Haakon VII

PtolemyCoinWithAlexanderWearingElephantScalp.jpgEgyptiens Commandants SPQRomani.svgMarcus Vipsanius Agrippa SPQRomani.svgMarcus Lurius SPQRomani.svg Titus Statilius Taurus SPQRomani.svgLucius Arruncio SPQRomani.svgMarc Antoine PtolemyCoinWithAlexanderWearingElephantScalp.jpgCléopâtre VII SPQRomani.svgLucius Gellius Publicola SPQRomani.svgCaius Sosius Forces en présence 400 navires 92000 hommes (80 000 soldats et 12 000 cavaliers) 500 navires (dont 300 romains et 200 égyptiens) 112000 hommes (100 000 soldats et 12 000 cavaliers)

L'église de s’échapper de la tutelle impériale. C. La détermination de Grégoire VII Grégoire VII va être le pape emblématique de ces papes réformateurs, mais ce n'est pas le seul. Il fut le conseiller d'autre pape réformateur, notamment Léon IX qui se bat contre la simonie. Ces papes vont multiplier les voyages pour convaincre les souverains de laisser se jouer leur influence dans ces charges. Initialement Grégoire VII est un moine ! Et répond au nom d'Hildebrand, moine originaire de Toscane, ne

une même direction : la couronne que tient napoléon Ier au dessus de lui. Le tableau mesure 6m21 de hauteur, et Napoléon Ier est représenté avec une taille de 1m80, ce qui le met en valeur. Au premier plan, on y voit l’Ancien Régime, le pape Pie VII, Napoléon Ier et son épouse, l’impératrice Joséphine. Au second plan, on observe les frères et sœurs de l’empereur. Au dernier plan, on peut apercevoir la mère de Napoléon. Bien qu’elle n’était pas là au couronnement de son fils, Jacques Louis DAVID

lui font d'importantes commandes pour le complexe monumental de San Lorenzo : la chapelle funèbre, la nouvelle sacristie avec les tombeaux de Julien et de Laurent, enfin la Bibliothèque laurentienne. Il retourne ensuite à Rome, où le pape Clément VII lui commande, pour le mur du fond de la Sixtine, le Jugement Dernier. Il l'achève sous le pape Paul III en 1541, pour lequel il décore également la chapelle Pauline. Michel-Ange demeure à Rome jusqu'à sa mort, le 18 février 1564, à l'âge de presque

grands dignitaires à droite. Au second plan, nous voyons Napoléon debout au centre du tableau levant la couronne pour sacrer sa femme Joséphine qui est à genoux, la tête baissé; deux femme se tiennent derrière elle et tiennent sa robe. Le pape Pie VII se tient assis derrière Napoléon bénissant le couronnement. Au troisième plan, la famille impérial (à gauche et au milieu derrière Napoléon et sa femme), les maréchaux (au milieu, entre Joséphine et la famille impérial) les membres de l’Église (à droite

à la misère par la suppression de ses émoluments. Tout porte à croire qu'elle meurt dans le plus grand dénuement. Certains romanciers verront aussi en Jeanne d'Arc, une fille cachée d'Odette, du même coup demi-sœur de Charles VII de France.  Charles VII 7 Charles VII de France, dit Charles le Victorieux ou encore Charles le Bien Servi fut roi de France de 1422 à 1461.. Son nom reste principalement attaché à l'épopée de Jeanne d'Arc, qui lui permit de renverser une situation compromise et

pape Pie VII (1742-1823), se contente de bénir le couronnement. Il est ntouré par les dignitaires ecclésiastiques, nommés par Napoléon depuis le Concordat. Afin de ne pas compromettre le nouvel équilibre entre l’Église et l'État, le pape accepta bon gré mal gré d'assister au couronnement, ce que David représente clairement dans le tableau : on reconnaît quelques évêques à leurs mitres et, au premier plan, l’archevêque de Paris tenant une croix dans la main. Pie VII est à peine

Cléopâtre Cléopâtre VII est née au cours de l'hiver -69/-68 probablement à Alexandrie. Elle appartient à la dynastie des Lagides, dynastie macédonienne. Cléopâtre est l'une des trois filles du roi d'Égypte Ptolémée XII, et d'une concubine. Être une fille illégitime n’est pas un handicap pour elle. Elle entretient elle-même le mystère sur ses origines maternelles (ascendance égyptienne?). Titre de la reine : philopatris (qui aime sa patrie) qui surprend dans une dynastie qui privilégie les liens

 intransigeante  à  partir  du  XIè  siècle  ?     En  effet,  à  partir  du  XI  siècle  est  menée  la  réforme  grégorienne.  Elle  doit  son  nom  au  pape  Grégoire   VII  (1073-­‐1085)  mais  a  été  menée  par  de  nombreux  papes  jusqu’au  XIII  siècle.  Son  but  est   d’améliorer  le  fonctionnement  et  la  moralité  de  l’Eglise.  Ainsi,

un coup de force qui est effectué. Son successeur, Nicolas II, fera droit en énonçant juridiquement l’élection du pape par les cardinaux et il s’attaque alors à l’investiture laïque. Ce césaropapisme se heurtera alors au papocésarisme de Grégoire VII. B)La crise des Investitures ou le « discordat » (Clémenceau) entre les pouvoirs : J. Picq est passé rapidement sur la querelle des investitures qui nécessiterait pourtant une approche un peu plus approfondie et nuancée ; querelle entre la Papauté