Harmonie imitative

pour l’essentiel dans le vers suivant. Exemple : Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour Contre-rejet 5 LES EFFETS SONORES A l’intérieur des vers, les répétitions de sons créent une harmonie imitative. Lorsqu’une voyelle est répétée, on dit qu’il y a une assonance. Lorsqu’une consonne est répétée o dit qu’il y a une allitération. L’anaphore est la répétition d’un même mot ou groupe de mots en début de phrase ou de vers. Exemple : Les

allitérations : le retour insistant d'un même son consonantique (consonne) à l'intérieur du vers constitue une allitération.harmonie imitative : effet de style consistant à utiliser certaines combinaisons phonétiques (allitérations et assonances) de manière à imiter les bruits réels évoqués par le poème : choc, sifflement, écoulement, craquement, tintement, etc...harmonie suggestive : on appelle parfois ainsi l'effet de style précédent lorsqu'il vise non à imiter un bruit précis mais à provoquer une

pitié, rivale toujours victorieuse, laisse-moi ! Cesse de tenter mes désirs et mon orgueil ! L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur avant d'être vaincu. Dans ce poème, Le confiteor de l’artiste, Baudelaire se trouve tour à tour en harmonie puis en rupture avec la nature qui l'entoure et semble ainsi être tiré d'un rêve pour retomber brutalement dans la réalité. Il jouit du paysage, en contemple la beauté, puis il en souffre et finit par rejeter le beau. A ce titre, ce poème illustre

(hyperbole insistant sur la multiplicité des discours de la part des différents dirigeants). * Allitérations en « t » aux paragraphes 1, 2, 3, 4 et 6, en « r » dans l’intégralité, et en « p » aux paragraphes 1,2,3,4 et 5. Création d’une harmonie imitative de la mécanique de l’objet. 3) Tournures empreintes d’objectivité: utilisation de compléments du nom («  vociférations […] qui se disputent notre attention » , * Utilisation de la p3 : « ne montre », « il est ingénieux », « voilà

changement évident dans le rythme des vers: on passe en effet dʼun rythme évoquant le glissement, lʼharmonie, le calme (strophe 1) à un rythme saccadé, voire haché : strophe 2, qui traduit la souffrance de lʼalbatros, en particulier dans le vers 12 (harmonie imitative) -  de la même manière, les sonorités passent du glissement (l) et (s) dans a strophe 1 au malaise (z) dans la strophe 2; les rimes en -eu et -ai donnent aussi une impression désagréable. accumulation de sonorités en -gu et -c, v9 et 10

L’élévation se poursuit avec la cascade dans les sapins (l’eau monte ?), le narrateur se retrouve à la cime argente, puis «  parmi les clochers et les dômes ». La chute n’en sera que plus brutale avec l’allitération en « B » ligne 16, ici une harmonie imitative qui imite l’onomatopée « BOUM » c) Univers onirique ou hallucination ? Les deux phénomènes sont proche le rêve est nocturne. L’hallucination est diurne. Le rêve est manifeste dans ce texte dans la chute au réveil il était midi mais aussi

fois le mélange : « se confondent, unité » et la dissociation : « parfums, couleurs, sons ». Cette idée de confusion, de mélange est aussi suggérée par l'adj « vaste » qui caractérise à la fois la nuit et la clarté (antithèse). Noter l'harmonie imitative du v 5 : allitérations et assonances (k, d, l, on) : échos qui répètent l'idée des correspondances. § 3 : A partir de ce tercet, le poète applique la théorie et prend des exemples de synesthésies. Il va partir d'une sensation très abstraite

atmosphère cauchemardesque. On peut souligner le bruit et la vitesse «  fracas » ligne 2. Cela évoque l'intensité et la nuisance du bruit quand à la rapidité « coup de foudre » ligne 4, « un tel vertige de vitesse » ligne 6 = allitération ( harmonie imitative en V). Cette rapidité est montré par des connecteur: « pour de suite » ligne 4 ; par des connecteur représentatif « c'était une apparition » ligne 4, « ce fut la machine » ligne 2. Il y a donc un bouleversement des sens par l'apparition du train

fatalité de la vie du poète· Registre élégiaque : le poème est un chant de plainte· Rythme binaire des phrases (exemple de l’hémistiche du 2ème vers) comme si le monde autour du poète était trop rapide pour lui· Allitération en [v] / [f] / [r] = harmonie imitative du vacarme des usines · Portrait très sombre du quotidien de Samain à l’effigie de celui des mineurs· Dernier vers de rupture qui sert de transition à la prochaine strophe· Passage du passé-composé à l’imparfait itératif· Vers introduit par

De la même façon on peut observer une allitération en « r » dans une grande partie des vers avec les termes « prato » (v.2), « rana » (v.2), « rugosam » (v.4), « latior » (v.4), « rupto » (v.10) ou « corpore » (v.10), qui fonctionne comme une harmonie imitative évoquant à la fois la grenouille et sa peau rugueuse, anticipant ainsi la chute. On peut également relever l’effet de balancement créé au vers 3 par l’allitération en « t » et l’assonance en « a » (« et tacta inuidia tantae magnitudinis »),