Haine

«La haine», un réel succès Dès les premières minutes du film «La haine», j’étais persuadée que celui-ci allait être ennuyant. Cependant, au cours de la projection je me suis rendue compte qu’il devenait de plus en plus intéressant. Ce film français en noir et blanc sorti en 1995 et réalisé par Mathieu Kassovitz nous parle d’une réalité de la vie quotidienne : les gangs de rue. Saïd Taghmaoui, Hubert Koundé et Vincent Cassel, les trois acteurs principaux, interprètent des rôles de malfaiteurs. Le

« J’ai vécu assez longtemps pour voir que la différence engendre la haine » Stendhal. Soutiens cette affirmation en mettant en évidence une des sources de la xénophobie et du racisme. La haine est quelque chose de très fort, très directe, un sentiment de répugnance contre une certaine chose haïe. Comment une simple différence peut-elle procréer un tel sentiment ? S’agit-il d’une différence spécifique, ou de la différence en général ? Quels sont les plus grandes déclarations du racisme ? Y a-t-il

Travail d’attestation La haine, une esthétique en rupture avec la Nouvelle Vague. La haine c’est un succès colossal, un film qui dès sa sortie en 1995 devient culte et rafle des récompenses aussi prestigieuses que le César du « meilleur film » ou encore le « prix de la mise en scène » au festival de Cannes. C’est également un film qui réussit le tour de force de faire l’unanimité, le public comme la critique est conquis. C’est aussi une réussite internationale, un film qui « a fait le tour

'amour et la haine Quel est notre moteur, l'amour ou la haine ? Pulsions de vie ou pulsions de mort ? Des écrivains, des philosophes, des scientifiques se sont déjà penchés sur cette question. Mais ne vaut-il pas la peine d'y réfléchir nous aussi, si possible sans tenir compte d'aucune influence ? Essayons de nous interroger. Par Pierre Bourquin L'origine Examinons le comportement de l'être humain, à l'aube de sa vie, dans son rapport avec l'autre : si un enfant envie une chose à son camarade

est abattu par un policier  7 LES CRITIQUES DU FILM Lis ce commentaire et complète les blancs: Le film de Mathieu Kassovitz est inspiré de la __________ de Makomé M’Bowolé, tué par un __________ lors de sa garde à vue. Comment le sentiment de haine est devenu si fort qu’il a mené le policier jusqu’à cet __________ dramatique, jusqu’à appuyer sur la détente. Le film __________ sur des images d’archives et vont crescendo ; d’abord des manifestations, puis quelques altercations jusqu’à ce que cela

La Haine Pourquoi, à votre avis, Kassovitz voulait-il tourner ce film? • À la mort de Makomé (victime d’une bavure policière dans un conissariat parisien) Kassovitz a demandé comment on pouvait entrer dans un cercle vicieux de la haine: les jeunes et les flics insultent l’autre • La mort de Malik Ousekine est citée dans le film également • Il voulait réinventer le cinéma complètement et changer les films dans une direction plus politique, il n’était pas soucieux de se faire beaucoup d’argent Pourquoi

 Spencer Kelly En classes on a vu deux films et un est un pièce d’or est médiocre. Le Haine est un film très intéressant et retable, Le Haine express beaucoup des émotions que j’ai dans moi et j’ai beaucoup connecté de Saïd. Saïd est un personnage vrai, il est très complexe et à des défauts de personnages, mais aussi est un personnage très identifiable en même temps. En contraste Dris de sent pas comme un personnage vrai, il est toujours optimiste et je crois que c’est très irréaliste

La Haine : Des critiques 1. Même si pour certains ce film paraît pessimiste et noir, j'y vois un message d'espoir. 2. Chose à ne pas oublier : CE N'EST QU'UN DIVERTISSEMENT - RIEN DE PLUS... 3. Mathieu Kassovitz réussit un beau doublé avec ce film , d'abord parce que c'est sans doute le film le plus réaliste et qui n'essaie pas de nous orienter dans un des deux camps (jeunes ou police) à propos des problèmes des banlieues. Il se contente de mettre en lumière trois personnages vraiment attachants

La Haine, Mathieu Kassovitz (1995) Résumé complet du scénario : Un jeune de cité, Abdel Ichaha, est sérieusement blessé suite à son passage à tabac par un policier lors d'une garde à vue. Cette histoire entraine, la nuit précédente, des émeutes dans la cité des Muguets à Chanteloup-les-Vignes, opposant la jeunesse de ces quartiers à la police. Et c'est le lendemain que le récit commence. On suit les péripéties de trois amis d'Abdel pendant une journée. Journée qui va être, pour chacun

« La Haine » - Commentaire personnel de Tanja Schär Dans le film « La Haine » Matthieu Kassovitz a cinématographié 24 heures à coté de trois jeunes, chacun d’une origine étrangère. Ces trois jeunes, qui ont perdu tout l’espoir, symbolisent la jeunesse de la banlieue en France, n’ayant que leur haine envers le système politique. En filmant en noir et blanc, Kassovitz a représenté cette atmosphère très triste et on peut sentir la désespérance de la jeunesse. Ils y ont nombre de scènes