Haoussas

en 1960, est alors peuplé d'environ quarante millions d'habitants, population supérieure à celle de l'ensemble des États africains francophones nouvellement indépendants[1]. Sa population est divisée en 250 ethnies[1], dont trois principales, les Haoussas, les plus nombreux, majoritairement musulmans et vivants au Nord ; les Yorubas, musulmans et chrétiens vivant à l'Ouest et au Sud-Ouest ; et les Ibos (ou Igbos), majoritairement chrétiens et animistes, qui vivent au Sud-Est et détiennent la majorité

représentent un tiers environ de la population insulaire. Par ailleurs, dès l'occupation anglaise arrivèrent des esclaves libérés auxquels se mêlèrent au fil de l'histoire des Cubains déport és, des Krumen, des Luso-Africains, des Libériens, des Haoussas, des Camerounais de l'armée allemande internée en 1916, des Annobonais. des Fang, etc. Véritable creuset. Fernando Poo a vu se mélanger la plupart des races migratrices de l'Ouest africain. De cette masse composite émergent les Fernandinos, descendants

6. Awandji 7. Bakas, peuple pygmée 8. Bakanigui 9. Bandjabi ou Banzabi 10. Batsangui 11. Bengas 12. Bungomou 13. Enenga 14. Échira 15. Fang 16. Galoa ou Galwa 17. Humbu, Houmbou ou Bawoumbou 18. Haoussa 19. Ivéa 20. Kota ou Bakota 21. Lumbu, Loumbou ou Baloumbou 22. Mahongwé 23. Makina 24. Massango 25. Mbahoin 26. Mbedé ou M'Bedé 27. Meimbè (dont Simbaka, Mokanke, Mopindzi, Motsogho) 28. Mindumu 29. Mitsogo

envoie des membres de sa famille. Elle compte une puis deux classes, mais demeure la seule école de nomades du cercle jusqu’en 1941. A cette date, l’action repart et s’amplifie ; cette année-là, sont créées une école pour les Tenguereguif et les Kel Haoussa (Touaregs), une pour les Tormoz (Maures), une pour les Ideylouba (Maures). L’année suivante, une nouvelle classe est ouverte chez les Kel Antsar. Le nombre des classes s’accroit, des cours élémentaires, première puis deuxième année, succèdent aux

faisait du côté nigérian. Darak est constituée de vingt et un villages et de quatorze îles. Cette île s’étend sur 658,60 km². Peuplée d’environ 20 000 habitants en 2006, l’île a une densité de 75,90 habitants au km². Plusieurs ethnies y cohabitent (Haoussa, Djoukoun, Margui, Mousgoum, Massa, Ibo, Arabe-Choa, Kotoko). Depuis l’occupation du Nigéria à Darak, la production, qui était estimée à 100 000 tonnes de poissons par an avant 1970, dépasse désormais 140 000 tonnes. Le développement d’un commerce

entre les deux Etats sont 42 M de dollars en 2007 hausse de 18 % en 2008. Principales entreprises Américaines : Exxon Mobil et Chevron. Socioculturels : Population : 152 millions d’habitants Langue officielles : Anglais Langues Co-officielles : Haoussa , l’igbo, le yoruba, le peul. Taux d’alphabétisation : 39% H / 51%F Espérance de vie : 47 ans Taux de croissance 2010 : 2% Religions : Musulman, Chrétiens, Animiste. Un sens marqué de l’identité territoriale dans plusieurs régions Culture oral

jusqu'alors peu habité commença rapidement à se peupler. Les éwés furent rapidement rejoints par des compagnies européennes, britanniques et surtout allemandes, ainsi que par des marchands itinérants de l’intérieur des terres, comme les caravanes Haoussa venues des routes de la cola. Beaucoup de personnes furent donc attiré par le nouveau pôle économique que représentait Lomé. La croissance rapide de la ville s'en trouva renforcée et Lomé eu rapidement la réputation d'un lieu où on fait de bonnes

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- Apprentissage Objectifs spécifiques Contenus Ressources Évaluation Professeur Elèves Décrire l’empire peul Né dans le Gobir en pays Haoussa, fondé Fonds de carte, Inciter à décrire l’empire Description de l’empire Montrer les origines de de Sokoto par Ousmane Dan Fodio, qui mène une carte murale peul de Sokoto peul Sokoto guerre sainte contre les païens haoussas. A Décrire l’empire peul sa mort, l’empire est partagé entre son fils Textes, documents Inciter à décrire l’empire Description de l’empire

qui s'était marié avec une femme appartenant à la noblesse guinéenne et qui avait une grande factorerie ainsi qu'une grande propriété agricole entre Bolama et Bissau où il était aussi gouverneur _ . Un autre personnage fut Jibril Dobla, un musulman haoussa de la région du Dagomba, le plus grand marchand de la zone impliqué aussi dans des situations politiques ; ou bien la famille Olympio à laquelle appartenait le premier président du Togo moderne. La traite et l'esclavage étaient également fondés