Guinguette

d'expier la Commune mais c'est également un haut lieu de la résistance des Parisiens. Cinq ans plus tard, Renoir montre dans son grand tableau du Bal du Moulin de la Galette, un Montmartre vivant et populaire. Durant l'été 1876, la colline et ses guinguettes retrouvent la joie de vivre. La jeunesse réunit par Renoir dans sa toile porte un regard de défi sur le monde et sur le temps. Ranimé par les peintres et les ouvrières après le désastre de la Commune, Montmartre est alors placé au cœur de la

Belle Époque, l’image du bonheur prend celle du progrès : celui des techniques (la fée électricité, le téléphone, l’automobile, l’aéroplane, le cinématographe), de la consommation (Le Bon Marché, la naissance de la mode), le début des loisirs (les guinguettes, les bistrots)… Mais à peine le temps de goûter ces nouveaux plaisirs que survient la Grande Guerre, suivie vingt ans plus tard d’une seconde tragédie meurtrière. Puis, de nouveau, dans les années 1950, une certaine idée du bonheur réapparaît

qu’on est à 2500 mètres d’altitude. Traîtres tropiques. Mais l’Éthiopie tout entière est une incertitude continue. Avec la nuit, l’incroyable profusion des estaminets semble comme démultipliée. Gargotes incertaines, sombres buvettes, improbables guinguettes à hydromel ou troquets criards donnent à la capitale éthiopienne un air résolument borgne. Telle une grande marée, tout un monde se retire graduellement. Un autre monde s’ébroue avec la même indolence. Le poulailler urbain s’endort, le peuple de

répondant aux besoins de la population. En effet, la place de la Nouvelle Aventure est ouverte en 1862 suite au VIIe agrandissement de 1858. Située à proximité de la nouvelle église Saint-Pierre-Saint-Paul, la place tire son nom de l'ancienne guinguette de la Nouvelle-Aventure qui se trouvait à cet emplacement et qui fut cédée à la ville le 12 avril 1862 avant d'être démolie. Cette place devient rapidement le nouveau centre de gravité de Wazemmes du fait de l'éloignement de l'ancienne place

entre en gare qui est donc en lien avec le vers « Gares prochaines » WALCOURT Briques et tuiles, O les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes, Feuilles et fleurs, Tentes insignes Des francs buveurs ! Guinguettes claires, Bières, clameurs, Servantes chères A tous fumeurs ! Gares prochaines, Gais chemins grands... Quelles aubaines Bons juifs errants ! Verlaine, juillet 72 Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz en 1844 et

mantille, Puis des bonbons à la vanille Par un beau soir de carnaval Alfred de Musset Paysages Belges Briques et tuiles, O les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes, Feuilles et fleurs, Tentes insignes Des francs buveurs ! Guinguettes claires, Bières, clameurs, Servantes chères A tous fumeurs ! Gares prochaines, Gais chemins grands… Quelles aubaines, Bons juifs-errants ! Paul Verlaine, Romances sans paroles À travers l’Europe A M. Ch. Rotsoge Ton visage écarlate ton biplan transformable

noyées ! Mai, juin 72. 8 PAYSAGES BELGES «Conquestes du Roy» (Vieilles Estampes) WALCOURT Briques et tuiles O les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes, Feuilles et fleurs, Tentes insignes Des francs buveurs ! Guinguettes claires, Bières, clameurs, Servantes chères A tous fumeurs ! Gares prochaines, Gais chemins grands... Quelles aubaines, Bons juifs-errants ! Juillet 72. 9 CHARLEROI Dans l'herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Pleure, on veut croire

l'avenue jusqu'à l'actuelle Etoile. Son successeur, le marquis de Marigny, poursuit à son tour l'Avenue jusqu'au pont de Neuilly, pour des raisons de circulation mais aussi par goût esthétique et volonté de prestige. Au 18è siècle s’installent des guinguettes, les champs-Elysée possèdent une mauvaise réputation suite à la guillotine. En 1800, l'avenue ne possédait que 6 maisons, c est ainsi que de multiples maiso bourgeoises, d'hôtels vont se construire. La famille Vuitton y ouvre sa premiere boutique

d’ailleurs, ceux-ci devinent que le bar «  Culture Rapide » est le but de notre visite dans leur quartier. La rue qui descend vers la place Fréhel en serpentant légèrement est éclairée de milles couleurs par le nombre impressionnant de petites guinguettes qui projettent leurs lumière sur les trottoirs. Au bout, la place Fréhel n’a rien d’extraordinaire , elle abrite pour seule décoration une petite fontaine en pierre qui semble ne pas avoir été irriguée depuis des années, et un fouillis de chaises

aussi le reflet de son propre désir. Etant chétif il peint des femmes qui ne cesseront d’acquérir des rondeurs. Une sensibilité de l’artiste très différente de celle de Degas. On peut également s’attarder sur Le bal au Moulin de la Galette de 1876, guinguette à Montmartre. C’est une scène de la vie mondaine et réelle présentant un événement de la vie sociale parisienne avec une attention portée à la lumière sur chacune des figures et des traces blanches, rayons parsemés de lumière à travers les branchages