Gurre-Lieder

Fantastique, Harem) en cours  Chou Henshin cos prayers (Action, Comédie, Ecchi, Mahô Shôjo)  C³ (Action, Amour & Romance, Comédie, Ecchi, Fantastique)  Dakara Boku wa, H ga dekinai (Comédie, Ecchi, Harem)  DearS (Comédie, Ecchi, Fantastique)  Elfen Lied (Drame, Ecchi, Horreur)  Enban Ojo Valkyrie (Amour & Romance, Comédie, Ecchi, Fantastique, Maho Shojo)  Enban Ojo Valkyrie : Junigatsu no Yasokyoku (même genre)  Enban Ojo Valkyrie : Seiresetsu no Hanayome (même genre)  Enban Ojo Valkyrie : Toki

Brahms et son goût pour la musique de chambre et son sens de la construction. La tonalité est élargie et le chromatisme est fréquent mais les fonctions tonales sont respectées. Après quelques mélodies (lieders), il écrit sa première œuvre importante : sextuor pour cordes op.4. Les Gurre-Lieders, Pélléas et Mélisande qui est d’une expressivité de type romantique, 1er quatuor en ré mineur op.7. Les œuvres suivantes tendent à excéder le langage tonal : tonalité dite « suspendue ». il annonce sa période

réunis, sous la direction de Marek Janowski, pour interpréter le "Requiem" de Berlioz au Dom de Berlin puis au Grimaldi Forum. Rencontre musicale renouvelée en mars 2007, à l'occasion du 150ème anniversaire de l'Orchestre, avec l'interprétation des "Gurre-Lieder" de Schönberg, donnés à Monaco puis à la Philharmonie de Berlin.

Octobre 2005, Marek Janowski démissionne de ses fonctions de directeur artistique et musical, mais assure les concerts jusqu'en décembre 2007 en qualité de chef invité. 
Depuis l'automne

très gros orchestres, le trombone alto est de nouveau utilisé par certains compositeurs allemands et autrichiens tels Malher, dans sa Symphonie no.7, Schoenberg, dans Pelléas et Mélisande (1 alto, 2 ténors et 2 basses) et dans Gurre-Lieder et Berg, dans Wozzeck, Altenburg Lieder, opus 4 et Trois Pièces pour Orchestre, opus 6 . Stravinski aussi utilise le trombone alto dans deux de ses oeuvres, Threni et The Flood.[42] Les orchestres du XXème siècle n’ont pratiquement pas utilisé le trombone

C'est le soleil juste après l'orage, fort et clair sur le trottoir mouillé. Il aime la peinture de Rothko, les photos d'Irving Penn et les livres de Dickens. Il écoute Ach wie flüchtig, ach wie nichtig (Cantate Bwv 26 Johann-Sebastian Bach), les Gurre Lieder (Arnold Schönberg) et Unknown Pleasures (Joy Division). Et il regarde inlassablement M (Fritz Lang) Le Mépris (Jean-Luc Godard) et Ikiru (Akira Kurosawa). École de la Rue Blanche (ENSATT 1987) Bibliographie - Bernard-Marie Koltès, La Nuit juste