Guillaume de Prusse

de mouvements libéraux, parfois accompagné d'un sentiment national, à travers toute l'Europe. La confédération germanique divisée en 39 États et sans gouvernement centrale voit des mouvements libéraux éclater en Saxe, au Brunswick, en Hesse et en Prusse rhénane. En Italie, une série de noyaux révolutionnaires apparaît à Bologne, Parme, Mantoue et en Romagne. La Belgique encouragés par la « réussite » de la France s'insurge alors au nom de l'indépendance. L'armée polonaise réquisitionnée par la Russie

Prémonition : guerre de mouvement (grâce au chemin de fer qui procure une bonne stratégie militaire) L’armement favorise la défensive (canons lourds, mitrailleuses, fils barbelés, champs de mines) Offensives stoppées = Allemagne (Nord de Paris) + Russie (Prusse orientale, Tannenberg) Guerre de tranchées s’étend de la mer du Nord à la frontière russe, depuis la Baltique au Carpates Attaques difficiles à cause du très bon système de défense des tranchées Conflit long = grande extension géographique Empire

Bürglische Verbesserung der Juden (1781), ainsi que par Lessing (Nathan der Weise), et en France par les démarches et écrits de l’abbé Grégoire (Essai sur la régénération physique, morale et politique des Juifs ). Sur le plan politique, Frédéric-Guillaume en Prusse, Joseph II en Russie et Louis XVI en France esquisseront une approche, encore bien insuffisante, des problèmes posés par la condition juive de l’époque. Mais le facteur décisif en la matière est constitué par les bouleversements nés de la Révolution

et aspiration libérale A. La loi des Prince ? 1) Le Congrès de Vienne Le Congrès de Vienne se tient après la chute de Napoléon Ier dans la visée de réorganiser l’Europe après-guerre. Il se tient entre les 4 nations vainqueur de la France soit la Prusse, le Royaume-Uni, l’Autriche et la Russie. Le but est d’organiser un ordre postrévolutionnaire, par bien des points prérévolutionnaire : Un certain ordre dynastique. Les frontières sont fondées sur la base des dynasties régnantes et non sur la base

déplaisait à la garde impériale. Elisabeth mena un coup d'État pacifique, et devint impératrice. Le mois suivant, elle proclame son neveu, le jeune Pierre Ulric son héritier au trône. Le roi Frédéric II de Prusse est monté sur le trône quatre ans plus tôt, à la mort de son père, Frédéric-Guillaume Ier. Agé de 32 ans, le nouveau souverain a vite gagné l’estime des princes allemands par son esprit éclairé, sa grande culture, son énergie et sa lucidité politique. Conscient de la menace que représentent

|Installation du Conseil des commissaires du peuple. | | | |Abdication et départ en exil de l’ empereur Guillaume | | | |II. | | |

L'Allemagne Dans L'Entre De Guerre. Introduction: 1919 = République. Début Années 30, crise ~> Difficultés Eco, Sociales & Politiques. I. La conquête du pouvoir par les Nazis A. République Fragile 9Nov. 18, (lendemain abdication Guillaume II) ~> République de Weimar contre : -extrême droite révolutionnaire & violente ~> spartakistes (communistes allemands) -nationnalistes qui accusent trahison pour Diktat Versailles B. Difficultés & Contestations Effort republique réduits

première guerre mondiale éclate en 1914. En 1917 dans les camps français et allemands des automutilations et des mutineries éclatent. La France résolve ces problèmes grâce au général Pétain. Alors qu’en Allemagne une révolution éclate et fait exiler Guillaume 2 pour laisser place à une république qui décide de signer un armistice à Rethondes le 11 novembre 1918. Puis à la suite de l’armistice, le traité de Versailles est signé le 28 juin 1919 Pourquoi le traité de Versailles est difficile pour l’Allemagne 

la France se soumette à la Prusse, comme Gambetta qui va faire partie de ceux qui vont voter les crédits de la guerre avant d’avoir voté la décision d’entrée en guerre. 19 juillet 1870, le gouvernement impérial notifiait à la Prusse la déclaration de Guerre. Espoirs d’une victoire rapide qui se révèlent infondés. Circonscription inefficace. Commandement défaillant, officiers plus préoccupés par leur carrière plutôt que la stratégie. Armement inférieur à celui de la Prusse, sauf le fusil Chassepot.

certaines unités tuent leurs officiers et se dispersent1. Une armée de 150 000 hommes, formée d'une combinaison de troupes de Prusse, d'Autriche, et de Hesse, à laquelle se sont joints 20 000 émigrés, s’est avancée contre la France sur toute la ligne de ses frontières, entre Dunkerque et la Suisse. Elle est sous le commandement du duc de Brunswick, représentant de Frédéric Guillaume II. Le 10 août 1792, Louis XVI est déclaré « suspendu ». Le 12 août au lever du soleil, les troupes légères prussiennes pénètrent