Harfleur

rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Analyse Le poème peut être lu différemment en fonction de son épilogue ou des connaissances qu'on a des motivations qui lui ont donné naissance

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courb, les mains croises, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni lor du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand jarriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyre en fleur. Analyse Le pome peut tre lu diffremment en fonction de son pilogue

est-elle que l’auteur ne fait plus la différence entre des éléments extérieur, telles que le jour et la nuit et ceci reprend l’idée de la coupure de la réalité extérieur. Strophe III : Au V1 la coupure se prolonge (« je ne regarderai ni (…) Vers Harfleur). Hugo met en valeur les éléments concrets par le recourt à des figures de rhétoriques. V1 « l’or du soir qui tombe » est une périphrase qui désigne le crépuscule. C’est en outre une métaphore hyperbolique comme le montre le mot « or ». Au V2 nous

au long des vers de ce poème nous nous imaginons que Hugo exprime un rendez vous qu'il attend depuis longtemps avec une femme qu'il aime. Cependant dans l'avant dernier vers nous comprenons qu'il va déposer sur la tombe de sa fille, Léopoldine à Harfleur, « Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur » Les exemples de récits suivant nous montre que le suspense est indispensable pour une bonne histoire. Cependant nous pouvons aussi penser que certain récits présente d'autres intérêt pour l'auteur

mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Paul VERLAINE (1844-1896) Recueil : Le livre posthume Dernier espoir Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté,  Non planté par un deuil

double pour parler de ses propres souffrances, donnant ainsi l’impression de parler d’un autre. Il évite d'exagérer son lyrisme personnel, écrivant par exemple dans : « Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe/ Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur » comme pour rejeter un sentimentalisme facile. La Mystique du poète En 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion, très précisément évoquée

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, extrait du recueil Les Contemplations « Demain dès l’aube » de Victor Hugo : Ce poème extrait du recueil Les contemplations a été

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Demain, dès l'aube, Victor HUGO La perte Il l'a tirée De sa poche percée, L'a mise sous ses yeux ; Et l'a bien regardée En disant : "

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. .●●● ANALYSE DES QUATRES POEMES : C e qui m’a touchée dans ces quatre poèmes qu’ils parlent soit de la pauvreté soit de la douleur soit de

pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur Victor Hugo Je suis perdu, vois-tu .. Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour ; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je