Han d'Islande

révolutionne le théâtre et invente une langue poétique. Il réalisera un kyrielle de pièce de théâtres comme La Bataille d'Hernani et quelques poèmes comme Feuilles d'Automne. Son roman le plus connue est sans doute Le dernier jour d'un condamné ou Han d'Islande. | Citations/ Anecdotes: «Ego, Hugo» «La vie n'est qu'une longue perte de tout se qu'on aime» «Il vient une heure où protester ne suffit plus: après la philosophie, il faut l'action» | Héritage laissé, influence à son époque et aujourd'hui

Voltaire, Zadig (1747). • Prosper Mérimée, Mateo Falcone (1829), La Vénus d’Ille (1837), Colomba (1840), Carmen (1847), Lokis (1869)… (nouvelles). • Honoré de Balzac, Les Chouans (1829), La Peau de Chagrin (1831). • Victor Hugo, Han d’Islande (1823), Notre-Dame de Paris (1831), Claude Gueux (1834). • Alexandre Dumas, Les trois Mousquetaires (1844), Vingt ans après (1845), Le Vicomte de Bragelonne (1847). • Emily Brontë, Les Hauts de Hurlevent (1847). • Edgar Poe

côté révolutionnaire (Hernani), au fil des années sa conscience sociale s’affine. Il entre en politique et s’exile par conviction républicaines et progressistes lorsque Bonaparte est proclamé empereur. Il propose une réflexion sur l’écriture. Han d’Islande : parodie du roman noir (gothique) Notre Dame de Paris ; Quatre-vingt-treize : roman historique Les Misérables : domaine de l’engagement social Poésie * Alfred de Vigny : courant passéiste conservateur. Le cor * Alphonse de Lamartine

opprimés. C’était alors la Grèce. Ce sera plus tard, l’Irlande, Cuba, le Mexique etc. Convaincu que l’humanité est irréductiblement présente dans chaque homme, V.Hugo refuse la peine de mort. Cette option, présente dès les premières œuvres (Han d’Islande en 1823), et développée pour la première fois dans Le dernier jour d’un condamné en 1829 est plus originale que la précédente et tranche avec les sentiments dominants à l’époque... Sans doute, l’expérience des âpres luttes de la révolution, le

Elle lui donnera quatre enfants. L’année 1822 voit aussi paraître son premier recueil de poèmes, les Odes, précédées d’une importante Préface et qui deviendront en 1826 les Odes et ballades. Hugo amorce également une carrière de romancier, avec Han d’Islande (1823) et Bug-Jargal (1826). Il collabore à la Muse française, fondée en 1823, et fréquente le salon de CHARLES NODIER à l’Arsenal, où il rencontre VIGNY et LAMARTINE. Il s’engage prudemment sur la voie du romantisme déclarant encore dans une nouvelle

tendrement le Livre de l'anniversaire. 5. Victor Hugo publie en 1823 Han d'Islande : L'intrigue se déroule au XVIIe siècle dans un royaume scandinave que terrorise un être bestial, Han, qui vit seul avec un ours et ne se nourrit que de sang humain. Un monstre, Une révolte populaire, des amours contrariées qui évoquent celles de Hugo et d'Adèle Foucher, et un ministre innocent emprisonné qui sera délivré par un chevalier à la Dürer. Han, c'est à la fois Frankenstein et la préfiguration de Quasimodo, et

consacrées. Il repose au Panthéon. II – Son œuvre Recueils de Poésies : Odes et Ballades (1828), les Orientales (1829), Feuilles d’Automne (1832), les Chants du Crépuscule (1835), les Châtiments (1853), les Contemplations (1856). Romans : Han d’Islande (1823), Notre Dame de Paris (1831), le Dernier Jour d’un Condamné (1829) Claude Gueux (1834), les Misérables (1862), les Travailleurs de la Mer (1866), l’Homme qui rit (1869), Quatre Vingt Treize (1874). Pièces de théâtre : Hernani (1830), Lucrèce

que nous avons retenu, la société devient elle aussi assassine car elle s’abaisse à agir comme ce qu’elle est censée punir. Elle tue un homme et devient ainsi également coupable de crime. L’extrait que nous avons tiré du roman de Victor Hugo : Han d’Islande raconte exclusivement la réaction de la foule face au spectacle du condamné. On la voit avide du spectacle donné par la mise à mort. Victor Hugo reprend l’argument de Lamartine mais remplace les sentiments de rage et de colère par de l’avidité

de la vie humaine à travers ses écrits, ses combats politiques mais également sa production artistique *La peine de mort a été très souvent traitée par Victor Hugo, en écho à des scènes dont il avait lui-même pu être témoin. Plusieurs romans (Han d’Islande (1823), Le dernier jour d’un condamné (1829 et 1832), Claude Gueux (1834) se font directement ou indirectement les porte-voix de cet engagement. Hugo s'est tout suite enager contre la peine capitale avec de nombreuses interventions publiques et

Marion de Lorme (1831) Le roi s'amuse (1832) Lucrèce Borgia (1833) Marie Tudor (1833) Angelo, tyran de Padoue (1835) Ruy Blas (1838) Les Burgraves (1843) Torquemada (1882) Théâtre en liberté (posthume : 1886) Romans : Bug-Jargal (1818) Han d'Islande (1823) Le Dernier Jour d'un condamné (1829) Notre-Dame de Paris (1831) Claude Gueux (1834) Les Misérables (1862) Les Travailleurs de la mer (1866) L'Homme qui rit (1869) Quatre-vingt-treize (1874)