Guillaume Des Autels

Rémi Belleau, Etienne Jodelle, Pontus de Tyard et Jean Antoine Baif on peut dire que le meneur du groupe était Pierre de Ronsard. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. Les membres de la Pléiade entrent ainsi dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, décidés qu'ils sont à rompre avec la poésie médiévale, et cherchent notamment à exercer leur art

selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. On considère souvent la Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 par Joachim Du Bellay, comme le manifeste des idées de la Pléiade. Son contenu vise à mener une

| |Châlon-sur-Saône en 1578 | |Guillaume DES AUTELS |1529-81 |20 ans |Sonnets à la manière de Pétrarque, Amoureux Repos (1553) | |Jacques PELETIER du MANS |1517-82 |32 ans |Traducteur d'Horace ; | |(remplace en 1555 Guillaume DES AUTELS) | | |Œuvres poétiques (1547) ;

Saint-Hilaire (maître de l'oeuvre)- Jean Davy (maître de l'oeuvre)- Jean Périer (maître de l'oeuvre 1362-1388)- Jean de Bayeux (maître de l'oeuvre 1388-1398)- Jenson Salvart (maître de l'oeuvre 1398-1447)- Geoffroi Richier (maître de l'oeuvre 1452-1462)- Guillaume Pontifs (maître de l'oeuvre 1462-1496)- Jacques Le Roux (maître de l'oeuvre 1496-1508)- Roulland Le Roux (maître de l'oeuvre 1508-1527)- Simon Vitecoq (maître de l'oeuvre 1527-1548)- Jean-Antoine Alavoine (architecte)- Jacques-Eugène Barthélémy (architecte)-

de La Péruse, Rémi Belleau ? De cette fusion naît une brigade préoccupée par un renouveau poétique et dramatique, qui regroupe Ronsard, du Bellay, de Baïf, Pontus de Tyard, Guillaume Des Autels, Jodelle et La Péruse. Cette liste se trouve quelque peu modifiée en 1555, lorsque Jacques Peletier du Mans remplace Guillaume Des Autels, et l’année suivante, lorsque Remi Belleau est introduit dans le groupe. C’est alors seulement que Ronsard l’appelle Pléiade, « parce qu’ils étaient les premiers et plus excellents

nombre de sept, les deux principaux auteurs sont Ronsrd et du Bellay. En 1553 la Pléiade est composée du chef de groupe Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard, Guillaume des Autels, Etienne Jodelle et Jean de la Péruse. Puis en 1555 Jacques Peletier remplace Guillaume des Autels et en 1554, à la mort de la Péruse, Rémy Belleau le remplace. Enfin, à la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat entre dans le groupe. Jodelle s’est occupé particulièrement du théâtre (la

Jean-Antoine du Baïf, Étienne Jodelle et Jean de la Péruse (1529-1554). Cependant ce dernier sera remplacé par Rémy Belleau (1528-1577) en 1554, à la mort de Jean de la Péruse. Puis, s’y associent Pontus de Tyard (1521-1605) et Guillaume des Autels (1529-1581). Mais Guillaume des Autels sera remplacé en 1555 par Jacques Peletier du Mans. Enfin, en 1583, cette place, libérée à la mort de Jacques Peletier, sera pour Jean Dorat pour honorer son magistère. C’est en 1556 que le groupe prend le nom Pléiade.

mercenaires Normands en profitent pour passer à l’action. Au cours de l’année 1041 les normands reportent trois victoires sur les armées byzantines et la même année ils se retrouvent maîtres d’un grand nombre de villes en Apulie italienne. En 1042 Guillaume « Bras-de-fer » Hauteville devient prince d’Apulie. Les Normands se sont très bien installés, ils sont devenus des seigneurs. Parmi ces personnages émergent les figures légendaires de Robert Guiscard et de Roger, le « Grand Comte » son frère. En

proprement parler, mais d'humanistes liés les uns aux autres. De 1540 à 1560, ce groupe lyonnais autour de Maurice Scève se signale par son indépendance, sa liberté d'écriture. Les principaux poètes sont : Maurice Scève, Antoine Héroët, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard et Louise Labé. Louise Labé (1524-1566) Second Sonnet Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés, Ô ris, ô front, cheveux, bras, mains et doigts ! Ô chauds soupirs, ô larmes épandues, Ô luth plaintif viole, archet et

L’intérieur de la basilique, d’une plus grande sobriété, est fortement éclairé par les seize fenêtres du niveau supérieur. Le corps central suit un plan octogonal, dont les côtés s’ouvrent sur six chapelles latérales et la sacristie. Le maître-autel, sculpté par Juste Le Court, met en scène plusieurs figures allégoriques : Venise, symbolisée par une jeune femme richement parée, rend grâce à la Vierge ; la Peste, que représente une hideuse vieillarde, est chassée par un angelot ; Neptune et le