Harfleur

SYNECDOQUEDésignation d'un objet au moyen d'un terme désignant un autre objet uni au premier par une relation logique (déduction) ou simplement naturelle Ex: - Il vit de sa plume. (cause pour effet : les écrits lui rapportent) - Les voiles au loin descendaient vers Harfleur. (partie: voile, pour un tout: voilier) - Il a acheté un bronze. (matière pour objet) - Boire un verre d'eau. (contenant pour contenu) 2. Les figures d’intensité FIGURES | DÉFINITION | EFFETS | EXEMPLES | 2.1 Euphémisme

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. (La lecture du poème est sur un fichier audio sur la clef USB) 

sur mes pensées,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur . Poème n°3 : Brise Marine. Extrait de « poésies » de Stéphane Mallarmé. La chair est triste, hélas! Et j'ai lu tous les livres.Fuir! Là-bas fuir

est une métonymie particulière qui consiste à désigner un objet par une partie de celui-ci ou à évoquer un ensemble par un seul de ses éléments. Elle établit un rapport d'inclusion entre deux termes. Ex. : « Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur ». (Victor Hugo, Les Contemplations, 1856.)  La synecdoque désigne une partie (les voiles) pour un tout (le bateau). c. La périphrase La périphrase est une formulation qui nomme un être ou un objet en utilisant plus de mots que nécessaire. Ex. : L'île

mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Gérard de Nevral Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Larbunie, est né à Paris le 22 mai 1808.Nevral a été élevé à Mortefontaine chez son grand-oncle

| | |Exemples : Voici venir la saison des roses pour désigner l'été. | | |Les voiles au loin desendent vers Harfleur. (Victor Hugo) [ voiles = navires ] | | |[pic] | |

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur » L’art poétique traduit ainsi ce qu’éprouve le poète. La musique, quant à elle, nous livre aussi ce que ressent le compositeur, sa perception des

pour parler de ses propres souffrances, donnant ainsi l’impression de parler d’un autre16. Il évite d'exagérer son lyrisme personnel, écrivant par exemple dans 17 : « Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe/ Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur » comme pour rejeter un sentimentalisme facile. La Mystique du poète[modifier | modifier le code] En 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, extrait du recueil Les Contemplations (1858) VIII. Voyage d’Apollinaire 1116954218852 Adieu amour qui fuis et n’a pas chui plus féconde

fixés sur mes pensées,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo