Hamlet Catharsis

Tragi-comédie : c'est une pièce qui fait relativement rire et dont la situation finale est ambiguë : heureuse pour certains personnages, malheureuse pour d'autres. Un Coup de théâtre : un rebondissement soudain et inattendu dans la pièce. La catharsis : c'est une notion inventée par Aristote. Il s'agit de croire que la tragédie purge le spectateur de ses vices. Elle le purifie en lui inspirant crainte et pitié. La Vraisemblance : c'est une règle classique du XVIIème siècle. Il faut que la

La catharsis : en nous divertissant, le théâtre nous met face à nous même Le théâtre représente sur scène des personnages qui nous sont étrangers, pour qui nous compatissons, dont nous partageons, le temps de la représentation, les joies et les peines. Si ces personnages nous divertissent et nous détournent, pour un temps de notre quotidien, ce divertissement même, loin de nous éloigner de nous-mêmes, nous met face à nos propres passions : c'est le phénomène de la catharsis. 1) La

social, un reflet plus ou moins caricatural de la société, qui permet de mieux la comprendre, et de mieux dénoncer ses failles : ce rôle politique était particulièrement évident dans la Grèce antique, avec la comédie ancienne. Mais cette citation du Hamlet de Shakespeare peut aussi être mentionnée : « for any thing so overdone is from the purpose of playing, whose end, both at the first and now, was and is, to hold, as 'twere, the mirror up to nature ». Le théâtre est aussi un miroir tendu à la nature

Chez Boileau, on retrouve les émotions évoqués par Aristote (voir extrait de sa « Poétique » définissant la tragédie) : * La crainte : v. 10 « douce terreur » | v.9 « fureur » * La pitié : v.11 « pitié charmante » Effet recherché : la catharsis : La purgation des passions chez les spectateurs v.17 : L’objectif principal du dramaturge doit être de « plaire » et de « toucher » (=émouvoir) * Vers 19 à 29 : Boileau définit les principes d’une scène d’exposition réussie ! goût pous la

Introduction : Nous allons étudier le « chœur « d’Antigone de Jean Anouilh. Cette tragédie est inspirée de la tragédie de Sophocle en 442 avant Jésus Christ, tragédie dans laquelle l’héroïne défend les lois non écrites du devoir moral. Dans le but d’étudier le chœur d’Antigone d’Anouilh, nous verrons en quoi après lecture du passage, nous pouvons proposer une définition de tragédie en élargissant notre réflexion à d’autres pièces théâtrales tragiques en insérant l’idée essentielle de la réécriture

poétiques). Certaines notions comme la métaphore et l'expression sont néanmoins plus longuement traitées dans la Rhétorique. Mais on peut aussi mettre en relation la Poétique et la Politique d'Aristote dans la mesure où la notion clé qu'est la catharsis fait son apparition dans ces deux livres. Présentation succincteModifier Le plan de la Poétique d'Aristote n'est pas toujours parfaitement cohérent et facile à déterminer. Néanmoins on peut établir les points suivants : Dans les chapitres

Molière, Avertissement à L’Amour médecin, 1665. A. La représentation du théâtre est indispensable, et le texte importe peu : 1. Les comédies et Molière 2. Les avantages d’une représentation 3. La sublimation du texte par le jeu des acteurs et la catharsis B. La publication du texte est primordiale : 1. Une meilleure compréhension est de mise 2. La beauté du texte en elle-même peut suffire à traduire les émotions par la lecture (Racine) Introduction Dans l’esprit de la plupart des gens, le théâtre

permettait de réunir les gens sur les mêmes valeurs. D'ailleurs, l'origine du mot désigne le "lieu où l'on voit". -le théâtre est le lieu de la purification d'après Aristote, où l'on éprouve des émotions violentes ("terreur et pitié") grâce à l'effet de catharsis qui libère le spectateurs de ses pulsions négatives. - Il s'agit d'un complément du texte: les acteurs donnent corps et voix aux personnages qu'ils incarnent, qui passent d'êtres de papier à des personnages "vivants". Pour la lecture: -elle sollicite

un théâtre qui, sur les ruines de l’idéologie et de la pensée, dans la dérision même, retrouve le sens du tragique en confrontant l’individu à son néant et à la mort. La mise en cause de l’illusion Depuis Aristote et sa théorie de la catharsis selon laquelle le théâtre vise à la « purification » des passions humaines par leur représentation sur scène, le théâtre occidental se définit par une « imitation » d’actions qui amène le spectateur à s’identifier au héros. Pour provoquer cette sympathie

réactions de Dorante et tente de le pousser à bout : « Il ne sait ce qu’il fait ; voyons si cela continuera ». Le spectateur est ici complice d’Araminte, ce qui accentue le suspens puisque cela l’implique davantage.  Un pouvoir cathartique : la catharsis est la purgation des passions humaines par le biais de la représentation théâtrale. C’est l’idée qu’en assistant à une représentation théâtrale, l’homme se débarrasse de toutes ses pulsions et angoisses en les vivant au travers des personnages. C’est