Hallucination

Cependant des événements étranges sont apparus : Evénement survenu dans la nouvelle Explication rationnelle Explication irrationnelle "Les yeux d'Omphale avaient remué" (l.131). C'est une hallucination. Ses yeux ont vraiment bougés. "La tête tournée en sens inverse"(l.136-7). C'est une hallucination. Omphale a tourné la tête. "Glisser en criant sur leurs tringles" (l.164). Le glissement des rideaux a fait un couinement. Les rideaux sont vivants et ont crié. "La tapisserie s'agita violemment"

dans ses rêves, sa morsure le brûle au cou plus que jamais, il passe de nombreuses nuits d’insomnie. Thérèse est aussi sujette aux mêmes hallucinations. Chapitre 18 (p.127 à 132) Les deux amants sont plus que jamais hantés par le « spectre » de Camille. Ils s’imaginent que si ils peuvent dormir ensemble, à deux ils auront la force de résister à ces hallucinations et donc s’en libéreront. Ils essayent donc de faire en sorte que leur mariage soit une proposition qui n’émane non pas d’eux, mais d’une

quatrain s’achève sur une comparaison provoquante. En effet, la fumée de la cigarette est assimilée à l’encens des églises, le poète confère une dimension sacrée à sa cigarette.1er tercet - Volte :· Cette strophe est dédiée à la description des hallucinations du poète sous l’effet des drogues ou dans un cadre onirique. Le paradis est ainsi décrit comme un jardin fleuri, métaphore de sa beauté qui est renforcée par l’allitération en [ r ]. Laforgue, s’inspire des synesthésies baudelairiennes pour introduire

TEXTE FAIT AVEC ALEX De l’antagonisme de ces deux positions, l’une qui affronte la réalité, l’autre qui veut l’ignorer, nous entrons de plein pied dans la folie. La folie c’est celle d’Oreste qui au comble de la douleur, se met à avoir des hallucinations. Dans cette tirade, les phrases exclamatives, courtes, se succèdent et traduisent l’extrême agitation d’ Oreste ( d’où vient que je frisonne) qui semble s’adresser à des interlocuteurs invisibles qui seraient témoins de ses visions apocalyptiques

soignants. Ainsi il juge ses soignants, comme l’infirmière Karen qui lui fait mal lors de ses soins ou qui le fait stresser, mais qui s’avéra n’être qu’une hallucination, mais donne une représentation de ce qu’il ne faut pas faire en tant qu’infirmier lorsque l’on soigne un patient aussi dépendant que l’était le narrateur. Cette hallucination apportera une grande question à l’auteur : Que représentait-elle ? Il en arrivera à la conclusion que Karen était une représentation de la « Mort » (p.275)

Maupassant meurt le 6 juillet 1893, dans la clinique du docteur Blanche après une tentative de suicide le 6 janvier 1892 suivit de long mois de délires et d'isolement, de la syphilis qui le paralyse et donne lieu a des crises de folie et des hallucinations. Cette version du horla est la dernière que Maupassant est écrite, elle est présenté sous la forme d'un journal intime ou le narrateur raconte des faits qui se sont passer entre le 8 mai et le 10 septembre. L'action, qui

Analyse : « les Hallucinations », extrait de l’Assommoir d’Émile Zola 1) Donnez les informations utiles au sujet du texte: -Genre : Romanesque -Style de narration : omniscient -Période : 19e siècle -Courant littéraire : naturalisme -Personnages : Coupeau, Gervaise, le médecin en chef et l’interne -Auteur : Émile Zola 2) Faites un lexique des mots moins usuels, donner leur définition et leur étymologie: -Fouine : Petit animal du genre des martres, mammifère carnivore qui

se répétait chaque nuit. Il était sur « [qu]’un être invisible [l]’avait hanté ». (LH1, p. 23) Par la suite, dans la troisième version, Le Horla (deuxième version), le narrateur raconte ses hallucinations : « Puis la fleur, s’éleva, […] et elle resta suspendue dans l’air transparent »3. Les hallucinations sont des illusion qui sont trompeuse. Le narrateur en est victime même lorsqu’il est question de son propre reflet : « Je ne me vis pas dans la glace! […] Mon image n’était pas dedans… et j’étais

projette sa folie et son obsession pour Anita dans le monde réelle et fait halluciner le spectateur avec lui. Dans cette hallucination, le docteur brise le quatrième mur à plusieurs reprises notamment lorsqu'il s'adresse directement aux spectateurs et lorsqu'il cache la caméra pour « nous » empêcher de voir Anita. Anita quant-à-elle possède deux figures dans cette hallucination. La première est celle du monstre, du diable ; « ce parfum diabolique ». Elle est géante et elle tourmente le docteur. La

est la perception de quelque chose non réel. Le thème commun de ces mots est le souvenir d'une action puisque on peut repenser à une action faites par le passée, rêver de souvenirs, les flash-back sont eux aussi constitués de souvenirs, et les hallucinations sont créées par les souvenirs, c'est par leurs biais que l'homme va se créer une image d'une oasis dans le désert par exemple car le corps se souvient que quand l'homme a chaud,a soif il faut qu'il boit et reconstruit une image d'eau. L'hallucination