Gueule de bois

mondiale (1914-1918) en qualité de mitrailleur. On doit à ce conflit l'appartenance d'Otto Dix au mouvement de pacifisme qui fleurit après 1918. En 1920, il peint les joueurs de Skat, qui témoigne de l'existence d'invalides, communément appelés « les gueules cassées ». Sa peinture entend décrire l'horreur de la guerre et de ses conséquences. En effet, il s'agit d'un des conflits les plus sanglants supporté par le continent européen ( dix millions de morts) dont l'origine remonte à la fin du XIXème siècle

contraire à la raison ? Nous verrons dans un premier temps que la guerre de manière générale, est une affaire immorale, tout en s’appuyant sur un témoignage de la Grande Guerre, écrit par Roland Dorgelès en 1919, et nommé Les Croix de bois Cependant nous verrons dans un second temps que la guerre pourrait être raisonnable dans le cadre où « La fin justifie les moyens ». Pour commencer, nous pouvons définir la raison comme la capacité de l’être humain, d’établir des

prononcer ces mots et se rendit compte que ça avait l’air idiot. - Ou une ambulance, Jim ? Il s’éloignait de nouveau, retournait au fond du jardin, courbé en deux. Il ne répondit pas. Il ne s’était pas senti bien de toute la journée. Il avait eu la gueule de bois, mais c’était terminé depuis la fin de la matinée, avant midi. Puis il s’était rendu compte qu’il y avait autre chose, quelque chose qui n’allait pas, qui le lançait, dans l’aine. Il ne savait pas exactement ce qu’on entendait pas l’aine, d’où

cette façon d’être pourtant me comblait. Mais il me manquait une toute petite chose, un tout petit détail a mon bonheur que j’allais bientôt découvrir sans vraiment le vouloir. Mais revenons a mon état dans cette chambre d’hôtel. A part une belle gueule de bois, du a une consommation excessive d’alcool cette nuit la, mon corps avait l’air d’être en parfait état. Puis d’un seul coup, quelqu’un toqua a la porte. J’attendis quelques secondes en pensant que la personne s’était trompé de chambre mais pourtant

En effet l'horeur de la vie quotidienne se representant par un manque d'hygiene total , le froid mais aussi les cadavre et la peur des bombardements ont fais lobjet de nombreuse oeuvres litteraire parmi lesquelles : Roland dorgeles ( les croix de bois) , ''orage d'acier '' d'Ernst Junger ( cote allemand) ou bien même les poemes britanniques de Rupert Brooke figurents parmi les plus connus . D'autre documents parle d'un sentiment d'imcomprehension et de la haine des soldats pour les ''profiteurs

Versailles le 28 juin 1919, qui est ressenti comme une humiliation par les allemands). En l’état des choses, la reconstruction est impossible, nous sommes face à des « gueules cassées ». Handicapés physiquement et très mal menés psychologiquement, les soldats sont désormais des hommes mécaniques : prothèses, ferrailles, bois, œil en verre, tuyau en plastique….autant d’objets qui viennent créer une nouvelle identité caricaturale « mi-homme mi-objet » qui incarne le survivant. Au second plan

artistique de la Nouvelle Objectivité ou Verismus qui s’attacha à porter un regard réaliste, souvent acerbe, sur la société de l’entre-deux-guerres avec à un profond malaise et pessimisme. Les œuvres de l'artiste illustrent l'horreur des combats, les gueules cassées, la mort. Lorsque Otto Dix démarre son œuvre, la crise boursière de 1929 vient d’éclater. Cette crise économique se propage au monde entier provoquant faillites d’entreprises et augmentation importante du chômage. Une période noire s’ouvre

les personnages semble presque irréel. Comme par exemple le personnage de Hugo, Gwynplaine qui à des joues « incisées de la bouche aux oreilles » où qu’il est comparé à une « Méduse gaie » cela fait de lui un personnage presque fantastique. Où alors Gueule D’or, personnage de Zola, à l’air d’un personnage épic ressemblent fortement un Gaulois décrit dans les bandes dessinées (barbe jaune ; fils d’or qui lui éclairait tout le visage), les hyperboles utilisé pour décrire son physique (large poitrine à

la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois, ni la plaine Ne poussaient un soupir dans les airs ; Seulement La girouette

Consigne : dans l’extrait suivant, retrouve l’auteur de chaque phrase. Qui parle ? Pinocchio Un garçon Le directeur La caissière Pinocchio arrive au beau milieu d’une place pleine de monde. Tous entourent une grande baraque de bois et de toiles multicolores. Pinocchio se renseigne. - Approchez Messieurs Dames, approchez ! Il n’y aura pas de place pour tout le monde. - Qu’est-ce que cette baraque ? - Lis l’affiche et tu le sauras. - Je ne sais pas lire.