Harrod

alchimie unique, on ne peut y aboutir autrement. L’économiste Domar montre que l’investissement a deux effets : un effet de capacité et un effet de demande par le biais du multiplicateur. Il faut les ajuster subtilement pour accéder à la croissance. Harrod, lui, s’efforcera de montrer que la croissance résulte bien d’une alchimie unique. Dans le modèle de Solow de l’économiste américain du même nom, le progrès technique est automatiquement mis de côté car considéré comme une manne tombant du ciel.

du produit intérieur brut par tête à long terme. Depuis le début du 20ème siècle plusieurs tentatives de modélisation de la dynamique de la croissance économique ont vu le jour. En vue de répondre aux résultats pessimistes des auteurs keynésiens (Harrod et Domar), R. M. Solow développe un modèle de croissance qui s’appuie sur les hypothèses de la théorie économique néoclassique dans lequel il montre que le taux de croissance à long terme dépend du taux d’accroissement démographique et d’un progrès

prenant en compte le contexte social. Deux écoles : École de la régulation et école de l'économie des conventions (l'économie marche grâce à de conventions aussi). Enfin, les keynésiens pur et dure qui disent que c'est Keynes et c'est tout ! (Kaldor, Harrod, Robinson …). Ces dernières années aboutissent à u nouveau capitalisme actionnariale, c'est un capitalisme anglo saxon avec ce prisme des marchés financiers. Tous les États ont dérèglementés. La compétition entre les pays est très grande, mais

l’investissement et l’épargne sont des moteurs essentiels de la croissance est présente dans la pensée économique depuis toujours. C’est au cœur des théories classiques de la croissance (SMITH, RICARDO et MARX), de la théorie keynésienne de la croissance (HARROD ET DOMAR - 1950) et de la synthèse néo-classique (le modèle de SOLOW en 1957). Et même dans le modèle qui a vraiment marqué le renouveau de la théorie de la croissance, l’investissement reste au cœur de la mécanique). On se pose les questions

leur variété de produits, de vente et de commercialisation de leurs produits aux États-Unis ⇒ 1960 : leur compagnie devient internationale. Leur première filiale fut installée dans la ville de Londres dans la réputée boutique de vêtements de luxe Harrods ⇒ 1961 : ouverture d’une nouvelle filiale dans la ville de Hong Kong ⇒ 1964 : lancement d’une ligne de parfums Aramis Inc. (fragrances pour hommes et lotions pour le corps) ⇒ 1967 : Estée Lauder nommée l’une des 10 plus grandes femmes d’affaires des

que l’O et la D s’ajuste sur le marché >>> déséquilibre de sous-emploi si D< O ou équilibre inflationniste si D>O. Ils vont essayer de chercher s’il y a un moyen d’agir sur l’évolution de la D et de l’O de façon à obtenir une croissance équilibré. Harrod va essayer de déterminer une croissance garantie, régulière en 1948.Sur le marché de biens et services, il y a une condition d’équilibre qui est I=S. Revenu= c+ S (épargne), production (Y)= c + I. Il faut augmenter l’investissement correspondant

keynésienne 1) Les fondements èUn auteur : John Maynard Keynes (1883-1946) èUn livre : Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie 1936: c'est une critique de l’économie néo-classique. èCes disciples sont nombreux. : Keynésiens (Harrod, Nicholas Kaldor, Joan Violet Robinson...) avec différentes écoles : -néokeynésiens (entre Keynes et les néo-classiques), -les postkeynésiens (keynésiens radicaux), -les nouveaux économistes keynésiens qui utilisent les nouveaux fondements microéconomiques

régulation permanente des marchés. Les prolongements de l'école keynésienne sont le keynésianisme ou macroéconomie traditionnelle, la théorie du déséquilibre (Edmond Malinvaud), le courant post-keynesien (Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, Evsey Domar), la nouvelle économie keynésienne (George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen, Stanley Fischer), l'école de la régulation. Les néo-keynésiens : Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres à prix fixes » ou « école du déséquilibre »)

valeur positive de b(t). - L’économiste néo-keynésien HARROD, adopte une autre définition du progrès technique neutre : pour lui, c’est lorsque le rapport capital-production G.ISCAE / GE1 MACROECONOMIE 2011/12 Pr Ahmed AZIRAR -52 - (K/Q) ou capital-produit (K/Y) reste inchangé. Dans ce cas, la fonction de production s’écrit : Q ou Y = f [K, b(t) . T] ; le terme b(t) est un indice de la qualité de la seule maind’œuvre. Autrement dit, pour HARROD, le progrès technique s’exprime par la seule amélioration

keynésienne Le chapitre 12 de sa Théorie générale de l’emploi... est très importante • • • • Un auteur : John Maynard Keynes (1883, 1946) Un livre : Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936) Des disciples : keynésiens (Roy Harrod, Nicolas Kaldor, Joan Violet Robinson…) Les précurseurs : Xénophon, les mercantilistes (A de Montchrestien, John Law, Colbert, Misselden (inventeur du multiplicateur)rd Cantillon, Condillac • Développements : • Néo-keynésiens (J.P. Bénassy