Guillaume Des Autels

Anthologie Thème : la nature et les saisons Somaire : 1- Les textes (pages 2 à 11 ) 2- Les biographies (pages 12 à 13) 3- La préface Thomas GIRAUD Guillaume ELLAMA Classe :1S1 TEXTES : Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers

enfants de Marguerite du Breuil, sœur du prélat, mariée à Guillaume Fremière, bourgeois d’Angers, qui reçoivent la Gidonnière. Les Lhommois verront alors leur seigneurie passer des Fremière aux Pitard, puis à la famille Courtoux en 1562. Si l’on dit que Lhomme n’avait pas d’église à son origine, elle en a bien une au xviie siècle, car Jacques II de Courtoux et son épouse s’y font inhumer sans que l’on sache trop si c’est au pied du grand autel ou sous la marche de l’entrée principale. Mais les Courtoux

selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf,Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. On considère souvent la Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des idées de la Pléiade. Son contenu vise à mener une

orner un autel : Le Retable de Tetschen (1808). Par sa conception radicalement nouvelle qui place le paysage au centre d'un sujet religieux, Friedrich déclenche une polémique sur l'utilisation allégorique et mystique du paysage. 1810 est une année charnière pour Friedrich, qui reçoit la visite de Goethe. Il expose également pour la première fois deux œuvres à l'Académie de Berlin, Le Moine au bord de la Mer, et L'abbaye dans une forêt de chênes. un tel succès que le roi Frédéric Guillaume III de

l'origine ==> crucifix reliquaire : on trouvait des reliques dans le dos de la statue. AUTRE FOYER : HILDESHEIM : il doit beaucoup à l'évêque Bernward qui fait orner des manuscrits. L’évangéliaire de Bernward : près d'un autel dans la cathédrale chandeliers présents devant cet autel or employé à profusion ==> rien n'est trop luxueux pour illustrer ce manuscrit. Or pourpre pour représenter la vierge trônant pas de subtilité dans le traitement des visages richesse des matériaux ==> objectif

la littérature antique s’enthousiasment pour des poèmes qu’ils ne connaissent pas. Ils sont initiés aussi à la poésie italienne. Ces cours les entraînent à lire les œuvres et à les résumer. Il y a La Péruse, Jodelle, Pontus de Tyard, Belléan, Des Autels… . Le premier nom de la pléiade était la brigade. En 1556, ils prennent le nom de : pléiade. Le nom de la pléiade est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisie au IIIème e siècle avant Jésus Christ le nom de cet amas astronomique

conquérir le cœur d’une dame d’une classe sociale supérieure à la sienne. Les troubadours s’illustrent dans cet art et les trouvères s’en inspireront plus tard. Les principaux auteurs de poésies courtoises sont Rutebeuf et Guillaume IX. Extrait de « Je n’adorerai qu’elle de Guillaume IX » : « Je me rends à elle, je me livre, Elle peut m'inscrire en sa charte ; Et ne me tenez pour ivre Si j'aime ma bonne dame, Car sans elle je ne puis vivre, Tant de son amour j'ai grand faim. Pour elle je frissonne

sous l’égide de son cousin Guillaume du Bellay ((1491-1543), seigneur de Langey (ou Langeais) et Général de François Ier (il écrivit ses Mémoires), gouverneur du Piémont ; mais la mort de ce parent en 1543, en présence de Rabelais pendant le voyage de retour d’Italie, ruine ce projet. 1543 est aussi l’année où Bellay, Ronsard et Peletier du Mans se sont croisés dans la cathédrale où étaient célébrées, par René du Bellay (1500-1546), évêque du Mans, les obsèques de Guillaume. Il se tourne alors vers

« danse » en ancien provençal, et était indissociable de la musique. En effet, les troubadours, afin de faire danser les belles dames en leur château, chantaient ces « ballades médiévales ». Longtemps polymorphe, elle acquiert une forme fixe avec Guillaume de Machaut au XIVème siècle. Il avait ainsi créé une ballade « primitive » constituée de trois strophes qui reprennent la structure métrique du huitain, courant à l'époque. Le dernier vers, répété, constitué le refrain. La ballade est ainsi devenue

l'obscurité, souvent seul. L’Humanisme : C’est un mouvement du 16ème siècle centré sur l’homme plutôt que sur des valeurs telles que Dieu, la religion, les lois.  La Pléiade : Est un groupe de poètes rassemblés autour de Ronsard : du Bellay, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Remy Belleau, Jean Dorat, Jean de la Péruse. Ils défendent l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Ils imposent l'alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures. Poème