Gymnastique artistique féminine

dans la boutique de curiosités, le baron manque de heurter un jeune homme (Wenceslas) qu’il voit courir vers la maison de Mme Marneffe. En entrant dans cette boutique, Hortense y a vu le fameux groupe du sculpteur (157). Considérations sur le brio artistique (158) et sur l’œuvre de Wenceslas. Hortense demande le prix au marchand : 1.500 F. Wenceslas est ému en voyant Hortense et celle-ci le reconnaît à la façon dont l’artiste rougit (159). La jeune fille négocie le prix avec le marchand qui prétend

IVe siècle ? ........................................ 27 Partie 4 Le temps de l’humanisme et de la Renaissance Chapitre 6 Les débuts de l’humanisme et de la Renaissance Dossier .............................................. 49 La révolution artistique de la Renaissance .............................. 49 Leçon 1 L’humanisme ........................................................................ 50 Dossier La révolution de l’imprimerie.................................................. 51 Leçon

pas leur langue maternelle? Leurs oeuvres respectives sont-elles révélatrices de cette dichotomie originelle? Sur ces grands axes de notre analyse se grefferont de multiples autres interrogations, certaines inhérentes à toute forme de production artistique, et donc à la littérature. Ne serait-il pas opportun de connaître le dessein de ces romanciers? Que cherchent-ils à traduire à travers leurs écrits? Quelles préoccupations profondes veulent-ils exprimer? Atteignent-ils leurs objectifs? Pour mener

universitaires (publiques et privées) Écoles de commerce, gestion, vente et comptabilité (privées) Établissements privés d’enseignement universitaire Établissement divers (écoles normales supérieures, écoles juridiques et administratives, écoles supérieures artistiques et culturelles, écoles paramédicales et sociales ...) 1 421 719 25 944 81 565 230 403 74 790 7 499 7 375 12 458 68 081 87 666 21 307 236 217 -0,2% 1,3% -2,5% 0,1% 2,2% -3,7% 5,9% -0,3% 0,9% 5,4% 7,5% 5,4% Total général 2 275 044

primitive passion)» (‘’Mon cœur mis à nu’’), car il fit avec lui des visites de musées comme des promenades au jardin du Luxembourg au cours desquelles, patiemment, au fil de stations devant les statues ou les massifs de fleurs, fut façonné son langage artistique. Cet homme de l’Ancien Régime avait, en 1819, à l’âge de soixante ans, épousé en secondes noces une femme qui en avait vingt-six et était sans fortune, Caroline Archenbaut-Defaÿs. Née à Londres au temps de l’émigration, elle y avait passé ses

dans une flaque de lumière. Ses gestes, toujours aussi peu pressés, dévoilaient brièvement, çà et là, le haut d’une cuisse ou un soupçon de hanche. 5 Puis le tempo accéléra. La Rose se cambra et oscilla à travers la scène avec une grâce toute féminine. Cependant, aux yeux de la plupart des spectateurs, elle paraissait solitaire — arrachée à son environnement — , révélant un désir sensuel implorant un assouvissement qui ne viendrait jamais. N’importe qui, dans le public, le lui aurait apporté.

qu'elle eût jamais ressenti. En réalité, Mme Astier n'était pas de celles qui ne peuvent se décider à vieillir. Longtemps avant l'heure du couvre−feu, peut−être aussi n'y avait−il jamais eu grand feu chez elle, toute sa coquetterie, tout son désir féminin de conquérir et de séduire, ses ambitions glorieuses, élégantes ou mondaines, elle les avait mises dans son fils, ce grand joli garçon de vingt−huit ans, à la tenue correcte de l'artiste moderne, la barbe légère, les cheveux ras au front, et dans

chose que des études d’électrotechnique (et si Juilliard avait eu un département d’électrotechnique, ça se saurait). Mon père avait connu la Grande Dépression, et ne jurait que par la sécurité de l’emploi. Pas question que j’embrasse une carrière artistique, beaucoup trop précaire par définition. Ma mère était de la même génération et elle partageait sa vision des choses. C’est pour ça qu’elle a toujours tenu à travailler. Ils voulaient tous les deux assurer notre sécurité matérielle. C’était leur

confirmant la pathologie de l’état amoureux et / ou poétique et conférant tout son sens ironique au titre. 5 Première strophe. Caractère abrupt de la caractérisation (relative) et du schéma de communication (le « tu » seulement identifié au féminin) ; passé simple (temps du récit historique et du conte) ; personnification de la lune (majuscule), l’astre romantique par excellence, en bonne ou en mauvaise fée (ambiguïté). Deuxième strophe. Présence du merveilleux (« escalier de nuages » ; « sans

n s s u r l ’ a c t i v i t é p hy s i q u e ( Po r t r a i t 2 4 ) . PÊCHE RURALES . LA ET DES AFFAIRES CONCEPTION GRAPHIQUE ET MISE EN PAGE : YOUNG & RUBICAM CORPORATE COORDINATION ÉDITORIALE : CORINNE DELAMAIRE (INPES) DIRECTEUR ARTISTIQUE : MARIE-LINE GREFFARD PHOTOS : PETER LIPPMANN (PORTRAITS) - FABIEN SARRAZIN (NATURES MORTES) PHOTOTHÈQUES : SUCRÉ SALÉ - SUNSET - ZEFA - GETTY IMAGES SEPTEMBRE 2002 Sommaire Pourquoi un guide alimentaire ? Manger est un des grands plaisirs