Guillaume Musso

Notre corpus de textes est composé de quatre poèmes : deux rédigés au 18ème siècle par Pierre de Ronsard : Mignonne allons voir si la rose (Odes 1550) et Quand vous serez bien vieille » (Sonnets pour Hélène, 1578) et deux écrits par Guillaume Apollinaire, La cueillette et Adieux (Publication posthume, 1925). A deux siècles d’intervalle, les poètes tentent de convaincre leurs muses de répondre à leur amour. En quoi les procédés employés par Apollinaire font- ils écho à ceux de Ronsard ? Ronsard

beauLe Pont Mirabeau Introduction: Guillaume Apollinaire est un auteur surréaliste attaché à l’art (il était très proche de Picasso) né a Rome en1880.En effet, il a eu une liaison avec une jeune aristocrate Marie Laurencin (une peintre) avec laquelle il vivra jusqu’en 1912.Ainsi dans ce poème intitulé “Le Pont Mirabeau’’ tiré du recueil de poèmes Alcools paru en 1913.Apollinaire y fait allusion à sa rupture avec Marie Laurencin tout en évoquant la fuite du temps semblable à l’eau qui coule. Il

Pays-Bas ou de Saint-Paul de Londres, du Corpus Christi College à Oxford, le Gymnase strasbourgeois de Sturm, le Collège trilingue de Louvain (latin, du grec et de l'hébreu)[3]. François Ier fonde le Collège des lecteurs royaux, à l'instigation de Guillaume Budé, dans le but de faire prévaloir cette pédagogie fondée sur l'étude des « humanités » antiques.

dégoûté. Ah ! la suppression de la presse aurait été à mon sens plus habile que sa censure et le trop grand nombre d’embusqués permet à ce mauvais état d’esprit sûrement entretenu, attisé pour ainsi dire, de se faire jour. » 2. Guillaume Apollinaire Apollinaire a toujours été mystérieux et insaisissable avec tous. Grand amant des femmes et de la vie, il exagerait en tout, et il était toujours à la recherche de nouvelles émotions. Son espoir et son intérêt pour le moderne l’a

– Quelles sont les spécificités du langage poétique ? Lectures analytiques : 1- Pierre de RONSARD, Sonnets pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille », 1578. 2- Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, « L'Horloge », 1861. 3- Guillaume APOLLINAIRE, Alcools, « Le Pont Mirabeau », 1913. Prolongement : La fuite du temps, thème pictural : les vanités. – Antonio de PEREDA, Le Rêve du Chevalier (1650). – Antonio de PEREDA, L'allégorie de la caducité (1640). – Hans HOLBEIN

le vulgaire, mais de les rapprocher d’aussi près que possible. Ce qui revient à inclure à part entière dans le lyrisme ses chutes mêmes, comme à envisager une présence moins mordante et plus ludique de l’ironie à ses côtés… Au sens baudelairien, Guillaume Apollinaire est un étranger : l’amoureux des « nuages qui passent »… II. BIOGRAPHIE Wilhelm Apollinaire de Kostrowitzky naît à Rome en 1880. Précepteur d'une jeune aristocrate en Rhénanie. En 1907, il s'établit à Paris et fut un ami très proche

Les inscriptions des enseignes et des murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent Jaime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre le rue Aumont-Thiéville et l’avenu des Ternes Apollinaire : biographie Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Apollinaris de Kostrowitzky, est né le 26 août 1880 à Rome et meurt le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole. Il est notamment le principal poète français des premières décennies du XXème siècle. Non seulement

org/wiki/Vie_de_saint_Alexis 3. La Chanson de Roland, éd. et trad. Joseph Bédier, Paris, Union Générale d’Editions, 1982 (CCF) et http://books.google.fr/books?id=bBgVAAAAMAAJ&pg=PR50&dq=%22chanson+de+Roland%22&lr=&hl=ro&output=text 4. Les Chansons de Guillaume IX Duc d’Aquitaine, éd. et trad. A. Jeanroy, Paris, Champion, 1913, http://www.archive.org/details/leschansonsdegui00willuoft 5. Les vies des troubadours, éd. et trad. M. EGAN, Paris, Union Générale d’Editions, 1985 (lectorat). 6. Les

sa Ballade des femmes de Paris jusqu’à Prévert et sa Chanson de la Seine, a servi de cadre à bien des errances et à bien des mélodies, comme si la capitale française avait sa musique si particulière en harmonie avec les états d’âme des artistes. Guillaume Apollinaire, dans La Chanson du mal aimé (1913), déambule aussi dans Paris, en proie au mal d’amour. Amoureux éconduit de Annie Playden, une jeune Anglaise rencontrée en Allemagne, il cherche dans ce décor urbain des résonances avec sa peine et un

l’imagination « reine des facultés »), Marquis de Sade (« surréaliste dans le sadisme), Lewis Carroll (« surréaliste dans le nonsense »), Lautréamont (premier à avoir fait acte de « surréalisme absolu »), Edgar Allan Poe (« surréaliste dans l’aventure »), Guillaume Apollinaire (inventeur de l’adjectif « surréaliste » dans la préface Les Mamelles de Tirésias), Alfred Jarry (« surréaliste dans l’absinthe »), Jacques Vaché (« surréaliste en moi »)... Tous, dans leur particularisme, ont apporté des éléments pour