Hantise

LE BIZUTAGE EN FRANCE, UNE TRADITION QUI PERDURE Rite d’intégration ou coutume pour les uns, manipulation, humiliation et hantise pour les autres, le bizutage reste chaque année un passage quasi-obligé pour nombre d’étudiants. Que ce soit à la télé, dans les lycées ou dans les foyers, il est sur toutes les bouches et apparaît, depuis quelques années seulement, comme un problème social. Quand est- ce que le bizutage est-il né et comment fonctionne t-il ? Nous avons voulu en savoir plus. Enquête

Nuremberg (novembre 1945) OKAPI : Vous aviez pensé assister à leur procès ?  M.-C.V.C. : En réalité, je ne pensais même pas sortir vivante d'Auschwitz. Les nazis nous disaient : « Ici, on entre par la porte et on sort par la cheminée. »(1) L'une des hantises de tous les déportés, c'était l'idée que nous puissions tous disparaître sans laisser de trace, et que ces crimes restent ignorés du monde.(2)  OKAPI : Pourquoi le procès a-t-il duré aussi longtemps ? M.-C.V.C. : Il a duré presque un an. À l'époque

crois que je m’en souviendrai toute ma vie, ce soir la le rhum coula à flot, et ce fut lors de la même soirée que je perdis ma virginité avec un bel inconnu que j’avais rencontrée ce soir la… Le lendemain de ma rencontre avec ma nouvelle amie, ma hantise d’aller au collège avait un peu disparue, mais n’était pas définitivement enterrée et ne le fut d’ailleurs jamais ! Lors de mon premier cours de la matinée elle se mit a coté de moi et nous passâmes toute l’heure à discuter, c’est comme ca que nous

|divinités ou de personnages divers. C’est le rêve inaccessible d’un amour unique. | | |Le voyage en Orient est le premier ouvrage où Nerval exprime ses hantises. | | |Les Filles du Feu (surtout Sylvie) évoquent le charme vaporeux du Valois et décrit l’éveil| | |de l’auteur au mysticisme sentimental

rêves et éveil : l'effondrement mystique Le début de ce récit s'ouvre sur une scène ambiguë concernant la situation du récitant : "Les étés arrivaient avec fougue. Le vent l'enivrait. Impatience de se jeter dans l'eau, de se purifier de ses hantises. Il s'abandonnait à la natation, et, ce soir il s'était éloigné vers la haute mer."(p.13). Remarquons que le temps s'accélère, s'envole (les "étés" ; "arrivaient» : imparfait de répétition) avant de venir se loger dans un moment précis ("ce soir")

quoi ressemblerait un monde reniant ses vieux porteur du souvenir, perdrait-il la mémoire ? Danger moral Tout d’abord, la jeunesse est un facteur d’inégalité sociale. Le jeunisme représente un véritable danger, un piège pour les jeunes et une hantise pour le troisième âge directement concerné par l’influence de ce courant de pensée sur la société. Effectivement, les jeunes à leur arrivés sur le marché du travail restent inexpérimentés, étonnés d'être au centre de toutes les attentions, flattés

Chimère où une mysticité apparait. En effet, Les Chimères sont un ensemble de douze sonnets regroupés à la fin du recueil de nouvelles, publiés en 1854, des Filles du feu dans lequel le parcours initiatique de Gérard de Nerval, étroitement lié aux hantises secrètes d'un poète toujours obsédé par un inaccessible absolu, est retracé. De plus, Le poète est toujours hanté par ses amours perdus, par les mythes et les légendes et par une interminable quête de lui-même à la recherche de la miséricorde.

Persistance de la mémoire Cette peinture de Salvador Dalí est fantastique car c'est irréel de voir un éléphant et des chronomètres fondus sur le sol. C'est un décor complètement irréel. Les chronomètres représentent le temps qui passe et la hantise de l'heure fatidique, la mort. Bibliographie : Pour les récits : -MAUPASSANT, Guy. Le horla, Ollendorf, 1887. -DEGOUSEE, Valérie. Le costume, 1999. -MAUPASSANT, Guy. L'auberge,1886. Pour les peintures : -DALI, Salvador. Laïcité

lentement de lui, lui caressa ses cheveux ébènes comme une mère le ferait à son enfant.  Marisa détestait faire ça, mais cette fois si, elle en avait envie, c'était la première fois. Elle releva son visage vers les yeux de Lois qui traduisaient de la hantise. Elle posa sa main sur la joue mate du jeune homme, elle n'avait toujours pas quitté les yeux du jeune homme. Elle chuchota un « n'ai pas peur, fait moi confiance ». Il appréhendait et dans un souffle elle l'embrassa.  Elle lui fit des légers

dédoublement lui donne l'illusion d'être l'auteur d'une nouvelle création de lui-même. « Gary » et « Ajar » signifient en russe « brûle » et « cendre » : faut-il voir là l'image d'un écrivain phénix qui, affecté par l'échec relatif de son oeuvre et la hantise du vieillissement, cherche à renaître de ses cendres dans une tonalité d'écriture nouvelle ? Mais « Ajar » est aussi la traduction anglaise de l'adjectif « entrouvert » : dissimuler l'identité, c'est alors accéder au coeur de la conscience. Symbole