Gustave Caillebote Le Balcon

Le Balcon de Charle BAUDELAIRE Gustave CAILLEBOTTE, 1880, "L'Homme au balcon" Huile sur toile 116 cm x 90 cm Le poème « Le Balcon», écrit par Charles Baudelaire, fait partie de la section Spleen et Idéal du recueil Les Fleurs du Mal, publié en 1857. Le poète, annonçant le symbolisme, esquisse le souvenir d’une femme aimée. Elle nous est introduite à travers un portrait multiple et un chant de réminiscences spleeniennes. Réalisant son impuissance face au Maitre de la Fuite, Baudelaire

Les raboteurs de parquet de Gustave Caillebotte (peintre réaliste dans ses sujets tirés du monde contemporain) a été réalisé en 1875. C’est une huile sur toile exposée au musée d’Orsay à Paris qui représente une scène de la vie quotidienne. Cette scène se passe dans un appartement ; trois hommes rabotent le parquet comme nous le dit le titre. Ces hommes sont torses nus et agenouillés. Leur position fait que l’on devine à peine leurs visages. Il y a deux hommes à droite côtes à côtes qui semblent

situent l’action de leurs œuvres dans le milieu contemporain, dans l’histoire de leur temps, et non dans le passé. Pour eux, le personnage s’inscrit dans un milieu qui détermine en partie son comportement et son évolution. En peinture, le tableau de Gustave Courbet : « Un enterrement à Ornans » est considéré comme le manifeste du réalisme. Il choque vivement la critique contemporaine parce qu’il représente en très grand format une simple scène d’enterrement. L’adjectif réaliste, d’abord appliqué à ses

Base : Gustave Caillebote Jeune homme à sa fenêtre : ECRITURE D'INVENTION Henry avait attendu près de la fenêtre Quitterie depuis qu'il avait posé ses valises dans la matinée. Il y était resté sans bouger en attendant celle qu'il aimait à contempler les pavés de l'hôtel Germantes. Vers le début de l'après midi il alla demandé le service de chambre, pour qu'on lui apporte un repas. Sa compagne n'était toujours pas là, cela le rendait nerveux, inquiet. Pour la première fois elle était en retard

essentiellement référence à la démarche de Degas, mais aussi sans doute à celle de Caillebotte qui expose pour la première fois en 1876 avec les impressionnistes. Degas et Caillebotte ont fait de la figure humaine, souvent confrontée au monde de la grande ville et de ses malaises (solitude, incommunicabilité, alcool, prostitution…), l’objet essentiel de leurs œuvres. Principaux représentants de cette modernité, Degas et Caillebotte ont encore en commun un style que sous-tend la pratique assidue du dessin

Paris un endroit agréable à visiter et dans lequel vivre, Haussmann instaure un standard pour ses immeubles, de manière à ce qu’ils soient tous construits sur le même modèle. Il donne ainsi lieu à des rangées d’immeubles parfaitement alignés et des balcons exactement à la même hauteur. Il commence par réglementer la hauteur de l’immeuble : il doit mesurer entre 12 et 20 mètres de haut, en fonction de la largeur de la voie sur laquelle il se trouve, et comprendre 5 à 6 étages. Les hauteurs de plafond

permettent de nouvelles techniques et un plus grand rendement. Les immeubles sont donc composés de plusieurs étages définissant ainsi les classes sociales : le deuxième et le cinquième étage sont par exemple destinés aux nobles, on y trouve des balcons qui sont dit « filants », c'est-à-dire qu’ils sont sans interruption d’une extrémité à l’autre de l’immeuble. Quant au sixième étage, il est exclusivement réservé aux domestiques qui logent dans des « chambres de bonnes » (ceux sont des petites chambres

nier son statut d’image (par exemple, un acteur ne va pas faire coucou à la caméra), autrement dit, on ne voit que ce qui est montré. L’opacité de l’image c'est à dire que l’image parle d’elle même. Gustave Caillebotte, vue à travers les barreaux d’un balcon , 1880-1881 - Cadrage particulier : le point de vue du peintre est particulier (comme si la personne est assise sur le sol). Le peintre est invisible dans la rue pourtant il surveille ce qui s’y

p.274 * Bel-ami (1885) de Guy de Maupassant, p.298 * Du côté de chez Swann (1913-1927) de Marcel Proust, p.300 * L'amant de la Chine du nord (1991) de Marguerite Duras, p.448 * Étude de l'image L'homme au balcon, boulevard Hausmann (1880) de Gustave Caillebotte, p.298 * Lectures complémentaires : * Bel-ami (1885) de Guy de Maupassant * Le Rouge et le Noir (1830) de Stendhal * Visionnement de l'adaptation cinématographique d'Un roi sans divertissement (1963) de François

Peinture et mouvements artistiques Objectifs : Comparer plusieurs œuvres Définir leurs caractéristiques Faire le lien avec une façon de penser Supports : Œuvres de G. Courbet, E. Delacroix, Caspard David Friedrich, Edouard. Manet, Gustave Caillebote ; Edward Hooper (par comparaison avec le XX° siècle) éventuellement Norman Rockwell. Caricature d’Emile Zola Activités : 1- Visionner ces œuvres : les décrire (dénotation) 2- Définir les critères qui permettent de les regrouper :