Hassi R'Mel

pour l’engineering pétrolier - CERHYD : pour le centre de recherche en hydrocarbure d) Quatre entreprises de gestion de zone industrielle : - Zone industrielle d’Arzew - Zone industrielle de Skikda - Zone industrielle de Hassi Messaoud - Zone industrielle de Hassi R’mel En 1986, l’entreprise «SONATRACH» adopta une politique plus ouverte aux relations d’associations avec des partenaires étrangers, ayant comme objectif de devenir un « groupe pétrolier international ». Ce qui a fini par

devient de plus en plus difficile, pour ce il a été crée trois EGSA répartis en trois secteurs géographique à savoir: 2.1-EGSA / Alger gère18 Aeroports : Alger, Bejaia, Bousaada, Chlef, Djanet, El Golea, El Oued, Ghardaia, Laghouat, Hassi Messoud, Hassi R’mel, Illizi, In Amenas, In Guzzane, In Salah, Ouargla, Tamanrasset etTouggourt. 2.2- EGSA / Oran gère 09 aéroports: Oran, Adrar, Bechar, Mascara, Tindouf, Tiaret, Tlemcen, Bechar et El Biadh. 2.3- EGSA / Constantine gère 06 aéroports :

sociaux Habitat rural : 700 000 unités Emplois : 1.459.898 postes + 672.324 durant le premier semestre 2010 villes seront réalisées pour un montant de 500 milliards de DA (Nouvelle Ville de Sidi Abdallah, Bouinan, Boughezoul et Menea) en plus de Hassi Messaoud qui relèvera du secteur pétrolier. Or, «le développement humain placé au service du développement économique» absorbe, à lui seul, la moitié du budget 10.122 milliards DA (près de 140 milliards de dollars, sur un total de 286 milliards de

l’engineering pétrolier § CERHYD : pour le centre de recherche en hydrocarbure d) Quatre entreprises de gestion de zone industrielle § Zone industrielle d’Arzew § Zone industrielle de Skikda § Zone industrielle de Hassi Messaoud § Zone industrielle de Hassi R’mel A. B. C. D. E. 1963-1971 : Création et construction de Sonatrach 1971-1982 : Phase de croissance et d’intégration 1982-1987 : La restructuration et l’essaimage de Sonatrach 1987-1998 : La maturité et la modernisation

national, puis on va poursuivre par la distribution de l’électricité. 6.1. La distribution du gaz sur le territoire national  L’Algérie dispose d’une réserve considérable de gaz naturel évaluée à 3000 milliards de m2, concentrés dans le segment de Hassi-R’mel qui recèle a lui seule les trois quarts des réserves nationales. Le modèle énergétique de l’Algérie privilégié le développement de la consommation interne de gaz naturel. Ainsi, représente-t-il 4O% de la consommation nationale. Pour desservir

6ème place. Enfin, le nouvel ensemble Chevron Texaco est désormais la quatrième raffinerie mondiale, avec 136 Mt/an. I-3-2- Le raffinage en Algérie : [7] En Algérie, l’industrie du raffinage est née avec la découverte et la production du pétrole de Hassi Messaoud. La première unité fut construite sur les lieux même de la découverte qui a été orientée vers la satisfaction des besoins excessifs des sociétés opérantes dans le cadre de la recherche et l’exploitation de brut. Aussitôt l’indépendance acquise

pas été une guerre pour le pétrole ? En 1938, le pétrole représente 11% des besoins énergétiques de la France, 22% en 1955. Elle produit 3% de sa consommation. Or en 1956, on découvre un énorme gisement de pétrole à Hassi Messaoud, en octobre 1956 on trouve un gisement gazier à Hassi r’mel, on a trouvé de quoi exploiter 20 millions de pétrole par an de pétrole. Pour la première fois la France produit du pétrole et peut donc desserrer la nécessité d’importer du pétrole au Moyen-Orient. Envolée des cours

lancé en 1992 avec l’introduction du Portugal au projet. Le Gazoduc Maghreb-Europe, de près de 2150 kilomètres de long, de 48 pouces de diamètres et un investissement total de 2300 millions de dollars connecte les gisements algériens de Hassi R’Mel avec le réseau espagnole de gazoducs à Cordoue, d’Estrémadure et du Portugal, après avoir traversé une partie de l’Algérie, le nord du Maroc et le détroit du Gibraltar. Avant l’an 2000, la capacité de transport de gaz a atteint 10000 millions

contrôler leur territoire induit la présence accrue de militaires et de fonctionnaires vivant en ville en famille. Surtout, l’exploitation des ressources du sol et du sous-sol saharien a accru la population saharienne. La ville algérienne d’Hassi R’Mel, fondée sur l’exploitation du gaz naturel, est passée de 12 000 habitants en 2002 et à 22 000 en 2008. Peut-on pour autant limiter la population saharienne à une seule population d’urbains ? Les taux d’urbanisation des États partiellement sahariens

2 A SOUK EL ARBA DU GHARBRABAT et RETOUR a. OUJDA-TAFORALT-RISLANE b. OUJDA-LES MINES D'EL AOUINET-HASSI BLAL c. OUJDA-BENI METHAR d. OUJDA-BOUBKER e. OUJDA-GOUTITIR-TAZA a. BERKANE-TAOURIRT-GUERCIFTAZA b. BERKANE-NADOR FES-KENITRA-RABAT-SETTAT SOUK EL ARBA DU GHARB RABAT 653 V MMES. MOUMEN ZAKIA ET MILOUDA 472 27/04/2006 TRANSACTIO N 2 A OUJDA RISLANE HASSI BLAL BENI METHAR BOUBKER TAZA TAZA NADOR SETTAT MOULAY YAACOUB ARBAA OULED JAMAA EL HAJEB LES SOUKS EL