Guinguette

néanmoins une certaine amélioration après la 1ère GM, les ouvriers consacrant plus d’argent pour la santé et les loisirs (hausse du niveau de vie comme le montre le doc. 2 p. 36) : parmi ces loisirs, citons la fréquentation des cafés, des cabarets, des guinguettes. 2- Des avancées sociales lentes Doc. 3 et 5 p. 49 : 1- Présentez et définissez l’auteur des doc. Le texte a été rédigé par la CGT, la Confédération Générale des Travailleurs, créée en 1895. C’est un syndicat, c'est-à-dire

b tem Rue e in e Ru st Pa eur e ass Imp och tR t ne Gra e la Rue d èque th Biblio Ma e rS utter A. H rd Cuiron Ru cé Ma nd Sta ed ed Ru es Rue Aé es A lan au tango...zdans un esprit guinguette. De 20 h à 22 hé30. ÍBal festif e Place des rop u A o Enfants N 21 juillet : Tempo Forte. Sous la direction d'Izel Razua, batteur percussionss All y é Redu Monde niste cubain, les onze musiciensede Tempo Forte constituent une des e ed re mo

dans les années 1880 et nous explique sa situation actuelle. C'est un jeune homme sans le sou mais  ambitieux  avant tout. Originaire de Canteleu, près de Rouen, il vient d'une famille peu aisée. Ses parents tiennent une guinguette. Ayant échoué au baccalauréat, il est parti faire son service en Afrique. Avant d'avoir fini ses cinq années de service, dégoûté par l'armée, il vient à Paris avec le désir de réussir et de faire fortune. Lorsqu'il arrive à paris il est employé

l’industrie. Outre la détaxe ou l’absence de règles sur l’hygiène il y a aussi l’idée de sortir de Paris ce qui est désagréable (bruits, odeurs, pollution...). Cette zone appelée petite banlieue est également l’endroit idéal pour le développement de guinguettes et de bars. Dès 1853 le comte Siméon pronostique qu’il est évident qu’« un jour où l’autre ces communes seront réunies à Paris ». Cette annexion n’a pas été effective plus tôt car Rambuteau ne souhaitait pas que la charge de ces nouveaux espaces

promène dans une cuvette quelques pois chiches dont un homme achète l’équivalent d’une cuillère à soupe ; il s’accroupit aussitôt pour manger, dans la même posture indifférente aux passants qu’il prendra un instant après pour uriner. Dans des guinguettes en planches, les oisifs passent des heures à boire un thé coupé de lait. On a besoin de peu pour exister : peu d’espace, peu de nourriture, peu de joie, peu d’ustensiles ou d’outils ; c’est la vie dans un mouchoir de poche. En revanche, il semble

marchés... A l'époque, les boulangeries kasher du quartier Saint-Paul, dans le Marais, vendaient du pain au cumin noir aux habitants de la rue, et non aux touristes venus d'ailleurs. Et on entendait parler yiddish, pendant les mois d'été, dans les guinguettes de Brunoy ou de Gournay-sur-Marne » Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/histoire/le-long-chemin-des-enfants-caches_473226.html, site consulté le 29 mars 2011. Chapitre VI : Bibliographie • Sources littéraires :

: création des citées jardines. 2ème : Parti politique et syndicats (souvent à gauche à l'époque) 3ème : Il se forme une nouvelle culture populaire avec des lieux de rencontres. Ca passe par le cinéma (Cabaret très connu, le Moulin Rouge. Les guinguettes sont des lieux où l'on danse, sorte de bal organisés.) Aux E.U, ouverture des parcs d'attractions qui sont des lieux de sociabilité. Les classes populaires n'ont pas accès aux lieux de sociablité de la bourgeoisie, comme les musées, l'opéra, les

période les premières résidences secondaires étaient situées ds les Vignes de Talence, à côté de Bordeaux. Le tourisme est à la périphérie, au faubourg de la ville, et est fréquenté le dimanche par une pop urbaine. A paris, par exemple il y a les guinguettes sur les bords de Marne. Le tourisme rurale va être différents plus il avance ds les terres. 2. L’émergence de tourisme rurale Le train va ouvrir le monde rural au tourisme, ce qui va rendre plus hétérogène les touristes, et non plus que la

deviennent le lieu du travail ; le taux d’urbanisation augmente pour atteindre 44% en 1911. La ville symbolise le progrès et la modernité ; la population urbaine est globalement plus aisée que dans les campagnes ; elle accède à de nouveaux loisirs : guinguettes sur les bords de Marne, théâtres, cinématographe… S’y côtoient la haute bourgeoisie, dont la fortune est liée à l’industrialisation comme les Schneider et qui tente d’imiter le mode de vie de l’aristocratie, la classe moyenne naissante

autorités de police. L’administration multiplie les décrets et laisse se généraliser ces types d’établissement. C’est l’âge d’or de ce loisir. Il se diffuse partout en France. Paris devenant le modèle de l’amusement européen. Paris est « la guinguette de l’Europe » selon Louis Sébastien Mercier. La période de la IIIe République va généraliser ce loisir. On construit de nombreux établissements. C’est l’apogée du phénomène. C- Déclin du caf’conc, résistance du music-hall 1896-1914 Le 1er