europe. * Présentation de l’œuvre Cette œuvre représente un guerrier nu, très athlétique qui arbore tous les signes de la virilité guerrière nazie:musculature sur développée, part de l'arme, visage implacable de détermination au combat, prêt à se battre car il est sûr de sa puissance. Le drapé de sa cape et le bouclier sur lequel il semble s'appuyer font référence aux attributs des guerriers grecs.L'épée ressemble à une épée de l'époque romaine: Arno Breker s’est inspiré donc